Mot-clé - Thaïlande

Fil des billets - Fil des commentaires

jeudi 11 août 2011

Micro business

C'est la chose qui m'a le plus marqué, et que j'avais déjà noté en Chine, mais même, dans une moindre mesure, aux USA.

Le micro business consiste à gagner quelques centimes. Faire une opération économique qui rapporte très peu. En Thaïlande, une course en moto taxi ou tuk tuk peut se négocier moins de 40 bath, soit moins de 1e. À contrario, la même course en taxi comportera obligatoirement une prise en charge de 37 bath, donc excluant les petits trajets.

Les faibles prix de la nourriture (on peut manger copieusement dans certaines cantines à partir de 25 bath, 60c) peuvent expliquer qu'il suffise de quelques transactions à faible rapport dans la journée pour se payer ses repas. Le climat tropical réduit aussi considérablement les dépenses en logement: pas de chauffage, pas d'eau chaude, pas d'isolation. La première dépense énergétique est le transport (essence à 1e le litre), la 2ème doit être la clim et pour ceux qui n'achète pas à manger dehors comme cela se fait, le gaz.

Le micro business est partout en Thaïlande. S'il suffit de quelques dizaines de bath, alors il devient rentable de réparer. Faire une marge de 5 bath sur la vente d'une bouteille d'eau est rentable (pas en zone touristique bien sûr).

Le système occidental a tué le micro business (et contamine bien sûr le système Thaï). Un temps, j'avais espèré que le statut de micro entrepreneur en France pouvait réintroduire une certaine forme d'économie que je qualifie de non rentable, du moins selon les critères des banquiers. Helas le micro entrepreneuria a été abondamment détourné par l'industrie du bâtiment pour réintroduire de la précarité.

Il n'est pas évident de trouver une transposition française de ce qu'est le micro business que l'on croise en Thaïlande.

Partager Partager ce billet sur les réseaux sociaux

mardi 9 août 2011

Bon ben c'était à prévoir

Je n'ai pas tenu la cadence des billets durant le séjour. J'ai bien gardé des notes dans un coins de ce que nous avons fait, mais rien de publiable. Les vacances c'est les vacances, et les contraintes, c'est pas les vacances.

Je vous fait donc un petit résumé succinct de ce que nous avons fait depuis le dernier billet publié sur ce blog.

De Kanchanaburi, nous sommes allé au park national d'Erawan, faire une petite randonnée dans la jungle pour voir les 7 cascades, ponctuée de baignades dans quelques une de ces magnifiques cascades.

Le lendemain, départ en bus pour Chunpum, puis en bateau de nuit pour l'ile de Ko Tao, un des spot les plus fameux de plongée sous marine, avec des plages de carte postale. Nous y sommes restés 4 jour pour passer nos niveaux de plongée et nous en mettre plein les mirettes de la faune coraliène.

Après Ko Tao, retour sur le continent, direction le parc national de Kao Sok, pour découvrir son paysage géologique si particulier et son lac artificiel au coeur de la réserve. Parmi les découvertes, en plus du paysage, grote avec extraordinaires concretions, descente de la rivière sur des chambres à air de camion, safari de nuit et nuit dans une cabane dans les arbres.

Ensuite, direction Phuket. Aucun plan particulier. Nous avons loué 2 scooters afin de pouvoir nous ballader à notre rythme. Parmis les objectifs, visite des marchés et supermarché pour découvrir les différences avec nos centres comerciaux et faire le plein de souvenirs, de préférence, alimentaire, mais pas uniquement.

Les commerces, ceux fréquentés par les thaïssont de bons endroits pour découvrir les différences culturelles, bien plus que les sites touristiques, mais il faut prendre le temp, surtout pour comprendre ce que sont les produits lorsque tout est écrit en thai.

Partager Partager ce billet sur les réseaux sociaux

jeudi 28 juillet 2011

Note 2 de service vacances

La couverture téléphone et internet mobile étant excellente, peut être meilleure qu'en France, même si le débit est moindre, du coup, je ré-ouvre les commentaires du blog.

Par contre, comme je le surveille moins que les emails, je compte sur vous pour m'envoyer un email si des commentaires inappropriés y sont postés.

Petite remarque sur les dates des billets: je les antidate pour que la date du billet corresponde à la date de ce qu'il raconte. Même chose pour cette note, écrite le 31, mais publiée au 28, les billets du 28 au 30, n'étant pas terminés.

À bientôt.

Partager Partager ce billet sur les réseaux sociaux

mercredi 27 juillet 2011

Bulle intensive et cuisine

La patrone s'étant programmée une journée de cours de cuisine thaï (chez Apple & Noi, qui fait aussi restaurant et hêbergement), j'ai opté pour ma part pour une journée de bulle intensive, journée qui tombait d'autant mieu que le fiston avait attrapé une bonne tourista, et était en mode, je visite les toilettes rien d'autre !

Mais, croire que je pourrais rester pénard ne serait-ce qu'une demi journée, relève de l'utopie.

Pendant qu'à force de persuasion, j'obtenait que son frère élargisse son rayon d'exploration, nous sommes partis avec ma puce en moto taxi à la gare réserver des billets pour la suite des vacances. Bon sauf qu'il n'y avait plus de courant pour faire fonctionner l'ordinateur de réservation. Du coup nous sommes reparti aussitot. Le tour de manège (à 3 surla mobilette et sans casque) nous aura un peu couté chers, mais cela fait un nouveau mode de transport à ajouter à la liste des expériences.

Dans l'après midi nous rejoignons ma cuisinière préférée qui s'est régalé et nous raconte pleins d'annecdotes pendant que nous dégustons ses réalisations. Je ne sais pas si l'on trouvera toutes les épices utilisées à notre retour en France, mais en temps que gourmand, je suis ravi, d'autant plus en voyant son sourire et son entousiame à l'issus de cette journée.

Toute la famille réunie, nous retournons à la gare, pour découvrir que nos plans sont iréalistes: impossible de faire les correspondances avec les trains de nuit, si tant est qu'il y ait de la place, et pas de couchette sur le tronçon souhaité. Les enfants sont courageux, mais quant même, faut qu'ils puissent dormir. La journée de canoé sur un bras de la rivière saute, nous voyageront de jour et essaierons de naviguer de nuit, mais ça non plus c'est pas gagné, car il y a encore moins de correspondance entre le train et les bateaux. Retour en taxi collectif, autre mode de transport testé.

Le soir de cette journée supposée inactive, les enfants se sont baignés dans la rivière Kwai, depuis l'arrière de la barge, dans une eau bien boueuse, à cause de la saison des pluies. Visiblement, la tourista est passée. Voilà une bonne nouvelle.

Partager Partager ce billet sur les réseaux sociaux

mardi 26 juillet 2011

Maison flottante

Nous arrivons en fin de journée à Kanchanabury, ville moyenne de province comme aimeraient à le dire les gens de la capitale. Il y a de la place ici, et la ville semble avoir été reconstruite recement. La plus pénalisante différence avec la capitale, c'est la rareté des taxi ou tuk-tuk. A Bangkok, où que l'on soit, il suffit de tendre le bras, ou au pire d'attendre un peu pour avoir un taxi. Du coup, par rapport à Bangkok, les prix sont exorbitants et difficilement négociables, car faire mine de partir pour faire baisser les prix fonctionne beaucoup moins quant il n'y a pas de concurence, sauf à être prêt à marcher !

Nous logeons sur le fleuve (Nita Rafthouse) dans des chambres simples construites sur en ensemble de radeaux. Le patron qui parle un très bon anglais, est un passionné de cinéma et a une super installation home-cinema et propose dans la maison flottante commune des films US récents. Comme c'est une adresse recomendée par le routard et le trotter (version hollandaise du routard), on retrouve plein de francophones et néerlodophones. Ca papote autour des transports ou des visites à ne pas manquer, dans le grand salon. Une chouette ambiance.

Partager Partager ce billet sur les réseaux sociaux

Hot, hot, hot

En quitant le parc aux éléphants, nous faisons un petit détour par le temple de Thong Pha Phun, perché sur un piton rocheux au dessus du cour d'eau. En traversant l'esplanade entre les maisons des moines qui sont installés en contre bas du temple, nous sommes surveillé de prêt et houspillé par une horde de chiens pas forcement tous amicaux (un a même essayé de me mordre) et l'on se dit qu'il est heureux que nous soyons en pleine journée. Au moment où nous quittons l'esplanade, un gong retentis, salué par un concert de hurlements de chien. A notre retour du temple, les chiens nous ignorent totalement. Visiblement avant ou après le repas, les chiens n'accueillent pas les touristes de la même manière.

Nous quittons Thong Tha Phun après un détour obligé au marché local pour nous acheter une tuerie locale, le beignet de banane : ce sont de petites bananes, moins sucrées que celles auxquelles nous sommes habitués en France, avec une pate à beignet aditionnée de graines de sésame. Une tuerie je vous dis !

Sur la route vers Kanchanabury, nous faisons un arrêt aux sources chaudes de hindat. C'est la première fois, malgrè mon grand age que je test les bienfaits de l'hydrothérapie. Pour être sincère, l'approche suédoise avec sauna suivi de la neige m'a toujours paru être un truc de fou. Par contre, la version thai m'a beaucoup plu. Trois piscines à température différentes (je n'ai pas réussi à aller dans la plus chaude), qui se vident dans la rivière, dans une eau à plus de 25°. Je pense que je réessairai si je retrouve quelque chose de similaire, c'est très relaxant, le soir on dort bien après.

L'esprit de la météo est toujours avec nous : il tombe une grosse averse pendant que nous attendons tranquillement à l'arrêt de bus en dégustant des fruits, mais elle s'arrête opportunément pour que nous puissions monter dans le bus et reprend ensuite lorsque nous sommes au sec. Quand on vous dit que la Thaïlande est accueillante avec ses touristes ;)

Partager Partager ce billet sur les réseaux sociaux

lundi 25 juillet 2011

Eléphant thérapie

Le projet de François, est de créer un centre d'éléphant thérapie, comme il en existe avec les chevaux, les dauphins ou les chiens. La différence, du moins pour ce que j'en ai compris, réside dans le rythme imposé par les éléphants eux-même. La force tranquille qu'ils dégagent ne peut laisser indiférent.

Je vais vous parler d'un autre truc qui m'a vraiement touché. Comment peut-on se lancer dans un projet aussi fou d'un centre d'éléphant thérapie ? C'est le genre de projet qui me fait rêver, non pas que je veuille ouvrir un centre similaire, mais la démarche, limite utopiste qui aboutie à ça m'interpelle. Et au dela des déboires de la mise en oeuvre qu'il nous compte, aujourd'hui, cela prend tournure.

Tout le projet réside sur un financement par des touristes, mais j'ai adhoré me faire emporter dans un petit bout de ce projet. François et son épouse sont des perfectionistes qui connaissent la force du bouche à oreille. Ils ont tout pensé pour nous afin que nous n'ayons qu'à savourer notre rencontre avec les pachidermes.

La journée que nous avons passée avec les éléphants est avant tout une découverte pour nous occidentaux stressés de l'univert des éléphants. Juste un avant gout, qui permet d'effleurer le projet fou de ce français qui voulait des éléphants et qui a transmis la passion à son fils Kenji qui a déjà fait le maout et qui rêve avec son père d'avoir son éléphant.

J'ai adoré comment ils nous faisaient les découvrir. J'ai aimé le professionnalisme tout autour de son projet pour que cela reste une expérience à part dans des vacances pourtant riches en découvertes.

Partager Partager ce billet sur les réseaux sociaux

Les grosses bêtes

Qui dit parc aux éléphants, dit grosses bêtes avec une trompe. Sur son site web ou dans le petit livre qu'il a écrit sur son aventure avec les éléphants, François en parle comme un passionné.

Aujourd'hui, il s'adresse à une clientèle francophone, et sa proposition est typiquement pour les gens rétifs aux ballades façon parc d'attraction. Nous sommes 6 à aller à la découverte des pachidermes, accompagnés des 3 maouts (ceux qui s'occupent et dirigent les éléphants) et du fils de François, Kenji, qui parle parfaitement français, et parmi ses inombrables talents fait de chouettes photos. Autant dire que l'on est loin du tourisme de masse. Les héros du film de la journée sont les éléphants et nous sommes invités à jouer un second role sur le même plateau, pas seulement à être spectateur.

Je ne vous racompterai pas sur ce blog la rencontre avec les grosses bêtes, ni le déroulement de la journée, il vous faudra aller voir, ou à défaut en causer avec ceux qui l'on vécu, s'ils veulent bien partager un peu de la magie enfermée dans leur album photo.

Partager Partager ce billet sur les réseaux sociaux

dimanche 24 juillet 2011

Les petites bêtes

Depuis que nous somes arrivés, nous nous attendions a nous faire chiquer par les petites bêtes. Nous n'avons quasiment pas été piqué, et même lors de notre ballade dans les canaux, nous n'avons pas subit le désagrement des suceurs de sang, du moins, beaucoup moins qu'en ce moment chez nous avec les moustiques, tigres ou pas, qui font des descentes saignantes tous les soirs.

Le soir ne notre arrivée au camp des éléphants, j'ai voulu profiter de la jolie terrasse avec vue sur le lac pour y rédiger ma prose. Si là non plus je n'ai pas eut à subir les désagréments piquants des moustiques, je me suis retrouvé dans une nuée de moucherons, petits cafards verts brillants et papillons de toute sorte, attirés par la lumière ou peut être tout simplement visibles dans le halo du tube de néon.

Et pour profiter de tous ces insectes volants, en plus des chauve souris, plusieurs petits lézards, très similires à nos gékos, se faisaient une ventrée de papillons ou moucherons.

J'ai finalement abandonné. Même sans être piqué, ce n'est pas naturelle pour moi d'avoir autant d'insectes qui me volent autour, ou se posent sur moi. Je continuerai à écrire demain.

Partager Partager ce billet sur les réseaux sociaux

Le camps des éléphants

Nous arrivons un peu fourbu d'une journée de transport en train puis bus, dans un cadre magnifique.

En attendant l'apéro, je profite de la vue dégagée sur le lac, assis sur un tronc d'arbre, un peu comme dans le film "le bonheur est dans le pré". Une prairie en pente douce arrive au lac 150m en contre bas, avec sur le coté, un troupeau de zébus, à quelques mêtres du rivage, 2 cabanes flotantes de pêcheur, au large, une embarcation bruyante passe à toute vitesse et au fond, les montagnes déchiquetées se découpent dans le soleil couchant, avec des lambeaux de nuage qui réflèchissent le soleil.

François et Marite qui nous accueillent, ont assurément choisi un trés joli cadre pour installer le Ganeshapark

Les grosses bêtes ne sont pas là. Elles dorment nous dis François. On ne les verra pas ce soir, et les "anciens" qui viennent de faire la journée avec les éléphants et partiront demain, se gardent bien de nous donner le programme de la journée. En attendant la surprise, tous au lit dans notre joli bungalot avec vue sur le lac.

Partager Partager ce billet sur les réseaux sociaux

Le tortillard et la rivière Kwaï

On dira qu'après 4 jours à Bangkok, les enfants sont remis du trajet interminable en avion. Ce matin, réveil à l'aube, enfin presque car les thaïs sont réveillés depuis longtemps à l'heure à laquelle nous partons de la maison d'hôte pour aller prendre notre train.

A première vue, le train ne paye pas de mine, tiré par une locomotive diesel, mais le confort minimum est là: comme un peu partout, il y a des sanitaires, des poubelles entre chaque wagon. Ok ce n'est qu'un sac poubelle noué à la poignée, mais ils sont là et surtout, le personnel passe avec pour ramasser les déchets, essentiellement de nouriture, qui s'accumulent durant le voyage si on se laisse tenter par tous les vendeurs ambulants qui montent et descendent à chaque station. Impossible de mourir de faim.

Pour ce qui est de la clim, pas de problème avec les réglages, il n'y en a pas. Chacun ouvre la fenêtre comme il veut pour compléter les ventilateurs. On est finalement pas trop mal, le seul souci c'est la vitesse. Avec un train qui roule entre 40 et 80 km/h, le voyage est long, s'étire à n'en plus finir, d'autant que des travaux sur la voie nous font finalement arriver avec prêt d'une heure et demi de retard. Pas facile de tenir les fripons dans ces conditions, d'autant qu'après les 6h30 de train, certe très amusant au début, il reste encore 2h de bus pour atteindre notre destination.

Même en essayant de leur racompter le film du "pont de la rivière Kwai" sur lequel nous passons, la fatigue du voyage n'aide pas, à moins que ce ne soit mes talents de compteur qui ne les captivent pas suffisament.

Et puis leur père à un défaut, il n'aime pas les taxi ou transports apparentés, où il faut constament négocier quelque chose. Du coup, pour rejoindre l'arrêt de bus distant d'environ 2km de la gare, nous partons avec nos sacs sur le dos, à pied, sous le soleil, qui a arrêté de se cacher derrière les nuages, le traitre, juste une heure ou deux avant. Certe ce n'est pas grand chose, mais l'excuse de se dégourdir les jambes après le train ne prend pas. Heureusement, la perspective de se jeter dans une cascade dans laquelle les locaux viennent se baigner porte beaucoup plus.

Le bus, bien que typique avec son petit hotel de Bouda et ses tresses de fleurs, n'en reste pas moins une étape de plus, un peu longue, malgrès la rafraîchissante diversion de la baignade dans la cascade.

Heureusement, l'accueil chaleureux à l'arrivée, tant par les adultes que les enfants de la maison, aide à dissiper une partie de la lourdeur de cette longue journée de transport.

Partager Partager ce billet sur les réseaux sociaux

samedi 23 juillet 2011

Quelques images de Thailande

Je suis passe dans un cyber cafe, donc j'ai pu ajouter quelques photos pendans que je faisais des sauvegardes, mais le clavier thai, ca aide toujours pas pour les accents ;)

Tous les billets du voyage en Thailande

Partager Partager ce billet sur les réseaux sociaux

La capitale, jour 4

Nouveau moyen de transport et nouveau quartier de Bangkok aujourd'hui : "long tail boat", ces longues barques à fond plat avec à la place des rameurs, un moteur de voiture et une hélice au bout d'un arbre d'au moins 3m.

Nous partons dans les canaux de l'est de la ville, découvrir les maisons sur pilotis, de la simple cabane branlante à la jolie villa, toutes tournée et ouvertes sur le canal, nous offrant un apperçu de la vie des riverains de la voie fluviale.

A l'issus de cette ballade, nous arrivons au marché flotant, qui certe est très touristique, mais où nous nous sommes régalé d'une belle carpe grillée (ou d'un poisson y ressemblant).

Retour en bus à la maison d'hôte pour prendre un peu de bon temps, moi devant un écran au cyber café, et le reste de la famille au spa-fish (petits poisson qui nettoient la peau des pieds) ou un massage.

Ce soir couché rapide pour se lever tôt, train à 7h50.

Partager Partager ce billet sur les réseaux sociaux

vendredi 22 juillet 2011

Note de service au sujet des publications de vacances

Vous aurez notê que je publie pas mal en ce momment sur le blog, alors que je suis supposê ne pas avoir accès à internet.

En fait, j'ai mis une carte sim thailandaise dans mon têlêphone, et muni d'un petit clavier bluetooth, je peux partager mes prises de note quotidiennes sur ce blog.

Il y a cependant 3 problèmes :

  1. mon clavier est buguê et je ne peux pas êcrire corectement tous les caractères accentuês, donc mes textes comportent un peu plus de fautes.
  2. je ne sais pas si ça marchera en dehors des grandes villes, donc je laisse les comentaires fermês.
  3. pas moyen de publier des photos sur ce blog avec mon smartphone, pas si smart que ça pour le coup. Il vous faudra faire marcher votre immagination pour le moment.

Partager Partager ce billet sur les réseaux sociaux

La capitale, jour 3

Je ne sais pas si nous allons continuer à ce rythme mais la découverte de Bangkok continue aujourd'hui et c'est encore une chouette journée qui s'achève.

Je n'ai pas encore parlé de la météo: c'est la mousson en ce moment. Le ciel est plombé toute la journée. Inconvénient, les photos, même réussies sont un peu grises et tristounes. Avantage, et pas des moindre, la chaleur ambiante, moite, est très suportable puisque l'on ne subit jamais la cuisson des rayons du soleil. Pour les avoir entraperçu cet après midi, je peux vous dire que ce ciel chargé est très appréciable.

Il pleut plusieur fois par jour, de quelques goutes, à des trombes d'eau. Pour le moment, cela ne nous a jamais vraiement dérangé, mais nous avons quant même acheté des ponchos imperméables, au cas où, car pour avoir vu par 2 fois de la fenêtre de la chambre les déluges qui peuvent tomber, mieux vaut anticiper que d'avoir à tout faire sécher après.

Cette apparté météorologique close, il devient plus simple d'imaginer la déambulation dans le quartier hindou et chinois, sous la pluie qui ruisselle d'une bache à l'autre, tendues avec des bouts de ficelle et fixées de manière tout aussi hêtéroclite que les micro boutiques qu'elles protègent. Là où un azuréen serait terré dans sa boutique bien close, les thais semblent se contenter de juste dévier l'eau du ciel de quelques centimètres pour protéger leur marchandise, et pour les plus commerçants, leur clients. Gare aux baches qui se vident subrebtisment sur l'itinéraire qui semblait pourtant protégé entre les étales.

thailande_03_vis.jpgEt des étales magnifiques nous en avons vu. Dans ce pays où les choses sont encore réparées, c'est avec plaisir que j'ai croisé un réparateur de ventilateur, avec toutes les pièces détachées qui vont bien, en train de remetre en état le moteur d'un de ces indispensable alié contre la chaleur. Dans le quartier de la hifi, j'ai découvert un vendeur de vis pour appareil électronique, toutes rangées méticuleusement par taille et type. Il y avait également des ateliers de quelques mettre carrés spécialisée dans les pompes hydrolique, dans les potentiommetres. Pour les métaux, une rue entière de tiges, tubes et autres profilés de tous les gabaris, et tous les types. Pour en avoir cherché il n'y a pas si longtemps par chez nous, j'ai compris l'intérêt que cela pouvait avoir afin de pouvoir tout réparer.

Je ne vous parle pas de la partie chiffon, c'est un peu comme le marcher de St Laurent du Var, en multipliant par 3 la densité et la surface, et en ajoutant des vendeurs de grignottes, appetissantes et olfactives, tous les 25m. Au passage, pour ceux qui planifient de se marier, je leur conseillerais de faire le voyage de noce avant, pour acheter la robe de mariée en Thailande. Rien que la différence de prix finance la moitier du billet d'avion à mon avis, et pour celles qui aime s'habiller en meringue, les tailleurs locaux n'ont rien à envier à ceux de la douce France.

Après cette grande balade dans chinatown et le quatier hindou, nous avons atterri au pied de la plus grande tour thailandaise. Le coup d'oeil vaut de détour. C'est comme monter en haut de la tour Eiffel à Paris, on y découvre une immence capitale, bien plus vaste que ses quartiers touristiques. Agréable surprise à la clée, le restaurant panoramique propose un très vaste et varié buffet pour un prix certe un peu plus chers que les resto d'en bas, mais sommes toute tout à fait honnette au vu du service. Une annimation de prestidigitateurs a achevée de combler les enfants.

thailande_03_vue_d_en_haut.jpg

Partager Partager ce billet sur les réseaux sociaux

jeudi 21 juillet 2011

La capitale, jour 2

La veille, en atterrissant ver 13h, et décalqué que nous étions par le manque de someille, nous n'avions qu'éfleuré Bangkok.

Aujourd'hui, grandes ambitions et programme chargé. Bon, sauf qu'il faudrait se rêveiller le matin, et le décalage horraire ça aide pas, du coup on décole à 11h, l'esprit encore embrumé.

Direction le cours d'eau, pour cette fois ci prendre les petits ferry qui parcourent le fleuve en tout sens. Après les bruyants mais pittoresques tuk-tuk la veille, nouveau moyen de transport exotique pour les enfants.

Et là nous tombons par hasard sur un de ces marché extraordinaire, où l'on trouve de tout, et notament toute sorte de nouriture improbable, préparé là devant nous. Celui là de marché n'est pas pour les touristes, contrairement à celui visité la veille au soir. Nous nous en mettons plein les mirettes et les narines, mais cela n'arrange pas notre planing. C'est pas grave, on est là pour se faire plaisir.

thailande_02_marche.jpg

Finalement, nous arrivons jute avant les dernières entrées au grand palais avec ses magnifiques palais et chapelles dorés et couvert de mozaiques, aux toits pointus habillés de tuiles en céramiques, le bouda de jade, les bonzais, les annimaux mytologiques extraordinaires...

Nous allons ensuite un peu plus au sud vister un autre temple avec le fameux bouda couché et son énorme collection de boudas assis, et pendant que je joue avec mon petit écran (quant on est adict) ma tendre épouse et mes enfants sefont ramolir la couene à l'école de massage.

thailande_02_temple.jpg

La journée se finie dans un petit resto recomendé par le guide du routard, qui nous sert des plats que l'on croyait pouvoir imaginer en lisant la carte, et qui nous ont tous révêlé d'agréable surprise gustatives. Encore une journée bien remplie.

Partager Partager ce billet sur les réseaux sociaux

mercredi 20 juillet 2011

La capitale

Je ne noterais peut être pas tous les jours de manière aussi détaillée mes impressions, car au bout de quelques jours on s'habitue, et la magie n'est plus la même, mais tant que je me délecte les sens autant en garder une petite trace.

Premier problème, la barière de la langue. Baraguouiner quelques formules de politesses en anglais permet d'étalir le contact, mais c'est au delà des compétences linguistiques de nos enfants. Ils nous regardent et écoutent faire, mais n'ose pas s'exprimer, ne serais-ce qu'un merci. J'espère que cela leur donnera envie d'apprendre les langues étrangères.

Comme dans une caricature de guide touristique, un aimable monsieur propre sur lui nous aide à la sortie de la gare de métro, et comme le veut la caricature, il nous envoit dans une agence de voyage. Ma très chère épouse qui s'est documentée sur les tarifs, laisse parler le gentil gas de l'agence. Un peu dérouté par ses méthodes de calcul, qui varient de 20% entre ce qu'il dit et ce qu'il écrit, mais aussi par ses tarifs un peu trop bas, nous le laissons désapointé et repartons en ville à la recherche de notre chambre d'hote.

La circulation en ville est, coment dire, dense, obstruée, par accout. C'est là qu'il est pénible de ne pas parler la langue: assis dans un bouchon, et même pas moyen de tailler la bavette avec le chauffeur, dont la pratique de la langue de Shakespear se limite aux nombres et aux formules de politesse, ce qui en soit est déjà pas mal.

Nous avons choisi des chambres premier prix, le but étant de dépenser notre argent ailleurs, donc, c'est spartiate. Si la douche froide sur le palier ne pose aucun problème vu la chaleur, en revanche, la vue sur boulevard rend les bouchons d'oreille obligatoire, mais le pire, c'est l'absence de prise électrique qui me contrarie le plus. C'est que c'est énergivore tous ces gadgets électroniques. Je fais comment pour recharger mon apareille photo d'une journée sur l'autre ? Et mon téléphone de geek avec lequel j'écris mes proses ? Me voilà donc assis dans l'escalier à piquer le courant de l'interphone de la femme de ménage, qui ne bosse pas à cette heure, mais c'est pas super pratique. Ok, les thai ne sont pas des voleurs, mais ce ne sont pas des thai qui logent dans cet établissements, alors j'ai une certaine répugnance à laisser mon matos tout seul dans le passage.

Avant cela, nous nous sommes baladés dans le quartier juste à côté de la chambre d'hote. C'est le coin à touriste le soir. Les enfants découvrent les petits chariots de nouriture de toute sorte et adoptent tout de suite le principe. Pour moins de 8€ à 4, nous nous régallons. La Thailande a déjà séduit mes enfants par le ventre.

Partager Partager ce billet sur les réseaux sociaux

- page 1 de 2