Mais non ce n'est pas un escroc, c'est un menteur
Par Cedric Augustin le mercredi 2 juin 2010, 00:43 - Politique - Lien permanent
Alors comme ça cela fait des années qu'il raconte des bobards. Qui l'eut cru ?
Quand Sarkozy prétendait avoir voté pour la retraite à 60ans
Commentaires
Si l'on en croit l'article de MédiaPart ( http://www.mediapart.fr/journal/fra... ), il faudrait écrire: "Mais non ce n'est pas qu'un escroc, c'est aussi un menteur".
@Jef : on peut aussi... mon titre le sous entendant méchamment
Le classique travail journalistique qui consiste à mettre des extraits hors contexte
Suivant les circonstances, si les finances le permettent et que c'est dans l'air du temps, pourquoi refuser la retraite à 60 ans ?
et si maintenant la france est au bord de la faillite, que c'est la crise, et que l'on vit plus longtemps, donc plus de retraites à payer, pourquoi ne pas travailler jusqu'à 65 ans ? en tenant compte de la pénébilité des métiers ?
A quand une vraie réflexion loin des polémiques ? l'heure est grave, c'est pas moi qui le dit c'est Bayrou, le moment est venu de travailler ensemble, tous partis confondus, pour trouver une solution, ou plutot des solutions.
@Cyril : tu n'as pas écouté jusqu'au bout. Srkz dit qu'il a voté la loi alors qu'il n'était pas député. Et oui c'est du travail de journaliste de souligner que toute la Sarkozy reprend en coeur que c'est la faute à Mitterrand si les retraites sont déficitaires, ce qui ne l'empêchait pas de dire qu'il avait soutenu ce vote du passage à 60 ans de l'âge légale de la retraite. Pas très cohérent tout ça, surtout pas très assumé.
Si tu veux t'affranchir des polémiques alors il ne faut surtout pas s'intéresser à la politique médiatique, car il ne reste plus grand chose à part ça dans les média classiques. Heureusement que le net fait rentrer un peu d'air frais.
oui, ne donnons pas d'échos à la politique médiatique, préservons cet esprit de liberté qui souffle sur le net et qui n'est pas sans rappeller les radios libres qu'on connu nos parents
il vaut mieux parler des enjeux locaux, nationaux et européens, que des petites phrases assassines et peu constructives du moment