UR 2011 du Mouvement Démocrate: "La parole libre de Jean-François KAHN"
Voir toutes les vidéo de l'UR2011
Cité dans l'article, le sapeur Camembert:
Politique, logiciel libre et autres digressions de Cédric Augustin - Saint Laurent du Var (Nice Côte d'Azur - France)
lundi 24 octobre 2011
Par Cedric Augustin le lundi 24 octobre 2011, 13:56 - MoDem
UR 2011 du Mouvement Démocrate: "La parole libre de Jean-François KAHN"
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Cité dans l'article, le sapeur Camembert:
jeudi 13 octobre 2011
Par Cedric Augustin le jeudi 13 octobre 2011, 07:59 - General
Voici une vidéo que j'ai prise lors de l'Université de rentrée du Mouvement Démocrate 2011 à Giens. Jean-Claude CASANOVA y explique la crise financière.
A l'issue de son intervention, un commentaire de François Bayrou. Les questions de la salle sont hélas coupées car je n'avais plus de mémoire.
En complément, retrouvez quelques notes prises à la volée depuis la salle : Sur la crise, la parole est libre de Jean Claude Casanova
mardi 11 octobre 2011
Par Cedric Augustin le mardi 11 octobre 2011, 08:20 - MoDem
UR 2011 du Mouvement Démocrate: "L'Etat-providence à l'heure des dettes" par Michel GODET
dimanche 18 septembre 2011
Par Cedric Augustin le dimanche 18 septembre 2011, 12:33 - MoDem
Extrait du discours de rentrée de François Bayrou lors de l'université de rentrée du Mouvement Démocrate 2011 à Giens :
Sont venus, d'horizon différents, des piliers de ce que l'on appel le centre. Ils sont venus par amitié, mais surtout parce qu'il y a le souci d'un peuple. Tout le monde perçoit les malaise de partout. Ils sont venu pour ça, car ils savent bien qu'il va falloir reconstruire.
Que disent-ils tous avec leur parcours différents : nous n'allons pas laisser notre pays continuer à s'affaiblir sans réagir. Ce rassemblement c'est une équipe pour la France, pas seulement pour le centre. Cette équipe va naturellement s'élargir. Quant tout deviendra clair du besoin impérieux d'un majorité nouvelle, d'une majorité centrale. Si ces compétences se revendiquent de la même famille d'esprit.
Ce n'est possible aujourd'hui que parce que nous avons été quelques uns à avoir refusé toutes les compromissions et n'avons été dans aucun accord sous-terrain.
Aujourd'hui peuvent se retrouver de bonne fois, sans crainte des gens d'horizons différents.
Tous les motif d'inquiétude ne sont que des symptômes, qui bien sur doivent être soignés, mais il faut trouver les causes, faire l'étiologie du mal français. « Les mauvais jours finirons », c'est tout le sens de notre engagement.
Nous avons l'exemple d'un pays similaire au notre, il y a 7 ans. En 60 mois, l'Allemagne a su prendre les décisions pour redevenir rayonnante et repasser devant la France. Il y a une vague de licenciement en Allemagne en ce moment, c'est à l'agence pour l'emploi !
Lorsque l'on est en temps de guerre on fait des majorités larges. C'est une guerre que nous avons à mener. C'est une guerre d'étranglement, d'enlisement, d'affaiblissement. Seul une majorité nouvelle peut mener cette guerre.
A gauche et à droite, il y a des gens qui disent que les problèmes viennent de l'extérieur (immigré, mondialisation), alors que pour nous c'est une certitude qu'il vienne de nous même. Ce sont des invitations à l'abstention. Cette nouvelle majorité sera composée de gens qui croient que c'est à nous de trouver des solution sans attendre que cela vienne de l'extérieur.
Il faudra à la France un agenda 2020 : instruire, produire et construire.
samedi 17 septembre 2011
Par Cedric Augustin le samedi 17 septembre 2011, 23:53 - MoDem
Si vous voulez ne plus avoir de problème avec la dette il suffit de ne pas emprunter.
Si vous croyez qu'au présent et pas à l'immortalité, vous faite des d'investissement de plus en plus court terme (plus d'investissement)
En même temps que l'on a inventé le prodigieux outil de la monnaie, on a inventé les crises monétaire. L'existence de l'assurance qui a permis le commerce maritime en mutualiser les risque. La crise est une crise de confiance des instruments bancaires. La croissance des actif financier est le double de la croissance des actif productif.
Tous les futurs retraités détiennent des créance, touts les gens qui ont des comptes en banque sont des créancier. Donc le patrimoine financier à beaucoup plus augmenté que le patrimoine immobilier. Comme nous ne produisons que la moitier du temps, le reste du temps nous sommes créancier. Donc la financiarisation est normal.
Le système financier, personne ne sait la quantité de créance par rapport à la quantité de biens. En 1930, on disait on disait d'un côté la monnaie et de l'autre le crédit. Aujourd'hui c'est pareil, car dès que l'on a une carte de crédit on a créé de la monnaie car la banque ne possède pas l'argent correspondant à ce que l'on peut dépenser avec sa carte.
Si le créancier à peur, il restreint la possibilité de créance.
Depuis 20 ans les taux d'intérêt sont bas. Personne ne l'avait prévu que ça durerait aussi longtemps. Les taux sont bas à cause de l'émergence de l'asie qui a une grande tradition d'épargne. Le monde asiatique est créancier du monde occidental. Le taux d'intérêt est de 1,5% zone euro à 3 mois et au USA à 0,12% (pakistant 13%).
Les états souverain ont tendance à s'endetter car c'est facile. L'endettement correspond à des périodes de guerre. Mais depuis 25 ans il y un accroissement de l'endettement.
On invente des quantité de systèmes pour permettre d'emprunter. On peu s'assurer contre tout. Il y a un nbr infini de créances.
Les américains dans les années 90 on libéraliser le système bancaire qui était très bridé suite à la crise de 1929. Il y avait une volonté politique de favoriser le crédit pour le logement. Et en 2007, les gens ont découvert qu'il y avait des créances douteuses, ce qui a provoquer la panique. En 32, les américain avait compris que laisser les banque faire faillite correspondait à une réduction de la masse monétaire, qui crée par boule de neige une contraction du système financier. Donc en 2007, pour éviter la faillite, on donne tout l'argent nécessaire au système financier, en s'engageant en régulant le système.
Les banquier européen n'ont pas envie que la réglementation américaine s'applique en plaidant que contrairement aux usa, les banques eu financent les entreprises.
La rente pétrolière correspond à 200 milliards cherche à se placer. Londres et NY sont les 2 pôle. La crise US se propage aussi à Londres.
Il y a en Espagne, une bulle immobilière avec plus de logement que la demande à cause du faible coût du crédit. Le gouvernement espagnol a laissé construire des logements avec 0% d'apport, et donc des faillite prévisibles s'il n'y a pas de locataires. En Irlande et en Islande, il se sont mis à faire des banques comme à Londres. La bulle bancaire a explosé avec un système bancaire plus gros que l'état qui l'a ruiné.
La Grèce est un pays sous développé fiscalement. Ce pays structurellement débiteur dans ces finances public qui pouvait emprunter à 3%. A 10 ans la Grèce emprunte à 22% alors que la France à 2,2%. C'est un pays qui ne peut plus s'endetter, car il se l'est trop.
Pourquoi on ne dit pas que la Grèce fait faillite comme les argentins ou les mexicains ? Par ce que brusquement tous les bons du trésors européen deviendraient suspect, tous les système financier occidental est en danger car plus personne ne prête.
Comme on sait pas ce qui va se passer en 2012 (double deep, 2ème crise). Inquiétude de la conjecture US et européen. Il faut sauver les meubles.
Ce serait très heureux si nous avions un taux de croissance à 1% dans les prochaines années. Si on est à 0 ou en dessous c'est que la crise s'est amplifiée.
Faire une réglementation est très difficile pour définir jusqu'où l'on peu prendre des risques.
En Europe nous avons des hommes médiocre et des institutions incertaines pour mettre en oeuvre les décisions nécessaires. En gros ils vont tous dans la bonne direction. Les euro-obligation : votre voisin à le droit d'emprunter et vous devez le garantir. Cela implique un mécanisme de vérification qui est un vrai système fédéral. Pour pouvoir voter un accroissement de l'endettement de la France il faudra l'avis des autres pays eu. Ce sont des remède à 4 ou 5 ans.
La BCE a fait des progrès « au feu » en achetant des emprunt grec pour garantir la stabilité de la zone euro.
Cette crise va être gérer entre les élection française et allemandes de 2012, donc ce sera douloureux. Les japonais ont eu 10 ans de stagnation.
Il va falloir agir sans institution.
Par Cedric Augustin le samedi 17 septembre 2011, 23:50 - MoDem
L'atelier est animé par Fadila Mehal qui s'appuie sur le travail de la commission du shadow cabinet sur les discriminations.
Vivre ensemble et faire ensemble. Le vivre ensemble a énormément souffert en prétendant lutter contre les communautarismes, ils ont été au contraire favorisés par la politique de N Sarkozy. Malheureusement les effets ne sont pas près de disparaître: le débat sur l'identité nationale (qui est un vrai débat, mais traité en stigmatisant), la stigmatisation des Rom, le faux débat sur l'islam qui était bien un débat sur l'islam et non la laïcité... Il y a pas eut le courage politique nécessaire pour faire en sorte que les musulmans ne se sentent pas aussi seul. Donc il ne faut pas s'étonner ensuite qu'il y ait des réponses communautariste. C'est une conséquence directe du manque de courage politique. Quant on attaque une des composante de la société, on attaque tout le vivre et faire ensemble qui fait le lien de notre société.
Le sous titre du magazine est « décoloniser les imaginaires ». Les imaginaires sont dans chacun comme victimisation ou image de l'autre.
Vivre ensemble cela s'apprend, cela s'impulse.
Remarque de Fadila : F. Bayrou a été un des premier à dénoncer le pouvoir qui mettait au pilori le vivre ensemble. Pourquoi un média, en quoi est-il différent ? Comment les média généralistes traitent ces sujets ?
Rep : les métissages de la France d'aujourd'hui, est un sujet globalement positif, mais pourtant cette idée (positive) était absente des média, qui ne voit ce sujet que par le petit bout de la lorgnette. Les problèmes dans les banlieue sont mis en exergue, mais pas ce qui marche bien. Faire le média de la diversité ce n'est pas faire le média des minorités mais de la France.
Q de Fadila : est-ce que lorsque l'on est anti raciste on lute contre la discrimination ?
Malheureusement une association comme la licra a encore besoin d'exister. On peut dire tout et n'importe quoi sous couvert de liberté d'expression. Par exemple, l'auteur de l'application « juif ou pas juif » ne comprend pas le modèle français, car il ne regarde que le modèle anglo saxon, qui n'a pas le même passé que notre pays.
J'espèrerai qu'il n'y ai pas l'année prochaine un climat délétère, mais cela ne s'annonce pas bien. Les gens assument de plus en plus d'être raciste comme si le racisme était une opinion, alors que c'est un délit.
Une de nos fierté est d'avoir apporter le débat LGBT au MoDem. Sur les 5 dernières années on a vu une augmentation drastique de la communautarisation, non pas de la part de ceux qui sont différents, mais parce que le gouvernement segmentarise les gens, nous amenant à réfléchir de manière communautaire.
Ce qui caractérise Centre égaux c'est le principe d'égalité, qui permet de réduire la segmentarisation.
Les partis politique excluent plus qu'il inclus (le MoDem fait l'inverse). Sur 1722 conseillers généraux, 12 sont issus de la diversité (mesuré sur des données empiriques). En politique (dans l'inconscient collectif) on pense que les français ne sont pas prêts à élire une personne issue de l'immigration.
Le cumul des manda est un autre frein à l'intégration. La première difficulté c'est la classe sociale plus que la couleur de peau. Elle est aussi générationnelle. Les jeunes on besoin de modèle, mais pas forcément de leurs parents.
Il y a une auto exclusion qui existe et il faut aussi la combattre.
Un texte adopté en première lecture à l'assemblé pour le vote des étranger n'a jamais été présenté au sénat.
En tant qu'enseignant j'ai été frappé par le nombre de classe mono-color. Il faut redonner des lettres de noblesse à l'école.
Salle : pourquoi la ségrégation est défendu par ceux qui le subisse systématiquement ? Rep : la diversité est sociale. Rep2 : il y a des représentation raciale et pas seulement sociale. C'est très difficile de se baser sur quelque chose de scientifique car on a pas de photographie statistique de notre société. Il faudrait pouvoir mesurer la diversité. Rep3 : les victimes ne rejoignent pas les associations de défense. A la LICRA nous sommes contre la mesure de la discrimination.
Q : comment fait-on avec 52% d'an-alphabétisation de migrants. La maternelle est une langue étrangère pour certains.
A Dolium : comment voyez-vous l'expérience française par rapport aux autres pays européen (Angleterre, Allemagne, Canada). Rep : le modèle français ne peut plus se suffire à lui même. Il y a des EXPERIENCES qui devraient nous nourrir, sous le regard de l'expérience français mais pas du modèle.
Salle : les personne les plus discriminés sont celle victimes de handicap et on en a pas parlé ici (Rep: oui mais dans un autre atelier). Si un noir porte le message de la discrimination, il est moins entendu que si c'est un blanc.
Saïd : différence entre communauté et communautarisme. Nous ne devons pas parler de discrimination mais d'égalité au MoDem.
Sur la photo, de gauche à droite : Fréderick Getton, Ahmed Tabit, Fadila Mehal, Antoine Baufort et Marc Chebsun
Par Cedric Augustin le samedi 17 septembre 2011, 11:24 - MoDem
En vrac, mes prises de note. Si j'ai un peu de temps j'essaierais plus tard de les mettre un peu en forme avec les quelques photos que j'ai prise.
Après une introduction rapide d'Alain Dolium, dans laquelle il rappel que faire de la politique autrement, ça à l'air d'être simple, il passe la parole au premier invité.
IPSOS ce n'est pas que des sondages, dans un société de communication avec des émetteurs et des récepteur, c'est aussi des études des états d'esprit des personnes qui reçoivent des messages.
Rapport aux autres : 80% des français ne font pas confiance aux autres. Les plus jeunes sont aussi les plus méfiants.
L'avenir : c'est un problème pour les français. Seulement 16% pensent que nous allons dans la bonne direction (80% en Chine).
La mondialisation est considérée comme bonne pour seulement 51% des français (contre 87% pour les chinois).
Comment en est-on arrivé là ?
C'est une succession de stimuli qui ont se sont accumulés depuis des années. Si ont a confiance, on a confiance dans la pub, dans les média, la politique. Durant les 30 glorieuses on avait confiance dans le système, car en travaillant en CDI on avait accès au crédit, à la consommation et il y avait la croyance que demain serait toujours meilleur.
Les 30 foireuses. On arrive au concepts de travailleurs pauvres. L'environnement médiatique construit l'idée que l'on est en déclin (déclinologues, réchauffement climatique, crise...). Le Franc est regretté par 69% des français. 60% craignent de devenir SDF. et celui qui devrait incarner la confiance, N Sarkozy, n'est pas crédible, et participe de la déception, du doute et du malaise. Les français se souviennent de toutes les promesses qu'il a fait pendant la campagne présidentielle. Or, avec Internet il est possible d'aller cherche de l'information contradictoire, ce qui diffère du temps de l'ORTF, et du coup lorsqu'un ministre dit qu'il n'y a pas de pagaille, il est immédiatement démenti et sa parole n'a plus aucune valeur.
Conclusion, c'était mieux avant car demain c'est pire.
Moi le centre du monde.
L'individu est construit comme seul par la com et le marketing. Du coup il a le sentiment de ne plus exister dans un système global dans lequel il serait impliqué. D'où le doute et l'infidélité (politique ou au marques).
J'ai travailler avec le PS ou l'UMP. A chaque fois on s'aperçoit que le politique ne reprend que ce qui l'intéresse du réel, d'où la coupure du politique avec le réel. Et à chaque fois que l'on rentre dans un parti, on a une partie de soit qui s'en va car il faut avoir la langue de bois.
En fait lorsque l'on fait des chose, on le fait avec des gens qui ont de la probité, de gauche comme de droite. Les expérimentations qui font améliorer les chose de la vie.
Nous sommes au bout d'un système (30 glorieuses), notre logiciel est au bout, il faudra en changer, nous ne sommes plus dans l'état providence. Il va falloir faire des chose plus localement et loin de l'esbroufe nationalle.
Par exemple, ça fait 15 ans que l'on parle de diversité mais le smilblic n'a pas avancé. La politique c'est comment nous vivons mieux ENSEMBLE. En grec, le mot crise veut dire que c'est le temps de la décision.
On se conforte dans son propre parti politique si on ne discute pas avec les autres. Plus on est dans le transversal et que l'on est ouvert on crée des conditions pour changer de politique.
Il présente une expérimentation qui n'aurait pas pu être réaliser si on était resté dans la matrice politique, car on serait resté au niveau dogmatique.
Les jeunes passionné de foot sont mono discipline. Pour les ramener vers l'école via le foot pour leur montrer tous les métiers autour, le foot n'étant qu'une étape de la vie et un prétexte pour les rencontres. Les jeunes doivent être acteurs et aller chercher la formation donc ce projet n'est pas composé de formations didactiques.
Le stade de France n'a jamais fait d'action pour son environnement, 90% des jeunes de Seine St Denis n'ont jamais été ne serait-ce que dans le quartier du stade.
Utilisation des outils multimédia pour réintroduire les matière scolaire : exemple avec la caméra tenu par un jeune qui en film un autre, qui permet d'étudier un geste sportif, et réintroduire d'autre concepts "scolaires".
Les modèles (personnes spécialistes) de différents métier qui ont un lien avec le secteur du sport sont présenté aux participants et pas seulement les champions de foot (responsable technique d'un stade, soigneur, entretien...).
La carte heuristique permet de réapprendre à poser des questions. Par exemple l'image permet de s'affranchir des carence en orthographe, le syndrome de la page blanche et au final de poser des questions.
Ils sont très fiers de réaliser qu'ils sont capables de faire des choses lorsqu'ils les présente à la fin de l'expérience à leur famille ou enseignants, alors qu'ils sont habituellement dévalorisés.
1) Les partis politiques sont-ils définitivement hors jeu ?
2) La transversalité permet des investissement pragmatique et non dogmatique. La difficulté est l'évaluation qui est longue L'expérimentation a un temps incompatible avec le temps politique.
Yves : (1), non à une condition. Les fr on l'impression que les partis sont interchangeables. Il n'y a pas d'éléments structurants qui permettent de se positionner. En 2007 il y avait des clivages forts. Si les partis politiques sont là pour commenter l'actualité comme les journalistes, il ne servent à rien et perdent leur légitimité. Il y a un manque de représentativité, les gens ne se retrouve pas dans les élus qui ne leur ressemble pas.
Salle : dans leur inconscient, les gens pensent que les politiques n'ont plus aucun pouvoir, et que c'est l'argent qui domine. Rep : les fr se posent la question de qui prend les décisions. La situation actuelle de l'ensemble des crises, nous fait penser qu'une partie échappe à nos gouvernants. L'ensemble de nos élites est issus des même moules. L'ensemble de l'élite est issus d'une centaine de maternelle. Cette élite a beaucoup plus de mal à appréhender le réel, car elle semble s'en être déconnecter.
Il n'est plus question de donner des chèques en blanc à l'élite politique. Des organisations (association issue de la rue) s'érigent comme contrôle.
Salle : il y a une différence d'attente vis à vis du pouvoir publique entre la fr et les USA, exemple un club de sport en France est forcément financé par la municipalité, alors qu'au usa pas 1 centime. Rep : la fr a des particularités. On est un pays qui a beaucoup protégé. Les acteurs du changement local pensaient que les collectivité pouvaient. Et quant elles ne peuvent plus, il faut changer de logiciel. Quant est-ce que l'on change ce logiciel qui nous fait croire que l'on va aller vers la fin du tunnel.
La société française est extrêmenet verticalisé (rente de situation).
Rep : nous sommes dans une société dogmatique, le projet Stade-up (Diambars) a eu du mal a être mis en place, car ce qui existe, qui n'est que du colmatage, n'y croyait pas (éducation nationale, club, FFF). Il faut que les jeunes se posent des questions. En France il y a les sachants et les autres et on s'adresse aux sachant au lieu de se poser des questions.
Salle : la culture politique se transmet de génération en génération.
Rep : des gens se mettent a se poser des questions, à remettre en question leur déterminisme, lorsqu'ils ne peuvent plus devenir propriétaires, n'ont plus la sécurité ou la santé.
Par Cedric Augustin le samedi 17 septembre 2011, 08:48 - MoDem
Rien à voir avec la choucroute, mais je vous présente ma chambre au village vacances. Forcément, comme je ne me suis pas inscrit à l'avance, il a fallu improviser à cause de l'affluence qui fait que tout le monde n'est pas hébergé sur place.
J'ai pris l'option chambre individuelle avec terrasse vue mer pour le petit déj.
vendredi 16 septembre 2011
Par Cedric Augustin le vendredi 16 septembre 2011, 23:47 - MoDem
Il n'y a pas que les discours sérieux lors d'une université de rentrée. Déjà il y a les repas pendant lesquels entre militants on continue à refaire le monde après les plénières, ou on se racompte les atelier auxquels l'ont n'a pas puy participer[1].
Il y a aussi les atelier où quant on est comme moi une grande gueule, on ne manque pas de se faire remarquer[2], du coup j'ai papoter avec pas mal de personne au sujet de notre site départemental.
J'ai croisé aussi un blogueur un peu particulier. Hervet Torchet, dont j'aime bien la plume, mais je ne suis pas tjs d'accord avec lui. C'est sympa de mettre un visage réel sur une personnalité numérique. Je ne vous cacherais pas que je ne l'aurais pas reconnu, car il a la coquetterie de mettre une photo de lui plus jeune. C'est lui qui est venu vers moi, pendant que nous choisissions nos desserts.
Bon là je suis un peu tout seul devant mon clavier, donc je vais rejoindre les autres. Je continuerai de vous mettre les autres billets plus tard.
Par Cedric Augustin le vendredi 16 septembre 2011, 23:37 - MoDem
Deuxième prise de parole de cette table ronde, Pierre Mehaignerie, ancien président du Centre des démocrates sociaux, il est membre de l'UMP depuis 2002.
On m'a demandé, les journalistes, « Pourquoi allez-vous à Giens » ? Lorsque François Bayrou me l'a demmandé, j'ai répondu oui en ne demandant la permission à personne. Nous avons divergé sur la stratégie, mais pas sur le fond. Je suis venu pour réunifier la famille centriste. En 86 nous étions ouvert mais on nous a claqué la porte[1].Aujourd'hui, la famille socialiste n'est pas plus ouverte à cette alliance.
Aujourd'hui, nous avons près de 630 milliard de dépense sociale. Nous avons la 2ème espérance de vie à la retraite de 25 ans et il faut la financer.
Un article du Monde comparait les salaires des enseignants français et allemand et concluait à une différence de 20%. Cependant, le salaire indirect en France est 20% plus élevé qu'en Allemagne (32% en Allemagne, pour 53% en France). Notre pays se caractérise par un salaire direct plus faible, et un salaire indirect plus fort.
En France les prestations sociales servent à corriger les inégalités au lieu que ce soit l'impôt. Il y a un problème d'inefficience. La décentralisation devrait permettre d'introduire de la responsabilité.
Comment inciter au retour au travail (work fare) ? Une société d'assistance n'est pas favorable à la dignité. Comment redonner le goût au métier de l'industrie, par exemple, seulement 5 candidats dans un nouveau BTS maintenance industriel.
Comme Bayrou, je soutient que les 5.4% de cotisation familiale doivent aller vers l'impôt sur le revenu pour assurer la compétitivité de notre pays. Il faudra aussi travailler plus, en France nous travaillons en moyenne[2] 1568h/an, pour 1661 en Allemagne et 1840 dans les pays nordiques.
Nous avons pourtant tous les atouts d'une grande puissance. Lors d'une rencontre à Londre, Gordon Brown nous demandait à notre délégation (qui comportait N. Sarkozy) « expliquez moi le pessimisme français ». La France est la seule à avoir de grandes entreprises (avec l'Allemagne), un fort taux d'épargne, et avec la population vieillissante, du soleil... si l'Angleterre avait tout ça ce serait le bonheur.
[1] Il parle des socialistes.
[2] Chiffres corrigés en allant sur le site du JN car ils me semblaient faux.
Par Cedric Augustin le vendredi 16 septembre 2011, 23:26 - MoDem
Première table ronde de l'après midi qui suit un discours d'accueil du président des Jeunes Démocrates, François Xavier Pénicaud et du secrétaire du Mouvement Démocrate, Marc Fesneau[1].
Robert Rochefort qui a organisé et anime cette table ronde fait la présentation des invités et souligne que les 2 mots clés de ce titre sont au cœur des préoccupation de notre mouvement, et ancré dans notre famille politique depuis très longtemps.
Depuis 40 ans, près de 30 plans de sauvetage de la sécu ont été lancés, avec souvent des centristes pour les mettre en œuvre. Mais reconnaissons que ces plans ont beaucoup été du bricolage, pour sauver quelques millions par ci ou par là, fait sur le coin d'un bureau ministériel le soir, sans une vision globale.
Il y a 30 ans, la sécu n'avait pas le droit à la dette, et déjà à l'époque il y avait des angoisses chaque années pour savoir comment financer les hôpitaux. Et puis ont été créer des mécanismes qui permettent à la sécu de s'endetter.
Aujourd'hui, nous voulons être responsable, et il va falloir faire des efforts. Les décisions seront difficiles. Il faudra récupérer des recette supplémentaire et être vigilant sur les dépenses.
Il faut inventer un management de la dépense sociale et pas seulement comptable[2]. C'est une conception bien étrange de croire que l'on responsabilise les citoyens en augmentant le tiquet modérateur ou en donnant des primes ou des sanctions financières aux médecins.
La protection sociale a été faite avec les partenaires sociaux, malheureusement, la réforme des retraite a été faite sans eux[3].
La stigmatisation des chômeur qui seraient des fainéant est insupportable[4]. Nous voulons une protection sociale qui soit un ferment social et non qui stigmatise certains.
[1] Voici quelques notes prises à la volée, donc forcément imprécises et non exhaustives.
[2] J'adore cette assertion, c'est ça la politique. La politique ne peut pas se contenter de faire de la comptabilité, c'est pas pour ça que l'on vote, il y a des fonctionnaire nettement plus compétents que nos élus pour la compta.
[3] Et pas qu'elle...
[4] J'ai pas réussi à noter le mot, donc c'est le mien.
Par Cedric Augustin le vendredi 16 septembre 2011, 23:03 - MoDem
Voici le slogan de cette université de rentrée du Mouvement Démocrate 2011. Visiblement Bayrou a envie de répondre une foi pour toute à cette question que lui balance constamment ses détracteurs à la figure, en faisant semblant la plus part du temps de ne pas l'entendre (ou le comprendre) lorsqu'il répond.
Le site du village vacance est toujours aussi agréable[1], d'autant que pour le moment la météo est avec nous avec un temps magnifique. Tellement beau, que l'équipe d'organisation a préféré organiser les premières tables rondes dans la grande salle à l'ombre et accessoirement climatisée.
Première grosse déception, je n'ai pas de téléphone, mon opérateur Bouygue ne passant pas. Sincèrement je ne pensais pas être au bout du monde sur la presqu'île de Giens, juste en face de Hyères. Cet opérateur est clairement urbain, c'est ahurissant. Même en Thaïlande la couverture téléphonique était de meilleur qualité. Bref pas de twitt ou de photo sur face de bouc, ça commence bien pour notre « couverture exceptionnelle » de cet événement.
Du coup je n'ai eut accès au net que ce soir. Et encore, quant on parle d'accès au net, pour le réseau, le village vacance est aussi au bout du monde et donc il faut économiser la bande passante. Du coup, pour les photos et vidéo, il faudra viser entre les périodes de rush, typiquement hors repas et admission.
Mais trêve de ralerie[2], passons au contenu.
mardi 13 septembre 2011
Par Cedric Augustin le mardi 13 septembre 2011, 19:32 - MoDem
En ce moment, tous les militants y pensent et je ne fait pas exception.
Pour l'Université de rentrée du Mouvement Démocrate, du 16 au 18 septembre à Giens, nous, l’équipe du MoDem06, sommes en train d'essayer de mettre en place, comme les années précédentes, les moyens de vous faire partager un petit peu de ceux que nous allons y vivre.
Mais je ne saurais trop vous recommander d'y venir plutôt que de les suivre par procuration. Un système de covoiturage a été mis en place : http://ur2011.jeunesdemocrates94.fr... (j'en fait un peu la pub car il y a pas grand monde dessus).
En substance, nous allons utiliser tous les canaux du net à notre disposition (blog, facebook, twitter, dailymotion ou youtube...) pour vous proposer du texte, du live, des photos et des vidéos.
Sur ce blog, tous les billets utiliseront le tag UR Modem 2011. Mais la vraie porte d'entrée sera le blog départemental, qui référencera tout ce qui aura été produit par les militants du 06 (à minima) lors de cette université de rentrée.
A bientôt.