vendredi 2 août 2019

Mes derniers tweets et retweets

Blog tjs un peu en sommeil, mais une certaine activité sur twitter où j’essaie désespérément de trouver des tweets qui présentent un intérêt. Les tweets sont classées par ordre antéchronologiques. Si vous voulez aller sur le tweet, cliquez sur le lien ''Twitt'.

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jeudi 31 janvier 2019

Mes derniers tweets et retweets

Ma production de tweet est en baisse. Comme indiqué dans mon précédent billet, je me détourne de Twitter que pourtant j'adore, car l'information pertinante devient de plus en plus difficile à trouver dans le flot de cagades.

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dimanche 4 novembre 2018

Dans ton chat: feinter la prof

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lundi 29 octobre 2018

Et un de plus qui tombe aux mains de l'extrême droite

Voilà, ça y est, le Brésil, le plus grand pays d'Amérique du sud, 9e puissance économique mondiale avec 209 millions d'habitants, vient de voter à 56% pour un président de la république d'extrême droite. Les brésiliens avaient le choix entre 2 courants extrêmes, d'une part le représentant d'un ex-président corrompu de gauche, un Mélenchon local, mais déjà en prison lui, et un ex-militaire au discourt radicalisé mais au casier judiciaire vierge. Dans un pays miné par la corruption, le dégagisme l'a emporté encore une fois.

Dans le même temps en Allemagne, les partis traditionnels de gauche et de droite se prennent des claques dans les scrutins régionaux, élection après élection, avec des -10% par rapport aux précédents scrutins. La chancelière allemande ne pourra bientôt plus gouverner et prendre des décisions structurantes pour son pays, mais surtout pour l'Europe, engluée dans une contestation interne l'obligeant à une politique de moins en moins audacieuse pour ne serait-ce que garder sa majorité. Au moment où l'avenir de l'Europe se joue, un de ses pilier est obligé de regarder son nombril politicien au lieu de se projeter dans l'avenir.

Et ne nous leurrons pas, c'est exactement ce qui est tenté en ce moment en France par les oppositions agonisantes, qui au lieu de se battre pour un modèle de société, le leur, dépensent toutes leurs énergies à déconstruire non pas la politique du gouvernement, mais le pouvoir régalien. Casser les symboles de l'état, distiller le doute, remettre en cause le fonctionnement au lieu de l'action menée.

Toutes ces graines semées du dégagismes qui germent à chaque élection, permettent certes à ces oppositions de revenir au pouvoir, mais certainement pas de gouverner par la suite. Une fois que le parlement, les syndicats, les corps intermédiaires, la police, les fonctionnaires sont discrédités, allez reconstruire quelque chose...

Je n'écris pas beaucoup en ce moment, mais ce qui sort ressemble à de salles idées noires...

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vendredi 19 octobre 2018

Je kiff ma langue maternelle

Voici un échange avec un collègue il y a quelques mois, suite au très bon texte publié par l'ex secrétaire d’État chargée du développement et de la francophonie, Annick Girardin: Cher Monde du Travail

JM: Je kiff ma langue maternelle mouaaa !!
JM: Ne pas confondre la langue de Shakespeare avec ceci : http://fr.wikipedia.org/wiki/Globis...
JM: et tu me rejoindras (peut-être ? sans doute ?) sur le fait que le globish est l'antichambre de ceci http://fr.wikipedia.org/wiki/Novlan...
CA: pas tout à fait
CA: la novlangue est une démarche pour reformater les esprit, alors que le globish, qui est plus réel, est une paresse intellectuelle recouverte d'une couche de snobisme
CA: la novlangue n'est utilisée qu'en politique, et certes elle gagne du terrain, mais c'est du terrain regagnable avec le temps
CA: le globish au contraire n'est utilisé que par les entreprises et par extension par les publicitaires, et comme il flatte les bas instincts, il est adopté facilement contrairement à la novlangue qui est laborieuse à implanter
JM: novlangue=démarche + Globish=paresse = même résultat : on oublie la finesse, les traits d'esprits, la culture puis la révolte
CA: je ne suis pas d'accord avec cette dernière assertion
JM: l'un c'est un outil et l'autre une auto mutilation
JM: Parles en à Voltaire
CA: je le fréquente pas des masse en ce moment
JM: Moi si, j'ai des absences

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dimanche 23 septembre 2018

Mes derniers tweets de septembre

En ce moment, et je ne sais pas encore pour combien de temps, c'est sur twitter que cela se passe. Quelques uns de mes derniers tweets.

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vendredi 25 mai 2018

Mes derniers tweets

A défaut de billets en ce moment sur le blog, il y a toujours Twitter sur lequel je suis actif.

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vendredi 16 mars 2018

Pôv bête

J'ai eu très honte de rire du malheur de cet animal, mais qu'est-ce que j'ai ri :D

Heureusement la chatte va bien...

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lundi 15 janvier 2018

Il s'est barré en lousdé

L'autre jour, j'ai sorti cette expression pour qualifier le départ d'un mec que je n'appréciais pas des masses:

Il a probablement senti qu'on l'adorait et il s'est barré en lousdé

Et puis je me suis demandé d'où venait cette expression d'argo "en lousdé". Je suis alors tombé sur un intéressant site qui en répertorie plein avec plein d’exemple: L'argot, avec Bob, l’autre trésor de la langue. Une vraie mine.

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jeudi 7 décembre 2017

Le chalenge de la traduction

Très intéressant comparatif des traducteurs en ligne publié par Numérama: DeepL : on a mis à l’épreuve le traducteur de Linguee qui promet de ridiculiser Google Trad

Il faut aussi lire les commentaires qui sont très complémentaires de l'article (on se croirait 10 ans en arrières, quand les gens réfléchissaient avant de réagir ;) )

Les médiocres traductions altèrent la langue

Il y a quelques temps j'avais lu un autre passionnant article sur le sujet dont je ne retrouve pas le lien qui disait en substance, que Google trad créait des néologismes de tournure dans les autres langues que l'anglais au sein des jeunes. En effet, l'énorme lacune de Google trad est que sa référence pour toute les langues est l'anglais, donc lorsque l'on traduit un texte français en italien, il est analysé (ou traduit) avec une grille de lecture anglophone, puis ensuite traduit dans la langue de destination. Or le français et l'italien partagent des racines communes qui sont effacées par ce processus, et Google trad parle un italien anglicisé que les enseignants italiens se plaignent d'entendre dans les cours d'école.

Ce qui est intéressant avec DeepL et surtout Linguee, c'est que les grilles d'analyse des textes à traduire sont fait à partir de textes déjà existants et déjà traduits par des humains. La traduction peut donc s'appuyer sur des expressions ou des tournures de phrase réelles et s'affranchir du mot à mot pour des phrases entières.

Pourquoi ne pas simplifier certains écrits pour les traduires facilement

Il y a quelques années, je présentais une conférence sur les enjeux du numérique dans le champs politique et j'avais imaginé d'inventer une langue administrative simplifiée avec un traitement de texte contraignant, restreignant le vocabulaire des documents administratifs, afin de permettre une traduction instantanée dans toutes les langues européennes.

Ce projet techniquement réalisable il y a 10 ans, pourrait encore plus facilement être réalisé aujourd'hui: le logiciel dans lequel vous créez le document textuel, essaierait de traduire immédiatement vos écrits et s'il n'y arrive pas vous impose de reformuler vos propos dans un langage qu'il est capable de comprendre et donc de traduire. Il pourrait y avoir des suggestions de tournures qui favorisent la traduction. Avec un appauvrissement de la langue administrative, on faciliterait la vie des citoyens. Car, si on peut traduire un texte, il devient facile également de le lire[1], ce qui rend le document accessibles aux personnes en situation de handicap (problème de lecture, hospitalisation...), ou qui ne peuvent pas lire le document (travailleur sur un chantier, conducteur...).

Et le sens

Un autre enjeux important est le sens des textes. Aujourd'hui, les textes sont indexés par les mots qu'ils contiennent dans les moteurs de recherche. Mais une succession de mots ne suffit pas pour analyser un texte. Il existe des outils qui essaient de doner un sens aux textes pour la machine. Par exemple, lorsque l'on fait une citation d'un autre auteur dans un texte, comment dire à la machine que ce morceau de texte est lié à un auteur autre que celui du texte courant, et permettre de faire un lien vers la source de la citation, voir même vers l'auteur. C'est tout l'enjeu du web sémantique.

Donner du sens au texte (pour la machine) permet également d'améliorer la traduction des textes et d'en enrichir la contextualisation.

Ces enjeux de la traduction vont bien au delà simplement des langues étrangères, puisque c'est aussi l'avenir des outils de demain que nous utiliserons pour filtrer le web et y trouver les informations dont nous avons besoin... sauf si nous décidons que ce sont les GAFA qui choisissent les données que nous devons lire, mais c'est un autre sujet.

Note

[1] Il parait que 20% des américains utilise la synthèse vocale avec leur smartphone.

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mardi 15 septembre 2015

Mes derniers twitt au 15/09/2015

Voici mes 75 derniers twitt et retwitt à la date d'aujourd'hui. Je met ça là, histoire d'en avoir une petite archive simplifiée, et pour ceux qui ne vont pas sur twitter.

Je trouve cet ensemble de twitt très révélateur de ce que je pense ou suis, même si ce n'est que partiel. Cela montre, encore une fois, que dès que l'on utilise les réseaux sociaux, on se met à nu.

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vendredi 28 août 2015

Tout est question de perspective

Ceci est la véritéJ'adore cette image qui illustre merveilleusement la différence entre des données vraies et la vérité. Selon la manière de voir les choses, l'un verra un carré quant l'autre verra un cercle, les 2 ayant raison.

C'est applicable bien sûr à la politique, notamment avec la tendance actuelle de se restreindre à de petites phrases qui forcement ne peuvent pas donner un point de vu large et éclairé mais juste un angle, choisi pour son impact "communicationnel" et trop rarement pour sa force pédagogique.

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mercredi 17 juin 2015

Mon beau père s'en est allé

Christian n'était pas un bâtisseur de cathédrale, de celles que l'on construit pour la postérité. Il était un constructeur de moments, de moments partagés... ou pas.

Ce qui le décrit le plus à mes yeux, c'est quand il partait avec son sécateur et sa scie dans la forêt pour y tailler un arbre. Un arbre parmi tant d'autres. Il passait parfois 2 jours, se mettait minable, suait sang et eau pour rendre un arbre « beau ». Quand il avait terminé, il se retournait, savourait son travail, et passait à autre chose. L'arbre était marqué à vie de ce moment, mais pour n'importe qui d'autre, 2 saisons plus tard c'était invisible.

Un constructeur de moments, mais pas d'instants. Ces moments se construisaient, dans la sueur, dans le temps, dans l'effort. Par exemple il aimait le vin, un petit Bandol frais après 3h de rando en plein cagnard (n'est-ce pas Francine), ou un verre de rouge dans une cave sous sa maison, creusée presque à la petite cuillère (Thierry en a encore des ampoules aux mains). Prendre son bateau le dimanche matin à l'aube pour aller promener les chiens aux îles de Lérins, comme s'il n'y avait pas plus simple. Regarder les poissons de l'aquarium après avoir charrié 350 litres d'eau de mer. Ses amis et sa famille ont vécu avec lui des exemples comme ça illustrant des moments de plaisir, simples, gagnés après un dur labeur, où les choses devaient être faites « correctement » sans raccourcis.

Je pourrai vous parler longuement de toutes ses autres facettes et passions, pour la nature, pour ses chiens, pour le vol à voile, pour tous les sports qu'il a pratiqués, pour son jardin, pour sa boutique et son métier… pour ma mère.

Christian était mon deuxième père. Il m'a donné beaucoup, m'a fait découvrir énormément. De ce qu'il m'a transmis, ce dont je suis le plus fier, c'est la capacité à savourer les moments simples. La conviction profonde que le plaisir se mérite, se gagne, et que le plus important le soir quand on se retourne sur sa tache, c'est de pouvoir se poser la question : « est-ce que je peux être fier de ce que j'ai fait ? »

Ce n'est pas une cathédrale, mais c'est dix mille fois plus grand et important dans la vie. Pour ça merci Christian.

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dimanche 19 avril 2015

Picorage: Mademoiselle, crise financière et facebook

Quelques twitt qui méritent vraiment de revenir dessus

Bonne lecture.

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jeudi 12 mars 2015

Les joies du code: Quand j’essaie de communiquer avec le commercial

La communication n'est pas toujours une chose simple, la bonne communication est rare car il faut apprendre à se connaître. Et puis si on ajoute une caméra, alors là, on rentre dans les apparences, les attitudes convenues[1].

Source

Note

[1] Un peu comme le président avec ses frondeurs.

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lundi 2 février 2015

Rouler à vélo, même pas en rêve !

C'est en substance ce que me répond mon fils quant je lui propose de prendre mon vélo pour aller au bahut, le jour où il a un rendez-vous et que le trajet en bus est plus qu'aléatoire[1].

Et pendant ce temps là, moi le premier, les adultes pleurnichent pour que des pistes cyclables soient construites. Alors certes, si on regarde les pistes cyclables actuelles dans les Alpes maritimes, cela ne donne pas vraiment envie de se déplacer à vélo. Mais de là à m'envoyer bouler quant je lui propose d'utiliser un outil de liberté comme le vélo. J'étais triste pour lui.

<séquence vieux chnoque>
De mon temps, avoir un vélo était une source de liberté colossale. J'ai commencé à circuler à vélo à 8 ans pour aller à l'école A 10 ans j'ai eu mon premier vélo de course, et j'allai de Cannes[2] à Mandelieu pour voir mon père (près de 11km). Je partais en vadrouille avec un pote les mercredi après midi. Nous allions à Super Cannes jusqu'à l'observatoire en suant sang et eau pour monter et après on se faisait la course en descente vers Golf Juan ou le Cannet selon les jours.

Le samedi[3] j'allais faire des courses au marcher Forville pour acheter du poisson[4] que je préparai avec des tomates.

Bref, j'étais libre, et j'ai toujours eu un vélo, même quant à 14 ans j'ai eu mon premier CIAO.
</séquence vieux chnoque>

Aujourd'hui, ma fille m'explique que dans son collège, ils ne sont que 2 à venir à vélo sur plus de 600 élèves, et que les autres élèves se moquent d'eux lorsqu'ils quittent l'établissement. Donc voilà, j'apprends au détour d'une conversation avec ma fille, que circuler en vélo c'est mal vu par la jeune génération. Ils préfèrent passer 2h par jour dans un bus plutôt que d'utiliser un vélo. Je me demande si la notion de liberté a un sens pour eux à part la non entrave à l'usage d'un écran...

Notes

[1] Connaître l'heure de passage d'un bus est une science non exacte, avec des marges d'erreur allant jusqu'à la 1/2 heure, ce qui ne facilite pas la ponctualité.

[2] J'ai vécu à Cannes toute mon enfance.

[3] ou le dimanche je ne me souviens plus.

[4] De la saupe, la fausse dorade, qui ne coûtait pas grand chose.

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lundi 26 janvier 2015

L'Incrédulité de saint Thomas

Je viens de découvrir[1] pour la première fois cette œuvre, L'incrédulité de Saint Thomas par Le Caravage et j'ai eu un choc, tellement cette image est forte.

Cette peinture est précurseur de ce que le cinéma d'aujourd'hui, avec ces effets spéciaux, nous a habitué à voir, en nous montrant de manière extrêmement réaliste une scène totalement improbable. Et pourtant, l'image n'a rien perdue de sa force, même si nous pourrions être blasé à l'époque du tout image.

Certes, au même titre que les caricatures, il faut un peu de culture pour comprendre ce qui est représenté sur cette peinture: Jésus revenu parmi les vivants, qui montre à Thomas qui ne le crois pas, la plaie que lui a fait le soldat. Toucher pour le croire. On a presque envie de lui dire "mais arrête, tu es ridicule". Pourtant ce corps tout blanc qui ne saigne pas est presque suspect[2]. Et puis nous sommes comme les deux autres curieux, on a comme eux, envie de voir, voyeurs que nous sommes. Trop fort le mec, et c'était en 1603 !

L'Incrédulité de saint Thomas (Le Caravage)

Notes

[1] En fait c'est le fiston qui recherchait une peinture comme support pour un devoir de français, et je suis resté en arrêt devant lorsque je l'ai aperçu du coin de l'oeil.

[2] Ma fille, fan de twilight en ce moment, me dirait que c'est comme les vampires.

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