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mercredi 20 juillet 2011

La première impression

Dans un voyage c'est la première et dernière impresion qui marquent le plus. Pour la Thailand, c'est un étrange mélange de déjà vu et d'exotisme qui a caractérisé cette première très longue journée.

Après avoir passé une très longue ou très courte nuit, c'est selon que l'on s'attache aux conditions de repos ou à sa durée, nous somes arrivé à l'aéroport de Bangkok et avont pris le métro aérien pour le centre ville. Jusque là, à part les panaux, aucune différence avec Orly et son Orlyval. C'est en se rapprochant de la ville que les détails comencent à émerger : il y a de l'eau partout, une végétation luxuriante, le toit des maisons des petit lotissement de banlieu est plus pointu, de petits hotels de prière sont visibles dans le jardins ou sur les terrasses. Enfin en approchant du centre, ça y est je reconnait l'asie, telle que nous l'avions découvert en Chine: les liasses de fils électriques et téléphonique qui s'entremellent comme des lianes folles sur les poteaux, l'intense trafic de 2 roues et surtout les ruelles marchandes.

Pour l'instant, nous survolons tout cela depuis le métro aérien, assis avec la clim qui ne nous à pas quittée depuis Nice. Terminus, tout le monde descend, et nous laisson la clim derière nous: c'est chaud et humide, c'est bruyant. En avant pour les découvertes.

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mardi 19 juillet 2011

En avant pour l'aventure

Pour aller loins, avant de ménager sa monture, aujourd'hui il faut partir, et ce n'est pas une mince affaire lorsqu'il faut prendre l'avion.

Encore une rallerie, dirons ce qui me connaissent. Un augustin qui ne rale pas est un augustin malade. Que voulez-vous c'est génétique et cela se transmet de père en fils. Alors certe, cela se soigne, mais voyez-vous, au moment ou le livre "Indignez-vous" devient un best seller mondial, je trouve qu'être, pour une, fois à la mode, n'est pas si déplacé.

Après cette digression nombriliste, j'en reviens aux avions : il faut clairement se mettre dans un état d'esprit propice aux voyage aéroporté pour supporter ces heures "perdues" autour du trajet. Pas moins de 3 heure avant le décolage, 3 heures de transit à 2h du matin (heure locale, soit 0h française) sans même pouvoir se poser dans un coin pour dormir (c'est d'ailleur là que j'écrit).

Il faut vraiement se projeter dans son voyage futur, pour endurer tout cela pour le prix de... de quoi au fait, qu'est-ce que cela représente pour moi ?

La moitier d'une petite voiture neuve, un dériveur de compétition complet, quelques milier de films en vidéo à la demmande, un peu moins de 2 mois de salaire net, de l'ordre de 2500 litres d'essence, 80 mois d'abonnement à la téléphonie mobile avec internet inclus (soit plus de 6 ans)... pfff, ça en fait des choses.

Oui mais aussi beaucoup moins chère que la refection d'une facade, un changement de moteur, une année scolaire dans un bahut privé, la baisse de pouvoir d'achat d'une année de chomage.

Ce voyage harassant nous conduit aux vacances, et l'on a économisé toute l'année et celle d'avant pour ça, alors les raleries pour aboutir à cette conclusion que les vacances coûtent chère...

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