vendredi 28 mars 2014

Les ports, une compétences métropolitaine

Estrosi le dit lui même, le développement des activités portuaires ne se fera pas à Nice:



A votre avis, où cela se fera-t-il ? Je vous donne quelques indices:

  • La compétence portuaire est maintenant dévolue à la Métropole, donc le maire d'une commune membre de la Métropole ne décide plus de l'avenir du port situé sur sa commune.
  • Le port de St Laurent du Var est le 1er port de la Métropole Nice Côte d'Azur.
  • Nègre à Cagnes proposait une extension du port du Cros, ce qui conduirait très probablement à une fusion avec le port de St Laurent du Var.
  • Le projet de doublement de la capacité du port de St Laurent pour la plaisance, porté par Revel, est enterré à cause du passage en Métropole.
  • La gare SNCF multimodale qui est prévue sur l'actuel terrain du MIN à Nice St Augustin, sera connectée à l'aéroport, à l'autoroute et a donc vocation à être connectée au port de transport des voyageurs.

Vous voyez se dessiner les choses... ?

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samedi 2 novembre 2013

Le liveTweet du Conseil municipal de St Laurent du Var du 31/10/2013

Je n'était pas présent pour ce soir d'halloween, trop peur de faire de mauvaises rencontres[1], mais d'autres ont tweeté ce soir là ou le lendemain, donc voici la compile des tweets comportant le htag #slv06. Heureusement que Cyril s'y est collé car sinon, il n'en resterait pas grand chose. Allé, promis, je serais là au prochain ;)

Note

[1] Il parait que tout les candidats déclarés étaient là...

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dimanche 28 juillet 2013

Live tweet du Conseil municipal de St Laurent du Var du 25/07/2013

Cela aura été laborieux de construire cette page reprenant le live tweet du dernier conseil municipal, puisque Tweeter ne permet plus facilement de récupérer ses tweet. J'ai été obligé d'installer une application pour ce faire.

J'ai laissé quelques autres tweet en rapport avec le sujet, même si ce n'est pas moi qui les ai écrit.

Comme d'habitude, cela se lit de bas en haut.

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jeudi 18 juillet 2013

Collecte des déchets en délégation de service public, un biais dès l'origine

En regardant le passionnant documentaire "Water make money" sur Arte il y a quelque temps, j'ai transposé à la collecte des déchets et il me semble que l'on est face à exactement le même problème.

A partir du moment où le prestataire est payé au volume de déchet, pourquoi voudriez-vous qu'il fasse le moindre effort pour le réduire. Tant qu'il y a des surcoûts pour le tri car le tri sélectif fait par les citoyens est de mauvaise qualité, il lui suffit de le facturer à la collectivité, pourquoi se fatiguer à faire des campagnes de sensibilisation à la qualité du tri. De toute façon, même s'il faisait de telles campagne, c'est son profit qui s’accroîtrait, et pas la facture du contribuable qui descendrait. Pourquoi le contribuable ferait le moindre effort pour enrichir le délégataire, ceci explique peut être que le recyclage ne progresse plus alors que l'on est encore loin des objectifs.

Dans le reportage sur l'eau, on apprend que les délégataires comme Véolia ou Suez n'ont aucun intérêt à réduire les fuites d'eau, puisque l'eau est de toute façon facturée d'une manière ou d'une autre. De même, le délégataire fait de la recherche et développement pour des solutions de traitement de l'eau, qui peuvent être facturées, mais n'a aucun intérêt à protéger les sites de captage pour éviter que l'eau n'y soit polluée en amont[1].

La délégation de service publique pour ce type de services, contient en son sein le biais qui fait que cela ne peut pas être efficace sur le long terme. Il faudrait que le délégataire ait un intérêt à réduire son activité[2], ce qui n'a pas beaucoup de sens économiquement parlant. Il faudrait limiter la délégation à des taches pour lesquelles le délégataire a le même intérêt que la collectivité, et non pour la totalité de la mission de collecte des déchets.

Comme pour l'eau dans beaucoup de villes, je pense que dans le futur, la collecte des déchets devrait être reprise en main par les collectivités (ville, aglo).

Notes

[1] La ville de Paris rachète des terres agricoles dans les départements voisins sur les lieux de captage pour y installer des agriculteurs bio, afin de limiter les engrais et pesticides dans l'eau du robinet, et donc les traitement nécessaire pour la rendre potable.

[2] Ramasser moins de déchets, trier moins si le tri est mieux fait...

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mardi 9 juillet 2013

Le subventionisme

Je notais l'autre soir que l'essentiel des délibérations du conseil municipal de St Laurent du Var portaient sur des autorisations au maire pour faire des demandes de subventions auprès de l'état, la région, le département ou la métropole. Du coup, pour le profane, le subventionisme est presque l'essentiel de la partie visible de l'action municipale[1].

De l'autre côté du miroir, Eric Ciotti, le président du conseil général, en a parlé pour justifier des coupes dans les budget des associations qui vivent grâce à l'argent du conseil général. Il oubli juste opportunément que toutes les associations ne sont pas des clubs de pétanque, mais que certaines assurent de véritable missions de service publique que la collectivité territoriale leur délègue et n'assume pas directement. Mais bon c'est un détail...

Dans le même genre, je regardais comment fonctionnent les associations sportives que mes enfants ont croisé. Certaines sont presque indépendantes financièrement, hormis pour leur utilisation de locaux. Ces associations quasi indépendantes utilisent certes les infrastructures de la ville, ce qui est tout de même une forme de subvention, mais équilibrent avec les cotisations et évènements leur fonctionnement, qui forcément s’appuie beaucoup sur le bénévolat. D'autres associations sont totalement sous perfusion. En générale elles comportent beaucoup de permanents, la masse salariale étant le plus gros budget.

Si on s'amusait à faire le parallèle avec les communes qui ont besoin de subventions et celles qui en demandent peu, il devrait y avoir des enseignements à tirer[2]. Car en cette période de disette budgétaire, les communes qui ont bâties tous leurs projets sur la subvention se retrouvent en panne de moyen pour les réaliser. Je m'interroge cependant sur le fait qu'aujourd'hui, je vois mal une commune faire l'impasse sur ces demandes de subvention, qui sont de fait un passage obligé. Or ces subventions sont financées par l’impôt, donc du point de vu du contribuable, cela ne représente aucune économie[3]. On a donc en quelque sorte déresponsabilisé les communes qui deviennent dépendantes des grosses collectivités territoriales, de l'état ou de l'Europe.

Le bon côté de cette déresponsabilisation, c'est la mutualisation des revenus (l’impôt) avec théoriquement de la cohérence dans les projets d'un même territoire[4], le mauvais c'est le clientélisme, puisque le conseil régional ou général favorisera plus ou moins telle ou telle commune selon que son maire est bien en cour[5].

Notes

[1] Il faut quant même faire des dossiers qui tiennent la route pour obtenir une subvention.

[2] J'ai pas les billes pour le faire, mais je certain que toutes les communes ne sont pas égales devant la demande de subvention.

[3] Je ne parle bien sûr pas de l'énergie qu'il faut dépenser pour les obtenir et allouer...

[4] On en est loin, mais c'est tout de même ce vers quoi l'on devrait tendre.

[5] Il y a des retournement de veste qui peuvent se regarder justement à l'aune des subventions.

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mardi 4 juin 2013

Il est candidat ou pas ?

En ce moment, Nice Matin ne doit pas avoir grand chose à se mettre sous la dent côté politique et du coup, ils essaient de faire du buzz avec ce qu'ils ont.

Donc hier matin, Nice Matin rapporte que les journalistes ont cru entendre lors du conseil municipal de Nice que le maire annonçait sa candidature. Ni une, ni deux, l'info fait le tour de la mediatosphère locale et tweeter s'en fait l'écho

Christian Estrosi, puisque c'est de lui dont on parle, se fend donc d'une conférence de presse pour démentir. Non, non il n'est pas candidat, du moins pas encore, bla, bla, travailler jusqu'au bout de son mandat, bla, bla. Et la marmotte, elle met le papier autour du chocolat...

A quoi sert donc ce démenti ridicule, puisque personne n'a le moindre doute ?

  1. Tout d'abord, il faut savoir que les comptes de campagne commencent au jour de la déclaration publique de campagne. Pour quelqu'un qui a l'habitude de faire financer sa campagne aux frais du contribuable[1], il vaudrait mieux que ce soit la métropole qui paye son début de campagne, sinon il va vite dépasser le plafond.
  2. Le candidat sortant n'a aucune raison de commencer sa campagne trop tôt. Il est dans la place et bénéficie de tous les outils de communication et d'influence.
  3. Le sortant n'a pas besoin de faire d'appel à recruter des colistiers, contrairement à ses opposants, les gens viennent naturellement à lui.
  4. Enfin dans une campagne, une déclaration de candidature est un événement, et donc cela ne se fait pas sur le coin d'une table en chuchotant, histoire d'en tirer le maximum de retombée médiatique.

C'est donc très fâcheux que les journalistes lui cassent son coup. Il n'est pas en campagne "officielle", c'est pourtant simple à comprendre.[2]

Ce qui me chagrine, c'est que personne n'explique cela dans l'article, histoire de donner un peu de sens à la véhémence du maire de Nice dans son démenti[3].

Notes

[1] Je ne parle pas seulement du financement officiel de campagne...

[2] Pour ce qui est de l'officieuse, je me demande qui en doute.

[3] Serait-ce pour faire sentir aux lecteurs qu'Estrosi les prend pour des couillons, ou juste de la flemme des journalistes ?

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jeudi 4 avril 2013

Live tweet du Conseil municipal du 04/04/2013

Live tweet du conseil municipal de St Laurent du Var du 04 avril 2013. Attention, cela se lit de bas en haut.

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samedi 1 décembre 2012

Comment dépecer le MoDem en douceur

En ce moment, certains annoncent que la double appartenance au MoDem et à l'UDI est possible, entretenant un flou que François Bayrou a lui même diffusé lors de sa lettre aux militants le mois dernier, lorsqu'il concluait celle-ci en disant que la double appartenance était "envisageable"[1].

Sauf que les statuts du Mouvement Démocrate sont explicites, la double appartenance est interdite[2], et à moins d'un congrès pour les changer, ce n'est tout simplement pas possible. On est adhérent du MoDem exclusivement. C'était même une pierre d'achoppement avec les adhérents de Cap21, qui ont pu conserver une espèce de double appartenance via une exception, qui, si j'ai bonne mémoire tenait au fait que Cap21 était membre fondateur du MoDem.

Donc disais-je, certains expliquent que la double appartenance est possible, afin d'encourager les militants du MoDem à rejoindre l'UDI. Ce n'est qu'un demi mensonge, puisque les statuts de l'UDI autorisent la double appartenance. C'est donc le MoDem qui est administrativement incompatible avec l'UDI, pas l'inverse[3].

Dans la phase de construction dans laquelle ils sont, ils ne vont pas s'encombrer de ce genre de détails administratifs. De toute façon, il n'est pas besoin d'être devin pour voir ce qu'il va se passer:

  • Durant cette phase de création de l'UDI, le but du jeu consiste à intégrer les adhérents, militants et élus de toutes les origines, le MoDem n'en étant qu'une parmi d'autres. Les cartes ne sont pas la priorité.
  • La campagne pour les municipales a commencée, depuis déjà l'été dernier, des listes vont se monter, des contacts se nouer, des rapports de force s'instaurer. Certains seront fidèle à leur origine politique, d'autres embrasserons les couleurs qui vont bien pour arriver à leur fin.
  • La phase de négociation avec l'UMP commencera d'ici 1 an, et les centristes voudront avoir des places, que l'UMP leur donnera bien volontiers, mais au compte goutte. Car ne nous leurrons pas, il n'y aura que très peu de listes et de candidats tête de liste sous la bannière UDI, sauf lorsque l'UMP y a intérêt.
  • A ce moment, que dira-t-on aux utopistes Bayrouistes ? Soit vous prenez la carte qui va bien, soit vous restez tout seul ! Tout à coup, la double appartenance ne sera plus intéressante. Si pour avoir une place qui va bien aux élections municipales il faut abandonner une carte orange un peu trop stigmatisante, la perspective de l'élection lèvera les dernières hésitations.

Dans ce scénario rodé comme du papier à musique, il y a cependant un élément de calendrier qui pourrait sauver le Mouvement Démocrate. Le gouvernement vient en effet de discuter en conseil des ministres, du report d'un an des élections municipales, départementales et régionales, en 2015. Ce faisant, les négociations et constitutions de liste se feront en 2014 et plus dans 10 mois, ce qui laisse le temps de décanter tout ceci, et les discours ambiguës de s'éclaircir.

Notes

[1] Extrait de la lettre: Un regroupement du centre droit se former. (...) Nous sommes donc ouverts à un partenariat entre le Modem et l’UDI. De la même manière, nous serons ouverts à une coopération avec tous ceux qui, venant du centre gauche, ou de l’écologie réaliste, choisiront eux aussi la voie de l’indépendance. (...) Si ce partenariat se met en place, alors nous devrons réfléchir ensemble à son mode de fonctionnement et à son organisation, y compris même la perspective de double appartenance, sous réserve de réciprocité.

[2] Extrait des statuts: L'appartenance au Mouvement Démocrate est exclusive de toute adhésion à une autre formation politique au sens de l'Article 4 de la Constitution et de l'article 1 des présents statuts. Tout manquement à la présente disposition entraîne la radiation automatique.

[3] Politiquement parlant il y a d'autres sources d'incompatibilité, mais ça j'en ai déjà causé.

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vendredi 7 septembre 2012

C'est quoi ce pont qui traverse le Var entre St Laurent du Var et Nice ?

Il y a 4 ans, lors de la présentation d'un travail préparatoire pour le PLU en mairie, je notais déjà la présence d'un projet de nouveau pont entre Nice et St Laurent du Var, situé grosso modo entre la mairie et la piscine. On le voit très bien sur cette maquette de l'écovallée de la plaine du Var sur laquelle on voit aussi les 2 chantiers actuels, le stade et la réfection du virage de l'autoroute à St Augustin.

A l'époque, je n'avais pas trouvé d'info sur ce pont. Le maire répondant fréquemment à la question du passage du Var, qu'un accès serait ajouté à la 202bis. Cependant on n'aperçoit pas d'accès à la 202bis au niveau de St Laurent du Var sur cette maquette. Il est probable qu'il parle de celui qui sera fait à la Baronne à la Gaude pour desservir le futur MIN. D’ailleurs en face du futur MIN, on voit un 2ème pont qui traverse le Var afin de faire le lien avec le quartier de Lingostière, comme expliqué dans les documents de l'écovallée, les 2 quartier ayant vocation à n'en faire qu'un.

Ce serait donc 2 nouveaux ponts au dessus du Var qui sont dans les projets de l'écovallée. Par contre lors de la présentation du PLU de St Laurent du Var, point de trace de ces ponts et surtout des infrastructures routières auxquelles ils seraient raccordés. Si je comprend bien ces cartes, le pont serait situé juste en amont du collège. On image que cela peut avoir un impacte en matière d'aménagement urbain, loins d'être anodin au regard du trafic qu'il récupérerait.

Je vous avoue que je n'ai pas encore lu le document très complet sur l'écovallée mais en voici la page 49 qui correspond à la photo ci-dessus, où l'on voit bien les projets de franchissement du Var (St Laurent et St Jeannet) mais aussi d'échangeur à la Baronne.

Télécharger le fichier projet_ecovallee.pdf (2Mo)

Bref tout ça pour dire, où est dans le PLU ce projet de nouveau pont à St Laurent du Var ?

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lundi 2 juillet 2012

L'éco vallée de la plaine du Var

Que voilà un sujet délicat. L'éco vallée de la plaine du Var est sur le papier un projet d'approche globale qui est très séduisant. Mettre en place une structure en charge de la coordination des projets d'un ensemble de communes et de collectivités territoriales intriquées dans des intérêts croisés de transport, d'environnement, de logement, de développement économique...

Mais malheureusement, dans notre région, dès que l'on parle de foncier, il y a fort à craindre que le dossier corruption s'invite dans le projet. Et quant je parle de corruption, je ne parle pas que de la corruption financière.

On a vu avec le PLU de St Laurent du Var, des aberrations grossières, consistant à rendre des terres agricoles de la plaine constructibles, et pour répondre aux obligations préfectorales d'un pourcentage de terre agricole sur le territoire de la commune, de rendre agricole, des flans de colline raides rendant leur exploitation plus qu'improbable.

L'éco vallée est aussi une entreprise financière pour les élus serviables d'Estrosiland. Le maire de St Laurent du Var nous expliquait lorsqu'il a été démissionné[1] qu'il n'y faisait rien et n'avait accès à aucun dossier, mais n'en touchait pas moins l'indemnité.

Médiapart a fait un dossier sur la gouvernance despotique d'Estrosi de l'éco vallé: Christian Estrosi, petit despote en son « Eco-Vallée »

C'est un vaste sujet que je ne maitrise pas vraiment, mais d'autres se sont penchés plus avant sur différents aspects incohérents et posent des questions. Je vous met en téléchargement quelques documents pour alimenter la réflexion sur le PLU, les zones agricoles et en bonus l’extension du port de St Laurent du Var (et de Cagnes).

Observation sur le PLU (fichier pdf de 3.5Mo)

Note

[1] Pour cause de "cumul" de mandats.

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vendredi 25 novembre 2011

Live twitt du conseil municipal de St Laurent du Var du 24 novembre 2011

Live twitt du conseil municipal de Saint Laurent du Var du 24 novembre 2011
Attention, cela se lit de bas en haut.

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samedi 5 novembre 2011

La crue du Var

Une petite photo du fleuve Var en crue prise tout à l'heure du pont de l'autoroute. On voit à droite les voies sur berge menant à l'aéroport qui sont sous les eaux, au milieu le Var dont tous les îlots sont submergés, on les devine avec les arbres qui dépassent de l'eau. A l'arrière plan, St Laurent du Var.

Michel Bernouin a twitté que "Le fleuve Var atteint 2,39m au Pont Napoléon III et 1.333 m3/s, niveau de crue quinquennale".

Cliquez sur la photo pour la voir en grand:

le_var_en_crue_2011-11-05.jpg

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vendredi 7 octobre 2011

Live twitt de la réunion publique sur le PLU de St Laurent du Var du 05/10/2011

Voici le live twitt que j'ai fait lors de la réunion sur le PLU. Cela se lit de bas en haut:

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jeudi 29 septembre 2011

Live twitt du conseil municipal de St Laurent du Var du 29/09/2011

Ci-dessous mon live twitt du conseil municipal. Cela se lis de bas en haut.

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jeudi 22 septembre 2011

Incendie dans la réserve ornithologique de St-Laurent-du-Var

C'est une affreuse nouvelle que publie Nice Matin, avec un incendie de la toute petite réserve ornithologique qui se trouve à l'embouchure du Var, entre Cap3000 et l'aéroport.

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vendredi 20 mai 2011

Une histoire de radar bien dans l'air du temps

Quel est donc l'abrutit qui s'est dit que supprimer les panneaux annonçant les radars allait aider les statistiques de la sécurité routière ?

Je me demande quant est-ce que pour contrôler une minorité on va continuer à faire chier la majorité. Lorsque les limitations de vitesse sont claires et justifiées, la très, très grande majorité des conducteurs les respectent naturellement. Je comparais dans un billet écrit il y a maintenant presque 3 ans, la signalisation en Savoie et en Provence sur l'autoroute : De la vitesse sur l'autoroute. Je ne suis pas retourné en Savoie depuis, donc je ne sais pas comment cela a évolué, mais dans ce département des Alpes Maritimes, une chose est sûr, il y a encore du boulot !

Prenons par exemple le bord de mer entre Villeneuve Loubet et Nice. Ce n'est qu'une zone urbaine tout le long, avec une chaussée séparée et trottoirs de part et d'autre. Donc la vitesse par défaut devrait être de 50km/h puisque nous sommes en ville, ou éventuellement de 70km/h puisque c'est une chaussée séparée. Il y a au moins 7 changements de vitesse et 2 radars en 7km[1], passant par les vitesses de 30km/h, 50km/h et 70km/h.

Je n'appel pas ça de la sécurité routière, mais du stress routier. Impossible de circuler tranquillement sans avoir le nez sur son compteur de vitesse. L'objectif n'est pas d'encourager les automobilistes à adhérer à une démarche de modération de leur vitesse, mais de les culpabiliser, d'introduire le stress. Ceci favorisera la transgression et non l'adhésion. Je serais curieux de voir le pourcentage de conducteur qui roulent à 30km/h dans une ligne droite avec visibilité parfaite. Je peux sans statistique vous répondre : aucun en dehors des embouteillages et des dos d'âne[2]. La vitesse naturelle sur cet axe routier est autour de 60km/h de mon point de vue. Essayez de ne pas garder le nez sur votre compteur un soir où la voie est libre, et vous verrez à quelle vitesse vous allez.

Quant je dis que c'est bien dans l'air du temps cette histoire, c'est qu'il faut faire semblant d'agir, quelque chose de bien visible. Il faut que le bon peuple puisse voir un ministre qui travaille. Pas de travail de fond, pas de projet d'adhésion de la population, pas de participation de gens de terrain (élus, association, services...). La décision est prise d'en haut. Aux petites mains de l'état de l'appliquer. Dormez tranquilles braves gens, nous réfléchissons (mal) pour vous !

Sur le sujet :

Notes

[1] Selon l'humeur des élus ou le poids électoral des riverains sans doute...

[2] Il faudrait aussi rappeler que ce qui pollue ce n'est pas la vitesse, mais les accélérations, mais c'est visiblement trop compliqué à expliquer à certains décideurs...

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mardi 3 mai 2011

Picorage : De Villepin raciste ? peut être pas mais Ciotti c'est sûr !

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