jeudi 15 mai 2014

Les joies du code: quand je corrige discretement un bug bloquant en prod pas encore remonte par le client

Quand je corrige discrètement un bug bloquant en prod pas encore remonté par le client[1]

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Note

[1] Et ça arrive beaucoup plus souvent que vous ne l'imaginez.

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mardi 1 avril 2014

Spéciale dédicace pour Cyril

Pour Cyril qui a décidé de retourner pêcher:

Le mérou >cCC{°>
La daurade <)><
La baudroie »<|°)¨`
La sardine <>«
La bonite }<((>

Format adapté pour twitter ;)

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vendredi 14 mars 2014

Le groupe versus la solitude: auto-analyse à 2 balles

Lorsqu'en 2009 j'ai publié sur ce bloc un billet parlant des toilettes de ma mère, mon pote Fabien s'était écrié quelque chose comme quoi il y avait tout le matériel dans ce billet pour une analyse psychanalytique[1]. Sur le coup cela ne m'avait pas le moins du monde effleuré.

Mais il n'y a pas que sur mon blog que je me dévoile à mon insu. Régulièrement, au bureau, je fait de petits dessins sur les tableaux avec ou sans texte, juste histoire d’interpeller ou d'amuser mes collègues. En ce moment, l'idée c'est d'imaginer ce qui se passe avant ou après l'image. Voici les 3 derniers dessins que j'ai réalisé ce mois-ci:

Lorsque j'ai fini le dernier, un de mes collègue a fait la remarque suivante: "C'est toujours l'histoire d'un mec seul sur tes dessins.". Et là j'ai profondément été interpellé par sa remarque. Non de non de bordel de merde, il a raison ! Ces dessins sont une piquante illustration d'un état d'esprit du moment. Une noirceur passagère. Ce n'est pas la première fois que ce blog est témoin d'état d'âme sombres.

Lire ce blog chronologiquement, avec en parallèle ce qui est publié sur les réseaux sociaux serait extrêmement instructif des fluctuations psychique de son auteur. J'ai beau essayé de contrôler ce que je publie, le simple fait de publier est en soit un bout de soi mis à nu. C'est d'autant plus vrai quant je fais un lien avec mes pets d'esprit (nouvelle, roman, poésie ou chanson) qui ne sont pas publics à ce jour: à une époque sombre, le roman commencé ne parlait que de personnages seuls face à l'adversité. Dans une période plus enjouée, le nouveau roman entamé parle de groupes d'individus, renforcés par la synergie de la collaboration.

Et donc si je m'amuse à m'auto-analyser, pour moi qui suis un enfant unique, le groupe apparaît donc comme une valeur positive et la solitude une valeur négative.

Note

[1] Dès que l'on parle de scatologie ou de sexe, combiné au père ou à la mère, on fourni forcément des éléments très freudiens...

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lundi 10 mars 2014

Les joies du code: quand le client test la version beta de l’application

Quand le client test la version beta[1]

Bien entendu, on peut changer la légende de l'image pour la rendre d'actualité: Quant les électeurs découvrent la mise en œuvre des promesses de campagne.

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Note

[1] Dans le processus de création d'une application informatique, la phase Alpha est fonctionnelle mais avec des bugs et est susceptible de changer. Dans la phase Beta, l'application est complète et figée et on ne corrige que les bugs restants. C'était un état réservé aux clients testeurs dans le passé, c'est aujourd'hui, dans les nouveau processus logiciel, l'état à partir duquel les applications sont distribuées, avec des corrections permanentes (mise à jour par internet).

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samedi 1 mars 2014

Le net des utopistes est en train de leur filler entre les doigts

J'aime beaucoup l'analyse de Thierry Crouzet dans sont billet Mediapart n’est pas mort, traitant d'une tendance lourde du net à la recentralisation, là où la technique aurait pu nous émanciper.

Petit à petit, nous revenons au modèle génial du minitel:

  • Les réseau sociaux veulent enfermer les internautes. Ils propose des outils de messagerie, de chat, de partage de fichier... certe bien pratique qui leur permettre de capturer nos données et surtout d'en entraver le partage. Facebook en est la caricature la plus féroce, puisqu'il faut avoir un compte facebook pour voir les données même public publiée via un compte facebook.
  • Du côté des systèmes d'exploitation, nous pension sortir du monopole Windows avec l'apparition de la mobilité, mais Google referme consciencieusement son système Androïd qui pourtant a été créé avec du logiciel libre. Dans le monde de la mobilité il n'y a qu'un seul acteur qui soit libre, c'est Firefox OS, qui pour l'instant n'en est qu'à ses balbutiements.
  • Dans le domaine multimédia, les dinosaures survivent tant bien que mal et empêche toujours les projets novateurs de voir le jour. On se rappel de la tentative de Deezer de trouver un modèle économique pour le partage de musique, dégommé en plein vol par les ayants droits qui refusent toute forme d'évolution de leur modèle économique, favorisant au passage les rapace que sont Apple ou Google, qui se goinfre en vendant des droits d'écoute au prix de droits de propriété.
  • Dans le domaine du livre, la frilosité des éditeurs et leur modèle économique figé permet au monstre Amazon de tuer toute forme de concurrence ou de diversité. Les éditeurs perdent leur monopole, mais pas au profit des auteurs qui se font encore plus plumer, mais au profit d'intermédiaires logistique. C'est du perdant/perdant sauf pour Amazon.

Là où techniquement il serait possible de créer des quantité de canaux de distribution du savoir ou du ludique, d'inventer des modèles économiques variés s'adaptant à chaque marcher de niche, nous voilà confronté à une concentration des canaux de distribution, une harmonisation des modèles économiques qui spolient de plus en plus les créateurs au profit des canaux de distribution.

Heureusement il est possible, bribe par bribe, de reprendre un peu de notre liberté, mais c'est un effort, et l'humain est paresseux par nature s'il n'est pas motivé. Il ne faut cesser de sensibiliser à la liberté, pas seulement de notre personne, mais aussi de nos données. Dans un monde avec une mémoire infinie, nos données ont de plus en plus de valeur.

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samedi 1 février 2014

Les joies du code: quand le chef me montre un bug horrible que je n’avais pas vu

Quand le chef me montre un bug horrible que je n’avais pas vu[1]

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Note

[1] Bien entendu je ne parle pas de moi... je ne fais JAMAIS de bug !

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mercredi 13 novembre 2013

Les joies du code: quant IE veut devenir mon navigateur par défaut

quand j’allume IE[1] pour un test web et qu’il me propose de devenir mon navigateur par défaut

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Note

[1] Et oui, si à la maison c'est full Ubuntu, au boulot je dois bosser sur "Fenêtre".

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jeudi 17 octobre 2013

Les joies du code: juste une bricole en plus

quand le client affirme avoir une petite demande de rien du tout... en ce moment c'est le commercial qui me fait ça !

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mardi 24 septembre 2013

C'est quoi un informaticien

Dans une entreprise informatique, il existe plusieurs profils qui interviennent au niveau de la réalisation d'un projet:

  • Les développeurs (fabriquent le code et le test),
  • Les designer (définissent le graphisme, l’interaction avec l'utilisateur et l'ergonomie),
  • Les chefs de projet (rassemblent ce qui est nécessaire aux 2 précédents pour travailler et font l'interface avec le client, parfois vendent aussi),
  • Le contrôle qualité (ceux qui vérifient le résultat avant la livraison, pour assurer un certain niveau de qualité, généralement les parents pauvre d'un projet).

Bien entendu, chacun voit le travail des autres avec une acuité toute particulière :D

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mardi 10 septembre 2013

Les joies du code: quant je dois ratraper les bugs des autres

quand le boss annonce que c’est moi qui vais me charger de la correction

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lundi 2 septembre 2013

Les joies du code: quand l’equipe support se tient prete pour la mise en prod

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vendredi 30 août 2013

La religion en public est une perversion

J'ai regardé il y a quelques temps sur France4 le film Agora. Dans ce film, les fanatiques religieux à la croix du IVème siècle n'ont rien à envier aux pires abrutis du croissant qui ont dégommés les tours à New York.

A bien y réfléchir, il me semble que dès que la religion se pratique en public, elle ne peut que mal tourner, virer au fanatisme, à la surenchère, à l’intolérance, à la violence, avec assurément une dérive politique combinée à une volonté expansionniste. Pourtant, il me semble que le fait religieux est une donnée qui devrait rester exclusivement en privée, au même titre que le sexe, d'où le titre de ce billet.

Comment l'on vit sa sexualité est intime et se partage peu. Il n'y a pas de guerre pour défendre telle ou telle pratique. Tien, comme par hasard, il n'y a que la religion pour se mêler de ce qui se passe sous la couette, et à arriver à en faire un problème. Car franchement, tant que personne ne sait comment fait son voisin, qui en à quelque chose à faire ? À une époque il y avait des maisons closes, aujourd'hui des clubs échangistes ou de rencontre, le parallèle peut être fait avec les lieux de culte. Tant qu'ils restent du domaine du privé, chacun fait ce qu'il lui plaît.

Lorsque la religion est privée elle est paisible, elle parle à l'individu, à son cœur. Dès qu'elle se massifie, et surtout devient visible, elle s'adresse à une foule, par essence stupide[1], avec un discours forcément simpliste.


AGORA : BANDE-ANNONCE VF par baryla

Note

[1] Tout le monde sait que le QI d'une foule correspond à la somme des QI des individus, divisé par le carré du nombre d'individu. Au-delà d'une dizaine, il ne reste plus grand-chose...

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mardi 30 juillet 2013

Les joies du code: resto romantique après une dure journée de codage

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mercredi 3 juillet 2013

Les joies du code: quand je découvre ce qu’a vendu le commercial

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jeudi 13 juin 2013

Les joies du code: quand je pars a la chasse aux bugs

Je vous promet, c'est du vécu, et pas qu'une fois !

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samedi 30 mars 2013

Les marches du pouvoir

La cinémathèque de Nice diffusait hier soir le film de George Clooney, Les marches du pouvoir, un film sur une tranche de vie d'une campagne électorale aux USA.

Je n'ai pas aimé ce film, je ne l'ai pas aimé du tout. Le jeu des acteurs est excellent, les personnages complexes à souhait, l'histoire prenante avec des rebondissement. Bref, l'auteur nous entraîne avec talent dans l'histoire, mais le problème c'est l'histoire, pas la manière de nous y emmener. Le problème c'est le sentiment qu'elle laisse lorsque l'on sort de la salle. Le problème, c'est le message qui reste. Le problème c'est une histoire de merde racontée avec talent.

Si vous avez envie de voir ce film, ne me lisez pas plus loin car j'ai l'intention de parler de la fin, et donc de vous la gâcher.

Je dois être encore un enfant à rêver que dans une histoire il y a toujours une porte de sortie positive. Quant le héros meure à la fin, l'idéal qu'il a défendu pendant tout le film lui survit. Quant les méchants gagnent à la fin, en fait ils deviennent moins méchants et on aime à espérer que leur part de bonté que l'on a entraperçu va prendre le dessus. Quant le méchant perd, il ne perd pas forcément parce qu'il n'était pas capable de gagner (en général il est dix fois plus fort que le gentil), mais parce qu'il lui manque les bonnes valeurs, celles qui en feraient un gentil. Et ainsi de suite, une happy end n'est pas forcée d'être cul-cul la praline, mais à minima, il reste une trace que c'est le bon côté, les valeurs positives qui font réussir, qui apportent du bonheur, du positif, histoire de donner à nos bonnes actions quotidiennes un sens, une raison. Qui voudrait encourager nos attitudes négatives ?

Ce soir, j'ai vu un film dans lequel, pas un seul des personnage n'est pas un pourri ou une ordure. Tous sans exception glissent vers le côté obscur de la force, et l'auteur ne leur laisse aucune chance. Ils le savent et ils y vont quant même. Je suis sortis de ce film dégoutté. Quoi, c'est ça la politique ? C'est ça la plus grande démocratie du monde ? C'est ça que font les grands hommes ? Quel est le message qui reste ? Tous des pourritures, sans exception, machiavéliques, manipulateurs, menteurs, et au final sans plus aucun idéal, juste des machines de séductions pour gagner une élection.

Désolé, mais je n'accepte pas cette histoire. Je n'accepte pas que la seul chose qui puisse rester d'une histoire c'est "tous des pourris". Je me suis engagé en politique pour défendre la lueur positive qu'il y a dans toutes les réalisations humaines, pour faire grandir cette lueur pour qu'elle brille plus fort et que ce soit elle que l'on regarde, même si on sait qu'il peut y avoir des côté sombres. Je suis touché par ce film qui met le talent au service d'un message de merde.

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vendredi 15 mars 2013

Blagues geek du jour

There are 10 types of people. Those who don't know how to count in binary, those who do, and those who know indexing starts at 0.
Il y a 10 type de personnes. Ceux qui ne savent pas compter en binaire, ceux qui savent, et ceux qui savent que les indexes commencent à 0.

There are 10 kinds of people in the world — those who understand trinary, those who don’t understand trinary and those who mistake it for binary.
Il y a 10 type de personnes au monde, ceux qui comprennent le ternaire, ceux qui ne comprennent pas le ternaire et ceux qui le confondent avec le binaire.

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