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mardi 28 août 2007

Organisation du MoDem 3 : Du bénévolat et de la responsabilité

Un très intéressant article assez fouillé (et oui ça arrive) a été publié sur 01net sur les services informatiques dans certaines ONG. Comme le sujet n'intéresse pas forcément tout le monde, j'ai noté ce passage :

C'est l'atout des ONG, leurs généreux objectifs suscitent souvent des actions désintéressées. Mais comment cela se gère-t-il au quotidien ? « Ces collaborations gracieuses s'avèrent très appréciables dans les phases d'étude ou de pilotage, reconnait Pierre-Alain Kent, responsable des systèmes d'information de l'association Handicap International, car elles viennent en appui sur des projets souvent complexes. Toutefois, c'est plus risqué quand il s'agit de passer à la réalisation proprement dite. Car cette étape exige une disponibilité très grande et pose la question de la responsabilité finale, si d'aventure le système ainsi conçu ne fonctionnait pas. » Délicat en effet de demander formellement des comptes à quelqu'un qui a offert ses services.




Ce qui s'applique à toute structure fonctionnant grâce au bénévolat, notamment un parti politique, tout comme de nombreuses associations. Il y a nécessité pour un système bénévole de disposer de permanents qui sont liés contractuellement à la structure. Le problème, c'est que, à part l'UMP ou éventuellement le parti socialiste, il n'est pas envisageable d'avoir ne serait-ce qu'un permanent par département avec le budget du MoDem[1]. Il est donc nécessaire de trouver une autre organisation qui permette de disposer d'une relation contractuelle avec comme corollaire une responsabilisassions.

La première solution est le temps partiel, ce qui se fait traditionnellement avec les élus qui mettent à disposition une partie du temps de leurs collaborateurs au service du parti. Ces arrangements naturels devraient pouvoir être formalisés, par exemple par une contribution obligatoire des élus au fonctionnement du parti, soit en nature (temps de collaborateurs, locaux), soit financièrement (une partie de la dotation de l'élu est versée directement au parti).

Tant que l'on a des élus (maires, présidents d'aglo ou de région, députés, sénateurs) la question est facile à résoudre, il suffit donc de définir la côte part de la participation et de le mettre dans un contrat signé entre le candidat et le parti au moment des investitures. C'est facile et cela ne fait que formaliser ce qui se fait déjà dans la plus part des partis. On pourrait imaginer un pourcentage ou une formule de calcul[2] sur le montant des traitements perçu par l'élu liés à sa fonction d'élu.

La question se pose dans le cas d'absence d'élus "professionnels"[3], c'est à dire ceux qui ne vivent pas ou pas exclusivement de la politique (conseillers municipaux sans délégation, conseillers généraux ou régionaux) et bien sur en cas d'absence d'élus comme c'est le cas dans beaucoup de départements pour le MoDem en ce moment.

En effet l'absence de relation contractuel rend irresponsable. La structure est donc extrêmement fragile et du jour au lendemain, en fonction des humeurs de l'une ou l'autre, s'enrayer. Comme une association ou une entreprise, un parti politique a besoin de leader, mais aussi de petites mains pour le faire fonctionner. Et c'est le rôle des permanents de fournir l'intendance et la cohésion pour les petites mains, pour que tout ce que les militants donnent et font soit le mieux possible utiliser pour le parti et ne se perde dans les limbes de l'inorganisation et de l'amateurisme.

En l'absence d'élu, il faudrait trouver un moyen de formaliser de pseudo contrats avec de pseudo permanents, mais je ne vois pas trop comment sans financement. Quelqu'un aurait-il une piste ?

Notes

[1] La dotation annuelle du MoDem est de 3,5 million d'euro grâce aux voix engrangées lors des élections législatives.

[2] C'est plus égalitaire une formule mathématique plutôt qu'un pourcentage, mais un peu moins simple à comprendre pour la majorité des gens.

[3] Le mot professionnel n'est pas très heureux, mais permet de faire un raccourci explicite pour décrire les personnes qui ne vivent que de leur mandat.

Tag : modem-organisation, Forum-democrate-seignosse-2007

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dimanche 5 août 2007

MoDem : organisation 2 - découpage territorial

Lors de sa venue dans le département des Alpes maritimes[1], Eric Azière en charge des fédérations au sein de l'UDF et par intérim du MoDem, nous faisait part de l'idée selon laquelle l'organisation à l'échelle du département n'était pas forcément la plus pertinente. Il argumentait en notant que les gens se battaient à cet échelon qui n'avait pourtant aucune correspondance électorale. La question est donc ouverte de savoir à quel niveau de maillage l'on souhaite faire fonctionner le MoDem : canton, ville, circonscription, département ou région ?

S'il est vrai que le découpage par département a un sens puisque administrativement ce sont des unités géographiques en principe cohérentes et avec des distances raisonnables d'une extrémité à l'autre (important pour organiser les réunions par exemple)[2].

Au sein de notre fédération 06, nous avons commencé à nous interroger sur un découpage par bassin de vie[3], un bassin de vie regroupant une ou plusieurs circonscriptions, pouvant éventuellement coller à une communauté d'agglomération. Au vue des communautés d'agglomérations dans le 06, cela ne s'appliquerait pas tel que aux Alpes maritimes.

Et de fait, au sein d'un département il y a toujours des zones avec une identité spécifique. On ne peut pas comparer une ville de 400 000 habitants et des communes de 10 à 40 000 habitants. Les problématiques urbaines, environnementales, économiques ou de transport n'ont pas grand chose à voir. De même entre les villes du littoral et celle de l'arrière pays, et entre les zones urbaines, péri-urbaines et la campagne, voir la montagne. Il existe entre toutes ces disparités des intérêts communs qui sont en général liés aux transports. Les communes d'une vallée sont liés par l'histoire de la vallée et le développement économique qui se fait le long de la route qui la traverse. De même avec le littoral dont toutes les communes partagent les même problématiques d'aménagement et constituent dans notre département un long ruban urbain (mégalopole).

On peut d'ores et déjà commencer à penser en terme de nouvelles circonscriptions plus étendues. Si par exemple le projet de Bayrou d'introduire 50% de proportionnelle pour l'élection des députés voit le jour, alors le nombre de circonscription seraient divisé par 2, puisque la moitié des députés seraient élus par un scrutin de liste. La philosophie qui définirait le nouveau découpage sera fonction de beaucoup de paramètres. Mais imaginons un instant que l'UMP ne soit pas aux manettes et que celui qui tient les ciseaux ne soit pas héritier de Charles Pasqua[4] afin de nous proposer un découpage ayant un sens géographique et économique, et donc pourquoi pas selon les bassins de vie. Actuellement, une circonscription a un peu plus de 100 000 habitants. Si on divise par 2, on aurait donc 200 à 250 000 habitants par circonscription :

  1. Vallée de la Siagne : Cannes, Grasse...
  2. La Brague, Vallée du Loup, de l'Estéron et rive droite du Var : Antibes, Sophia, Villeneuve, Cagnes, St Laurent, Vence, Carros...
  3. Nice ouest, collines et vallée du Var.
  4. Nice est et Paillon
  5. Est 06 : Villefranche, Menton, Tende.

Un tel découpage va en faire rugir plus d'un(e). Ne sortez pas le bazooka, c'est juste un exercice de style pour illustrer le découpage par bassin de vie. La réflexion n'est bien sûr absolument pas aboutie. C'est principalement des fusions des circonscriptions actuelles en tenant compte des densités de population.

Dans ce découpage, le problème est Nice. Avec plus de 350 000 habitants, elle ne tient pas dans une circonscription. D'autre part il y a deux vallées qui aboutisse à Nice[5] avec leur relation respective avec la grande ville. Du point de vue Niço-Niçois, Nice est une. Du point de vue des vallées en amont, toute leur économie est liée à Nice et elles forment chacune une entité cohérente, d'où cette proposition de découpage. Le deuxième problème résulte du déséquilibre entre cette 5ème circonscription beaucoup moins peuplée que toutes les autres circonscriptions et avec Villefranche qui est actuellement très liée à Nice. C'est un ensemble qui vient facilement à l'esprit par opposition à l'ensemble Nice, mais n'a pas forcément une cohérence économique ou social. Enfin, économiquement parlant, Sophia Antipolis est au coeur de la (1) et de la (2) et n'a pas beaucoup de sens d'être séparé de l'une ou l'autre.

Ce découpage en 5 circonscriptions élargies, nous donne donc 3 bassins de vie : l'ouest Var, Nice et montagne, Est 06.

*****

Bon, quant on en arrive là, on se dit que l'on progresse dans le bon sens : un découpage plus proche des citoyens que le département, mais moins que les actuelles circonscriptions, une organisation qui a vocation à exister dans le futur découpage électoral (ou du moins en être proche). Oui mais...

C'est oublier un peu vite qu'il existe un autre niveau, celui des communautés d'agglomération qui bien entendu, si on les superpose au découpage précédent, ne sont pas compatibles. C'eut été trop simple. Aujourd'hui Villeneuve Loubet ne fait pas partie de la même communauté d'agglomération que Cagnes, alors que les 2 communes sont intimement liées l'une à l'autre. Et comme le financement est par communauté d'agglomération, Cagnes préfère se tourner vers Nice que vers sa voisine.

Bon après avoir poser toutes ces réflexions en vrac dans ce document, je suis bien en peine d'en tirer une conclusion sur le découpage en bassin de vie de notre organisation départementale. En plus un tel travail suppose une réflexion portée à tous les départements, ce qui est un travail colossal que le MoDem serait bien en peine de réaliser dans un délai raisonnable avant son congrès fondateur. Il va donc falloir se rabattre sur un découpage déjà existant ou alors faire de l'arbitraire. Je suis dubitatif. Gardon notre découpage départemental jusqu'aux élections municipales et ensuite nous pourrons prendre nos ciseaux électoraux.

Et au cas où vous voudriez aller plus loins, quelques liens sur les cogitations des autres.

Notes

[1] Pendant mes supposées vacances politiques.

[2] Pour ceux qui ne s'en souviennent pas, les découpages des départements correspondent aux distances en charrette qui pouvait être parcourues en une journée.

[3] Idée portée par Marie-Lyse.

[4] Ok, je sais c'est un peu utopique, tous les découpages électoraux ont toujours été l'occasion de créer des circonscriptions plus par électorat que par réalité géographique. Il suffit pour cela de regarder la forme de la 3ème circonscription des Alpes maritimes.

[5] Vallée du Var et du Paillon.

Tag : modem-organisation, Forum-democrate-seignosse-2007

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vendredi 6 juillet 2007

MoDem : organisation 1

Je voudrais commencer une série de réflexions sur les statuts du MoDem et notamment sur le problème des contre pouvoir au sein de ce parti politique en devenir.

Les adhérents du MoDem n'ont pas le même profil que celui des adhérents de l'UDF (pour Cap21, je ne connais pas leur profil). Parmi ceux qui ont constitué notre équipe de la 6ème circonscription des Alpes Maritimes, 3 sur 4 n'ont soit jamais fait parti d'un parti politique, soit les ont quitté il y a longtemps. Ils sont donc en attente d'une autre façon de faire de la politique. Je ne pense pas dénaturer leur propos (mais ils me corrigeront si c'est le cas) qu'il y a une demande de transparence, de collégialité. C'est une structure à plat et non pyramidale qu'ils viennent chercher avec une démarche participative.

A 20 ou 30 cela fonctionne parfaitement, à 50 cela commence à devenir difficile à gérer efficacement, au delà de 100, c'est carrément le bordel et totalement ingérrable. Avec le nombre croissant, il devient nécessaire de recréer une hiérarchie et l'on retombe dans les organisations classiques pyramidales, qui ont montré et montrent encore leur efficacité, mais qui ne correspondent pas forcément aux attentes des nouveaux adhérents du MoDem.

J'en ai parlé précédemment avec la théorie des colonie de fourmis appliquée au MoDem, nous sommes en train de mettre en place empiriquement une structure en réseau. J'y reviendrai à l'occasion. La question que je me pose ici concerne les contre-pouvoir et les risques de prise de contrôle d'un noeud du réseau par un petit groupe au détriment du réseau.

Dans la structure classique pyramidale de l'UDF[1], il existe des embrillons de contre pouvoir. Pour schématiser, le président départemental est élu par les adhérents et le délégué départemental (le n°2) est nommé par le national (voir les statuts). Ce contre pouvoir est faible car le président à tous les pouvoirs, notamment de nommer toutes les têtes de l'exécutif. Le délégué fait juste parti de toutes les instances fédérales.

Pour le MoDem, il y a donc nécessité de trouver un contre pouvoir plus efficace à celui du président (élu tout de même, donc légitime). De mon point de vue, la désignation par le national d'une personne en charge du respect du projet et des valeurs du parti n'est pas une si mauvaise idée. Il faudrait donc lui donner plus de pouvoir, comme celui de nommer 1/3 ou la 1/2 du bureau exécutif. Ce qui veut dire qu'il y a nécessité de consensus sur les nominations. Quant tout va bien c'est donc le dialogue qui prévaut, en cas de crise, c'est un moyen de limiter la position dominante. Le délégué pouvant être démi et remplacé par le national à tout moment.

Cet exécutif dont je parle correspond au "Bureau exécutif" dans l'organigramme de l'UDF, composé du délégué, des vices présidents, trésorier et surtout des responsables de circonscription. Dans l'UDF, tous ces gens à l'exception du délégué, sont tous nommés par le président. Au sein du MoDem, il est souhaitable qu'une partie au moins puisse avoir une certaine légitimité auprès des militants et adhérents. Je propose plutôt qu'un vote pour, un vote contre suivi d'une désignation par le président. Cela se traduirait par la nécessité de ne pas avoir plus de 60% d'opinions défavorables de la part des militants pour pouvoir prétendre au poste de responsable de circonscription. Tous les candidats avec 40% ou plus d'opinion favorable pourrait être nommés par le président. Pourquoi un montage aussi compliqué ? Il faut que les militants puissent rejeter une personne, mais pas empêcher le président de constituer une équipe autour de lui avec laquelle il pense pouvoir être efficace. D'autre part, faire adhérer 50 personnes la veille du scrutin est un moyen classique pour prendre une place dans un organigramme.

On voit ici que ce n'est pas tout le pouvoir aux adhérents que je propose, mais plutôt une plus grande possibilité de limiter l'hégémonie du président sans pour autant l'entraver dans sa liberté de constituer son équipe. Je crois en effet que si le président est obligé de travailler avec des gens avec lesquels il ne le souhaite pas, on risque de se retrouver avec des membres fantoche d'un bureau exécutif qui n'exécute plus rien et toutes les décisions importantes qui se font sous la table, ce qui est le contraire d'une organisation transparente avec des débats au jour.

Voilà, fin de cette première partie sur les contres pouvoir. Il y a bien sûr d'autres organisations. C'est juste un essaie pour contribuer à la réflexion.

Notes

[1] Je parle de l'UDF non pas par nostalgie mais parce que c'est ma seule expérience de parti politique.

Tag : modem-organisation, Forum-democrate-seignosse-2007

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mercredi 6 juin 2007

Elections législatives : pensées "à chaud", Opus 2

Opus 2 : internet

Cette campagne et la précédente, présidentielle, sont caractérisées par l'utilisation massive de l'internet, tant comme support de propagande que comme outil de communication au sein des équipes.

Propagande

Tous les candidats, malgré l'urgence disposent d'un site web qui sert de carnet de campagne. Face à des médias traditionnels qui ne s'intéressent pas, voir censurent la communication des candidats[1], c'est le moyen le plus simple et le plus rapide de mettre à disposition l'information.

Il faut bien entendu garder présent à l'esprit qu'un blog bien référencé[2] touche quelques centaines de lecteurs par jour, à comparer aux dizaines de milliers concernés par les médias traditionnels.

Communication interne

En fait c'est bien au niveau de la communication interne qu'internet est devenu incontournable. Les opérations militantes, la gestion du matériel, la mise en commun des ressources et compétences, tout se fait via le net et les emails, les listes de diffusion, les forums, voir les blogs. Les militants sans adresse email se retrouvent rapidement déconnectés de l'information.

Avenir

Il est bien évident que cette organisation en réseau laissera des traces dans la construction du MoDem, qui nait massivement sur le net avec les 80 000 inscrits en ligne et le projet de François Bayrou de soliciter les militants pour écrire eux même les statuts de leur nouveau parti à la façon des wiki et du logiciel libre.

<< Opus 1 : verrouillages médiatique | Opus 3 : affichage >>

Notes

[1] Je suis un peu méchant, car même si Nice Matin ou France 3 nous étaient favorables, ils n'auraient de toute façon pas la possibilité de relayer l'information de tous les candidats de tous les partis.

[2] Ce qui est loin d'être le cas de tous les candidats.

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mardi 29 mai 2007

Nuits Oranges à Nice samedi 2 juin

Nuits Oranges

Samedi 2 juin à 20h30 au Blue Whales, 1 rue Mascoïnat, vieux Nice

Contact et information au 06 11 71 08 32

Le MoDem 06 à le plaisir d'annoncer le lancement des Nuits Oranges dans le sud-est de la France !
Quelle que soit votre couleur politique, ou son inexistance, venez dans le Vieux-Nice bouger la démocratie et changer les mentalités.

Le rendez-vous est à 20h30, samedi 2 juin, au Blue Whales, 1 rue Mascoïnat.

Toutes vos consommations seront à demi-tarif.

Mais au fait, c'est quoi une « Nuit Orange » ?!

Les Nuits Oranges, c'est l'une des actions de terrain lancée par les Jeunes UDF à l'occasion de la campagne présidentielle. Les jeunes UDF organisent des rencontres politiques informelles. Loin des débats politiques classiques dans les permanences où chacun écoute un élu porter la bonne parole, les Nuits Oranges vous proposent de changer les codes !

Pour une Nuit Orange, on se retrouve dans un café, un restaurant, ou même dans une boîte ou une patinoire ! Dans une Nuit Orange, on parle de politique autrement : autour d'une table avec un élu, sous la forme d'un quizz, dans le cadre d'un « politico dating »... Dans une Nuit Orange, chacun peut s'exprimer : participer au débat, interpeller les invités, rencontrer des militants et des responsables, profiter d'un « mur d'expression libre » pour écrire ses idées...

Le but des Nuits Oranges, c'est donc d'accueillir tous ceux qui sont curieux de politique ou désireux d'en savoir plus, mais sont réticents à participer à une réunion publique ou à un café politique traditionnel. On peut à la fois parler politique et se faire plaisir.

Et pour la grande première, quoi en particulier ?

La soirée commencera par un discours de remerciements de 3h15 puis suivra une partie de Loto avec tombola ... ... Hum non ... On va essayer de faire plus original !

Nous présenterons brièvement les candidats MoDem pour les législatives présents à cette soirée. Ceux-ci vous inviteront à rejoindre leurs tables pour commencer un politico-dating. Le tout premier dans notre région !

Le principe est très simple : chaque candidat dirigera une table, pour présenter un thème pendant 5 minutes, puis pendant 10-15 minutes c'est à vous de débattre, tous ensemble et avec bonne humeur, sur ce thème. À la fin du temps imparti, l'animateur propose aux participants de changer de table pour changer de thème, et un nouveau tour de discussions commence...

Nous encouragerons les participants s'ayant rencontrés « politiquement » à échanger leurs coordonnées ou bien à poursuivre le débat entre eux tout au long de la soirée ou encore plus tard ! Les échanges d'idées ne doivent plus subir de barrière !

Ensuite, nous formerons des équipes pour ... le politico-quizz !!! J'espère que vous avez beaucoup d'humour, ou bien que vous aimez les jeux « conceptuels », bref vous allez être surpris ... Dans le pire des cas vous pourrez toujours vous plaindre de l'humour pitoyable des animateurs sur le mur d'expression libre qui sera mis à votre disposition pendant toute la soirée !

Des Nuits Oranges, il y en aura d'autres, car les échanges d'idées ne doivent pas avoir lieu que pour une élection, mais pour l'instant rendez-vous au Blue Whales SAMEDI prochain !

J'avais promis à Sandrine qui se décarcasse depuis 10 jours pour l'organisation de cet évènement que j'en ferais le maximum de pub. Je ne peux pas mettre un bandeau plus grand, après il sort du blog ;)

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jeudi 24 mai 2007

Algorithme de colonies de fourmis appliqué au mouvement démocrate (v2)

Une nouvelle version de mon billet sur l'organisation du MoDem vient d'être publiée sur Agoravox.

C'est mon premier article sur Agoravox. Bien que lecteur ou commentateur depuis plusieurs mois, jusqu'à présent, soit ce que je disais avait été dit avant par quelqu'un d'autre, souvent mieux, soit le caractère local de mes propos avait peu de chance de présenter un intérêt quelconque pour les lecteurs d'Avox.

En attendant qu'il y en ai d'autres, je peux déjà m'auto attribuer un pins :)

Rédacteur Agoravox

Tag : modem-organisation

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mardi 15 mai 2007

Algorithme de colonies de fourmis appliqué au mouvement démocrate

Pour schématiser, il existe 2 grandes familles d'organisations : centralisée en pyramide ou en réseau. Traditionnellement un parti politique est une structure plutôt sous forme de pyramide. Le mouvement Démocrate qui est en train de se constitué, n'ayant pas encore de structure ne peut se prévaloir d'une organisation pyramidale. Pas de président, pas de sections, pas de délégués, pas de responsable de circonscription ou de cantons... juste des candidats.

Lire la suite...

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