dimanche 29 septembre 2013

Quelques photos de l'UR à Guidel

Votre serviteur lors de l'atelier sur le transport et l'aménagement du territoire:

atelier_guidel_transport.jpg


Interview de François Bayrou par France télévision en direct:

bayrou_interview_guidel.jpg


La plage de Guidel, juste en face du village vacances:

guidel_plage.jpg

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samedi 28 septembre 2013

Atelier sur le budget communal

Atelier budgetUn passionnant atelier lors de l'UR du MoDem avec Franck Piffault sur la lecture d'un budget d'une commune. Malgré une approche pédagogique du plus simple au plus complexe, et je vous promet que j'ai été très attentif, la complexité d'un budget m'a éclaté à la figure.

Si je pense avoir saisi les grandes lignes des équilibres d'un budget, il apparait clairement que c'est un job de spécialiste. La quantité d'acronyme utilisé et affolante. Si la comptabilité est un sport de comptable, cela confirme la séparation entre les sachants et les citoyens. Qui peut comprendre un budget sans être un comptable ou un élu professionnel ? Du coup, il n'est pas étonnant que l'opposition soit incapable de poser des questions pertinentes lors de la présentation du budget.

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Quelques idées fortes qui ont émergées lors du conseil national du MoDem

Lors de notre conseil départemental du MoDem 06 mercredi dernier, des interrogations fortes ont été émises par les militants quant au rapprochement entre le MoDem et l'UDI.

Et même si le conseil national s'est passé à huis clos hier soir durant 4h, je ne pense pas trahir grand chose en interprétant certains des propos qu'y a tenu François Bayrou illustrant le devenir de ce rapprochement du MoDem et de l'UDI.

Voici ci dessous quelques unes des questions des militants du 06 et les réponses que j'ai pioché durant ce CN[1]:

  • Le rapprochement avec « les centres » ne nous pose pas de problème, beaucoup sont issus de nos rangs et ont tracté avec nous. François Bayrou a insisté sur le fait que l'on ne pouvait pas vouloir rassembler les français demain si nous ne sommes pas capable de tendre la main au dessus du ruisseau idéologique qui sépare l'UDI et le MoDem.
  • Nous avons un problème avec le patron du nouveau centre local. Bayrou a martelé qu'il ne fallait pas projeter une problématique locale sur des enjeux nationaux et européens. Ce qui a été fait localement par les MoDem reste et il souhaite que des tentatives de rapprochement soient faites.
  • Les militants sont inquiets au sujet de notre indépendance et identité, chèrement acquise au fil du temps[2]. Chacune des formation garde son ADN (l'UDI proche de l'UMP, le MoDem indépendant), mais représentent la même famille politique.
  • Quid des investitures ?. Pas de systématisation, chacun reste autonome dans ses investitures.

Bon, voilà de quoi rassurer les militants. Je pense que Bayrou a bien anticipé les inquiétudes de bon nombre de militants. Il est dans son rôle de président en voyant plus large et plus loin que les échéances municipales. En substance, on ne change rien, si on arrive à se rapprocher tant mieux, mais le MoDem reste le MoDem !

Salle comble au CN du MoDem à Guidel

Notes

[1] Du moins tel que je l'ai compris.

[2] Parfois dans la souffrance et avec beaucoup d'échecs électoraux ou départ de gens précieux.

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Petite note d'ambiance à Guidel

MoDem - ADLEAprès avoir manqué l'Université de rentrée de l'année dernière, c'est un plaisir d'être ici à Guidel, pour se former, s'informer et causer politique avec des militants ou des élus. Entre les ateliers et les réunions, il y a la convivialité avec des visages connus depuis des années, mais aussi de nouvelles têtes.

Ce matin, discussion avec le secrétaire général du MoDem, Marc Fesneau, au sujet des enjeux de notre département des Alpes Maritimes. Il suis en détail ce que notre fédération fait pour ces prochaines municipales, informé régulièrement par Fabien Benard le président départemental.

Ce midi j'ai déjeuné avec notre député de la Réunion, Thierry Robert, avec lequel nous avons causé de ses positions à l'assemblée nationale (le mariage pour tous, la loi de moralisation) ainsi que son fonctionnement dans un groupe de 17 élus de gauche[1]. Il confirme hélas le rôle de salle d'enregistrement du parlement, toutes les décisions étant prises à l'Elysée ou Matignon. Les amendements qui ne sont pas soutenus par le gouvernement n'ont pas le droit de citer. Je trouve personnellement triste que le gouvernement n'utilise pas le rôle d'enrichisseur du parlement.

Durant cette journée je suis allé à un atelier sur le budget communal, un autre sur l'urbanisme et enfin, avant la réunion plénière de ce soir, sur les transports (LGV). Si je trouve le temps je mettrai en forme mes notes.

Aller zou, la pause est terminée, je retourne en atelier.

Note

[1] Il est apparenté comme un élu de gauche par les média, alors qu'il vote totalement indépendamment du groupe, par opposition à Jean Lassale qui n'est dans aucun groupe et ne bénéficie pas des avantages technique du groupe.

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vendredi 27 septembre 2013

Université de rentrée du MoDem à Guidel

Ce weekend je serais à Guidel en Bretagne pour participer à l'université de rentrée du Mouvement Démocrate. J'ai 3 enjeux à atteindre:

  • M'incruster dans les formations pour les élus car je voudrais discuter du fonctionnement des municipalités et obtenir des pistes de réflexions pour certains sujets.
  • Me regonfler le moral au contact des autres militants.
  • Participer aux débats sur le rassemblement des centres.

Je tacherai de vous en rendre compte sur ce blog ou celui du MoDem06.

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samedi 1 décembre 2012

Comment dépecer le MoDem en douceur

En ce moment, certains annoncent que la double appartenance au MoDem et à l'UDI est possible, entretenant un flou que François Bayrou a lui même diffusé lors de sa lettre aux militants le mois dernier, lorsqu'il concluait celle-ci en disant que la double appartenance était "envisageable"[1].

Sauf que les statuts du Mouvement Démocrate sont explicites, la double appartenance est interdite[2], et à moins d'un congrès pour les changer, ce n'est tout simplement pas possible. On est adhérent du MoDem exclusivement. C'était même une pierre d'achoppement avec les adhérents de Cap21, qui ont pu conserver une espèce de double appartenance via une exception, qui, si j'ai bonne mémoire tenait au fait que Cap21 était membre fondateur du MoDem.

Donc disais-je, certains expliquent que la double appartenance est possible, afin d'encourager les militants du MoDem à rejoindre l'UDI. Ce n'est qu'un demi mensonge, puisque les statuts de l'UDI autorisent la double appartenance. C'est donc le MoDem qui est administrativement incompatible avec l'UDI, pas l'inverse[3].

Dans la phase de construction dans laquelle ils sont, ils ne vont pas s'encombrer de ce genre de détails administratifs. De toute façon, il n'est pas besoin d'être devin pour voir ce qu'il va se passer:

  • Durant cette phase de création de l'UDI, le but du jeu consiste à intégrer les adhérents, militants et élus de toutes les origines, le MoDem n'en étant qu'une parmi d'autres. Les cartes ne sont pas la priorité.
  • La campagne pour les municipales a commencée, depuis déjà l'été dernier, des listes vont se monter, des contacts se nouer, des rapports de force s'instaurer. Certains seront fidèle à leur origine politique, d'autres embrasserons les couleurs qui vont bien pour arriver à leur fin.
  • La phase de négociation avec l'UMP commencera d'ici 1 an, et les centristes voudront avoir des places, que l'UMP leur donnera bien volontiers, mais au compte goutte. Car ne nous leurrons pas, il n'y aura que très peu de listes et de candidats tête de liste sous la bannière UDI, sauf lorsque l'UMP y a intérêt.
  • A ce moment, que dira-t-on aux utopistes Bayrouistes ? Soit vous prenez la carte qui va bien, soit vous restez tout seul ! Tout à coup, la double appartenance ne sera plus intéressante. Si pour avoir une place qui va bien aux élections municipales il faut abandonner une carte orange un peu trop stigmatisante, la perspective de l'élection lèvera les dernières hésitations.

Dans ce scénario rodé comme du papier à musique, il y a cependant un élément de calendrier qui pourrait sauver le Mouvement Démocrate. Le gouvernement vient en effet de discuter en conseil des ministres, du report d'un an des élections municipales, départementales et régionales, en 2015. Ce faisant, les négociations et constitutions de liste se feront en 2014 et plus dans 10 mois, ce qui laisse le temps de décanter tout ceci, et les discours ambiguës de s'éclaircir.

Notes

[1] Extrait de la lettre: Un regroupement du centre droit se former. (...) Nous sommes donc ouverts à un partenariat entre le Modem et l’UDI. De la même manière, nous serons ouverts à une coopération avec tous ceux qui, venant du centre gauche, ou de l’écologie réaliste, choisiront eux aussi la voie de l’indépendance. (...) Si ce partenariat se met en place, alors nous devrons réfléchir ensemble à son mode de fonctionnement et à son organisation, y compris même la perspective de double appartenance, sous réserve de réciprocité.

[2] Extrait des statuts: L'appartenance au Mouvement Démocrate est exclusive de toute adhésion à une autre formation politique au sens de l'Article 4 de la Constitution et de l'article 1 des présents statuts. Tout manquement à la présente disposition entraîne la radiation automatique.

[3] Politiquement parlant il y a d'autres sources d'incompatibilité, mais ça j'en ai déjà causé.

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samedi 21 juillet 2012

Quitter le bateau ou pomper ?

Lorsqu'il y a une voie d'eau dans un bateau, il y a 2 attitudes:

  • Prendre les chaloupes et laisser couler le bateau avec sa cargaison.
  • Se relayer aux pompes pour maintenir le bateau à flot, le temps que les charpentiers procèdent aux réparations.

Bien entendu, c'est la taille de la voie d'eau qui devrait dicter la marche à suivre, et rien d'autre. Le MoDem prend l'eau, certain n'aiment pas avoir les pieds mouillés ou suer à la pompe, et ils préfèrent partir tout de suite, avant même de connaître l'étendu des dégâts.

François Bayrou dit que le navire est encore bon, même s'il est fragilisé. Il a jeté à la mer une partie de la cargaison[1] et mis dans une chaloupe une partie des soutiers[2] Mais il soutient que le MoDem sans dette peut redresser la barre et continuer sa route.

Pour ma part, si je ne suis pas super motivé pour jouer les shadocs, je pense aussi que ce navire peut encore porter de belles idées, faire émerger des gens de qualité. Le futur est sombre électoralement parlant, mais pas du point de vu des idées, et accessoirement c'est pour les idées que je me suis engagé en politique en 2005 derrière François Bayrou.

Le gouvernement reprend et propose de mettre en place plusieurs des aspects du programme de François Bayrou, sans même les altérer[3], ce qui change grandement par rapport au précédent gouvernement qui les détournait systématiquement[4]. Du coup, le vote pour Hollande est d'autant plus légitime, puisqu’en plus le PS gouverne sans les communistes, ce qui n'est pas plus mal.

Tout ça pour dire que je continuerai à soutenir François Bayrou, et accessoirement le Mouvement Démocrate, comme outil de ce dernier pour mettre en musique les idées.

Notes

[1] Son vote pour Hollande a coûté et coûtera très chers auprès de l’électorat de centre droit.

[2] Le MoDem licencie 20 des 26 salariers qui étaient en poste au siège.

[3] Budget de l'état gelé en valeur, dialogue social apaisé, ausse de la TVA, fédéralisme européen...

[4] Probablement pour vider les propositions de Bayrou de leur poids électoral.

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mercredi 27 juin 2012

Bon, on en fait quoi du MoDem maintenant ?

L'anti spam de ce blog a opportunément bloqué un message fort désagréable, comme d'habitude, d'un courageux anonyme qui s'offusquait que je ne parla point du Mouvement Démocrate après cette séquence électorale.

Et oui, je suis désolé, mais je cause de ce que j'ai envie sur ce blog, de préférence quant j'ai quelque chose à dire. Car que voulez-vous que je dise de plus concernant le MoDem, le parti politique, que je n'ai déjà dis à plusieurs reprises ici depuis des mois, voir des années, à savoir que cette élection présidentielle avait vocation, quel qu’en soit le résultat, à le tuer dans sa forme précédente. Si Bayrou avait réussi son pari et été élu, le MoDem aurait été dissout dans une autre formation plus large. Maintenant qu'il n'est pas élu, cette "écurie présidentielle" doit changer de forme (ecrit en 2010, ici et ).

Les idées son bonnes, la preuve le gouvernement commence déjà à les reprendre[1]. Les femmes et les hommes ne sont pas mal pour l'essentiel, d'autant que comme il n'y a pas de mandat à gagner avec une étiquette MoDem[2], ils ne sont pas nombreux à s'engager pour la place, ce qui en font des gens d'autant plus intéressant(e)s.

Le Mouvement Démocrate est un OPNI[3] pour les électeurs qui n'en comprennent pas son contour et son identité forgé dans l'indépendance et la conciliation. Ils ne le comprendront pas plus lors des prochaines élections municipales et territoriales.

Tout ça je l'ai déjà dit. Il faut donc réinventer, encore, le MoDem pour qu'il trouve une forme enfin en phase avec les électeurs, mais comme je n'ai pas de proposition à faire, pour l'instant, je suis comme beaucoup, attentiste quant à l'avenir de cette formation politique, qui n'en reste pas moins la plus proche de ma conception de la politique. Le MoDem a une cohérence que n'ont pas les différents partis de la nébuleuse centriste, qui sont des partis d'élus pour leur permettre leur réélection, juste conçus pour se vendre au meilleur prix de préférence à l'UMP. Je n'attend donc pas grand chose de la réunion du centre que nous promet Borloo, mais sait-on jamais, l'ambition peu en pousser quelques uns à avancer dans la bonne direction...

A lire ailleurs:

Centre de la France en 2011

Notes

[1] Budget constant en valeur de l'état, un des proposition phare de Bayrou pour le retour à l'équilibre.

[2] Qui pèse de l'ordre de 2%, tout comme aux dernières régionales.

[3] Objet Politique Non Identifié

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lundi 24 octobre 2011

Vidéo à revoir: Parole libre de Jean François Kahn

UR 2011 du Mouvement Démocrate: "La parole libre de Jean-François KAHN"

Voir toutes les vidéo de l'UR2011

Cité dans l'article, le sapeur Camembert:

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mardi 11 octobre 2011

Vidéo à revoir : Michel Godet durant la table ronde sur l'état providence

UR 2011 du Mouvement Démocrate: "L'Etat-providence à l'heure des dettes" par Michel GODET

Voir toutes les vidéo de l'UR2011

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dimanche 18 septembre 2011

Il faudra à la France un agenda 2020 : instruire, produire et construire.

Extrait du discours de rentrée de François Bayrou lors de l'université de rentrée du Mouvement Démocrate 2011 à Giens :

Sont venus, d'horizon différents, des piliers de ce que l'on appel le centre. Ils sont venus par amitié, mais surtout parce qu'il y a le souci d'un peuple. Tout le monde perçoit les malaise de partout. Ils sont venu pour ça, car ils savent bien qu'il va falloir reconstruire.

Que disent-ils tous avec leur parcours différents : nous n'allons pas laisser notre pays continuer à s'affaiblir sans réagir. Ce rassemblement c'est une équipe pour la France, pas seulement pour le centre. Cette équipe va naturellement s'élargir. Quant tout deviendra clair du besoin impérieux d'un majorité nouvelle, d'une majorité centrale. Si ces compétences se revendiquent de la même famille d'esprit.

Ce n'est possible aujourd'hui que parce que nous avons été quelques uns à avoir refusé toutes les compromissions et n'avons été dans aucun accord sous-terrain.

Aujourd'hui peuvent se retrouver de bonne fois, sans crainte des gens d'horizons différents.

Tous les motif d'inquiétude ne sont que des symptômes, qui bien sur doivent être soignés, mais il faut trouver les causes, faire l'étiologie du mal français. « Les mauvais jours finirons », c'est tout le sens de notre engagement.

Nous avons l'exemple d'un pays similaire au notre, il y a 7 ans. En 60 mois, l'Allemagne a su prendre les décisions pour redevenir rayonnante et repasser devant la France. Il y a une vague de licenciement en Allemagne en ce moment, c'est à l'agence pour l'emploi !

Lorsque l'on est en temps de guerre on fait des majorités larges. C'est une guerre que nous avons à mener. C'est une guerre d'étranglement, d'enlisement, d'affaiblissement. Seul une majorité nouvelle peut mener cette guerre.

A gauche et à droite, il y a des gens qui disent que les problèmes viennent de l'extérieur (immigré, mondialisation), alors que pour nous c'est une certitude qu'il vienne de nous même. Ce sont des invitations à l'abstention. Cette nouvelle majorité sera composée de gens qui croient que c'est à nous de trouver des solution sans attendre que cela vienne de l'extérieur.

Il faudra à la France un agenda 2020 : instruire, produire et construire.

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L'Europe de l'absence à l'affirmation, Guy Verhofstadt

Extrait de la table ronde :

Les états unis de l'Europe (petit livre). Au conseil on pense que ce sont les chefs de gouvernement qui doivent gouverner l'Europe et pas le fédéralisme. Or le seul moyen de s'en sortir, c'est le fédéralisme. Nous vivons la crise de l'intergouvermentalisme. Des chef de gouvernement qui se voient 4 fois par an et qui croient qu'il peuvent gérer une monnaie unique. 17 gouvernements, 17 marchés obligataires différents.

Les marchés demande une union fiscale, budgétaire et économique ! C'est étrange que le marché nous demande plus de régulation alors qu'il devrait être libéral. Il n'a plus confiance en 17 marchés obligatoires.

On a l'institution (la commission) pour gérer. Que la commission dépose, avec son droit de proposition, un plan. Si nous avons besoin d'un traité, nous en ferons un.

Nous regardions le match de rugby avant de venir. Il faut être une team en Europe.

C'est une bataille sur l'âme de l'Europe : est-ce que ce sera un petit clan qui défend ses intérêt ou un grand projet fédéral.

Ovation de la salle !

Guy_Verhofstadt_urmodem2011.jpg

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samedi 17 septembre 2011

Sur la crise, la parole est libre de Jean Claude Casanova

Jean Claude Casanova

Si vous voulez ne plus avoir de problème avec la dette il suffit de ne pas emprunter.

Si vous croyez qu'au présent et pas à l'immortalité, vous faite des d'investissement de plus en plus court terme (plus d'investissement)

En même temps que l'on a inventé le prodigieux outil de la monnaie, on a inventé les crises monétaire. L'existence de l'assurance qui a permis le commerce maritime en mutualiser les risque. La crise est une crise de confiance des instruments bancaires. La croissance des actif financier est le double de la croissance des actif productif.

Tous les futurs retraités détiennent des créance, touts les gens qui ont des comptes en banque sont des créancier. Donc le patrimoine financier à beaucoup plus augmenté que le patrimoine immobilier. Comme nous ne produisons que la moitier du temps, le reste du temps nous sommes créancier. Donc la financiarisation est normal.

Le système financier, personne ne sait la quantité de créance par rapport à la quantité de biens. En 1930, on disait on disait d'un côté la monnaie et de l'autre le crédit. Aujourd'hui c'est pareil, car dès que l'on a une carte de crédit on a créé de la monnaie car la banque ne possède pas l'argent correspondant à ce que l'on peut dépenser avec sa carte.

Si le créancier à peur, il restreint la possibilité de créance.

Depuis 20 ans les taux d'intérêt sont bas. Personne ne l'avait prévu que ça durerait aussi longtemps. Les taux sont bas à cause de l'émergence de l'asie qui a une grande tradition d'épargne. Le monde asiatique est créancier du monde occidental. Le taux d'intérêt est de 1,5% zone euro à 3 mois et au USA à 0,12% (pakistant 13%).

Les états souverain ont tendance à s'endetter car c'est facile. L'endettement correspond à des périodes de guerre. Mais depuis 25 ans il y un accroissement de l'endettement.

On invente des quantité de systèmes pour permettre d'emprunter. On peu s'assurer contre tout. Il y a un nbr infini de créances.

Les américains dans les années 90 on libéraliser le système bancaire qui était très bridé suite à la crise de 1929. Il y avait une volonté politique de favoriser le crédit pour le logement. Et en 2007, les gens ont découvert qu'il y avait des créances douteuses, ce qui a provoquer la panique. En 32, les américain avait compris que laisser les banque faire faillite correspondait à une réduction de la masse monétaire, qui crée par boule de neige une contraction du système financier. Donc en 2007, pour éviter la faillite, on donne tout l'argent nécessaire au système financier, en s'engageant en régulant le système.

Les banquier européen n'ont pas envie que la réglementation américaine s'applique en plaidant que contrairement aux usa, les banques eu financent les entreprises.

La rente pétrolière correspond à 200 milliards cherche à se placer. Londres et NY sont les 2 pôle. La crise US se propage aussi à Londres.

Il y a en Espagne, une bulle immobilière avec plus de logement que la demande à cause du faible coût du crédit. Le gouvernement espagnol a laissé construire des logements avec 0% d'apport, et donc des faillite prévisibles s'il n'y a pas de locataires. En Irlande et en Islande, il se sont mis à faire des banques comme à Londres. La bulle bancaire a explosé avec un système bancaire plus gros que l'état qui l'a ruiné.

La Grèce est un pays sous développé fiscalement. Ce pays structurellement débiteur dans ces finances public qui pouvait emprunter à 3%. A 10 ans la Grèce emprunte à 22% alors que la France à 2,2%. C'est un pays qui ne peut plus s'endetter, car il se l'est trop.

Pourquoi on ne dit pas que la Grèce fait faillite comme les argentins ou les mexicains ? Par ce que brusquement tous les bons du trésors européen deviendraient suspect, tous les système financier occidental est en danger car plus personne ne prête.

Comme on sait pas ce qui va se passer en 2012 (double deep, 2ème crise). Inquiétude de la conjecture US et européen. Il faut sauver les meubles.

Ce serait très heureux si nous avions un taux de croissance à 1% dans les prochaines années. Si on est à 0 ou en dessous c'est que la crise s'est amplifiée.

Faire une réglementation est très difficile pour définir jusqu'où l'on peu prendre des risques.

En Europe nous avons des hommes médiocre et des institutions incertaines pour mettre en oeuvre les décisions nécessaires. En gros ils vont tous dans la bonne direction. Les euro-obligation : votre voisin à le droit d'emprunter et vous devez le garantir. Cela implique un mécanisme de vérification qui est un vrai système fédéral. Pour pouvoir voter un accroissement de l'endettement de la France il faudra l'avis des autres pays eu. Ce sont des remède à 4 ou 5 ans.

La BCE a fait des progrès « au feu » en achetant des emprunt grec pour garantir la stabilité de la zone euro.

Cette crise va être gérer entre les élection française et allemandes de 2012, donc ce sera douloureux. Les japonais ont eu 10 ans de stagnation.

Il va falloir agir sans institution.

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Faire France ensemble

L'atelier est animé par Fadila Mehal qui s'appuie sur le travail de la commission du shadow cabinet sur les discriminations.

Marc Chebsun, rédacteur du journal "Respect magazine"

Vivre ensemble et faire ensemble. Le vivre ensemble a énormément souffert en prétendant lutter contre les communautarismes, ils ont été au contraire favorisés par la politique de N Sarkozy. Malheureusement les effets ne sont pas près de disparaître: le débat sur l'identité nationale (qui est un vrai débat, mais traité en stigmatisant), la stigmatisation des Rom, le faux débat sur l'islam qui était bien un débat sur l'islam et non la laïcité... Il y a pas eut le courage politique nécessaire pour faire en sorte que les musulmans ne se sentent pas aussi seul. Donc il ne faut pas s'étonner ensuite qu'il y ait des réponses communautariste. C'est une conséquence directe du manque de courage politique. Quant on attaque une des composante de la société, on attaque tout le vivre et faire ensemble qui fait le lien de notre société.

Le sous titre du magazine est « décoloniser les imaginaires ». Les imaginaires sont dans chacun comme victimisation ou image de l'autre.

Vivre ensemble cela s'apprend, cela s'impulse.

Remarque de Fadila : F. Bayrou a été un des premier à dénoncer le pouvoir qui mettait au pilori le vivre ensemble. Pourquoi un média, en quoi est-il différent ? Comment les média généralistes traitent ces sujets ?

Rep : les métissages de la France d'aujourd'hui, est un sujet globalement positif, mais pourtant cette idée (positive) était absente des média, qui ne voit ce sujet que par le petit bout de la lorgnette. Les problèmes dans les banlieue sont mis en exergue, mais pas ce qui marche bien. Faire le média de la diversité ce n'est pas faire le média des minorités mais de la France.

Antoine Baufort, président jeune de la LICRA

Q de Fadila : est-ce que lorsque l'on est anti raciste on lute contre la discrimination ?

Malheureusement une association comme la licra a encore besoin d'exister. On peut dire tout et n'importe quoi sous couvert de liberté d'expression. Par exemple, l'auteur de l'application « juif ou pas juif » ne comprend pas le modèle français, car il ne regarde que le modèle anglo saxon, qui n'a pas le même passé que notre pays.

J'espèrerai qu'il n'y ai pas l'année prochaine un climat délétère, mais cela ne s'annonce pas bien. Les gens assument de plus en plus d'être raciste comme si le racisme était une opinion, alors que c'est un délit.

Frederick Getton, président de Centre Egaux

Une de nos fierté est d'avoir apporter le débat LGBT au MoDem. Sur les 5 dernières années on a vu une augmentation drastique de la communautarisation, non pas de la part de ceux qui sont différents, mais parce que le gouvernement segmentarise les gens, nous amenant à réfléchir de manière communautaire.

Ce qui caractérise Centre égaux c'est le principe d'égalité, qui permet de réduire la segmentarisation.

Ahmed Tabit, conseiller municipal à Sèvre

Les partis politique excluent plus qu'il inclus (le MoDem fait l'inverse). Sur 1722 conseillers généraux, 12 sont issus de la diversité (mesuré sur des données empiriques). En politique (dans l'inconscient collectif) on pense que les français ne sont pas prêts à élire une personne issue de l'immigration.

Le cumul des manda est un autre frein à l'intégration. La première difficulté c'est la classe sociale plus que la couleur de peau. Elle est aussi générationnelle. Les jeunes on besoin de modèle, mais pas forcément de leurs parents.

Il y a une auto exclusion qui existe et il faut aussi la combattre.

Un texte adopté en première lecture à l'assemblé pour le vote des étranger n'a jamais été présenté au sénat.

En tant qu'enseignant j'ai été frappé par le nombre de classe mono-color. Il faut redonner des lettres de noblesse à l'école.

Débat

Salle : pourquoi la ségrégation est défendu par ceux qui le subisse systématiquement ? Rep : la diversité est sociale. Rep2 : il y a des représentation raciale et pas seulement sociale. C'est très difficile de se baser sur quelque chose de scientifique car on a pas de photographie statistique de notre société. Il faudrait pouvoir mesurer la diversité. Rep3 : les victimes ne rejoignent pas les associations de défense. A la LICRA nous sommes contre la mesure de la discrimination.

Q : comment fait-on avec 52% d'an-alphabétisation de migrants. La maternelle est une langue étrangère pour certains.

A Dolium : comment voyez-vous l'expérience française par rapport aux autres pays européen (Angleterre, Allemagne, Canada). Rep : le modèle français ne peut plus se suffire à lui même. Il y a des EXPERIENCES qui devraient nous nourrir, sous le regard de l'expérience français mais pas du modèle.

Salle : les personne les plus discriminés sont celle victimes de handicap et on en a pas parlé ici (Rep: oui mais dans un autre atelier). Si un noir porte le message de la discrimination, il est moins entendu que si c'est un blanc.

Saïd : différence entre communauté et communautarisme. Nous ne devons pas parler de discrimination mais d'égalité au MoDem.

faire_france_ensemble.jpg Sur la photo, de gauche à droite : Fréderick Getton, Ahmed Tabit, Fadila Mehal, Antoine Baufort et Marc Chebsun

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Faire de la politique autrement

En vrac, mes prises de note. Si j'ai un peu de temps j'essaierais plus tard de les mettre un peu en forme avec les quelques photos que j'ai prise.

Après une introduction rapide d'Alain Dolium, dans laquelle il rappel que faire de la politique autrement, ça à l'air d'être simple, il passe la parole au premier invité.

Yves Bardon, directeur de la prospective chez IPSOS

IPSOS ce n'est pas que des sondages, dans un société de communication avec des émetteurs et des récepteur, c'est aussi des études des états d'esprit des personnes qui reçoivent des messages.

Rapport aux autres : 80% des français ne font pas confiance aux autres. Les plus jeunes sont aussi les plus méfiants.
L'avenir : c'est un problème pour les français. Seulement 16% pensent que nous allons dans la bonne direction (80% en Chine).
La mondialisation est considérée comme bonne pour seulement 51% des français (contre 87% pour les chinois).

Comment en est-on arrivé là ?

C'est une succession de stimuli qui ont se sont accumulés depuis des années. Si ont a confiance, on a confiance dans la pub, dans les média, la politique. Durant les 30 glorieuses on avait confiance dans le système, car en travaillant en CDI on avait accès au crédit, à la consommation et il y avait la croyance que demain serait toujours meilleur.

Les 30 foireuses. On arrive au concepts de travailleurs pauvres. L'environnement médiatique construit l'idée que l'on est en déclin (déclinologues, réchauffement climatique, crise...). Le Franc est regretté par 69% des français. 60% craignent de devenir SDF. et celui qui devrait incarner la confiance, N Sarkozy, n'est pas crédible, et participe de la déception, du doute et du malaise. Les français se souviennent de toutes les promesses qu'il a fait pendant la campagne présidentielle. Or, avec Internet il est possible d'aller cherche de l'information contradictoire, ce qui diffère du temps de l'ORTF, et du coup lorsqu'un ministre dit qu'il n'y a pas de pagaille, il est immédiatement démenti et sa parole n'a plus aucune valeur.

Conclusion, c'était mieux avant car demain c'est pire.

Moi le centre du monde.

L'individu est construit comme seul par la com et le marketing. Du coup il a le sentiment de ne plus exister dans un système global dans lequel il serait impliqué. D'où le doute et l'infidélité (politique ou au marques).

enjeux_antidotes.jpg

Patrice Gagnaire, président de l'association pour la réinsertion économique et sociale

J'ai travailler avec le PS ou l'UMP. A chaque fois on s'aperçoit que le politique ne reprend que ce qui l'intéresse du réel, d'où la coupure du politique avec le réel. Et à chaque fois que l'on rentre dans un parti, on a une partie de soit qui s'en va car il faut avoir la langue de bois.

En fait lorsque l'on fait des chose, on le fait avec des gens qui ont de la probité, de gauche comme de droite. Les expérimentations qui font améliorer les chose de la vie.

Nous sommes au bout d'un système (30 glorieuses), notre logiciel est au bout, il faudra en changer, nous ne sommes plus dans l'état providence. Il va falloir faire des chose plus localement et loin de l'esbroufe nationalle.

Par exemple, ça fait 15 ans que l'on parle de diversité mais le smilblic n'a pas avancé. La politique c'est comment nous vivons mieux ENSEMBLE. En grec, le mot crise veut dire que c'est le temps de la décision.

On se conforte dans son propre parti politique si on ne discute pas avec les autres. Plus on est dans le transversal et que l'on est ouvert on crée des conditions pour changer de politique.

Pierre MBAS,responsable des projets et partenaria au sein de Diambars

Il présente une expérimentation qui n'aurait pas pu être réaliser si on était resté dans la matrice politique, car on serait resté au niveau dogmatique.

Les jeunes passionné de foot sont mono discipline. Pour les ramener vers l'école via le foot pour leur montrer tous les métiers autour, le foot n'étant qu'une étape de la vie et un prétexte pour les rencontres. Les jeunes doivent être acteurs et aller chercher la formation donc ce projet n'est pas composé de formations didactiques.

Le stade de France n'a jamais fait d'action pour son environnement, 90% des jeunes de Seine St Denis n'ont jamais été ne serait-ce que dans le quartier du stade.

Utilisation des outils multimédia pour réintroduire les matière scolaire : exemple avec la caméra tenu par un jeune qui en film un autre, qui permet d'étudier un geste sportif, et réintroduire d'autre concepts "scolaires".

Les modèles (personnes spécialistes) de différents métier qui ont un lien avec le secteur du sport sont présenté aux participants et pas seulement les champions de foot (responsable technique d'un stade, soigneur, entretien...).

La carte heuristique permet de réapprendre à poser des questions. Par exemple l'image permet de s'affranchir des carence en orthographe, le syndrome de la page blanche et au final de poser des questions.

Ils sont très fiers de réaliser qu'ils sont capables de faire des choses lorsqu'ils les présente à la fin de l'expérience à leur famille ou enseignants, alors qu'ils sont habituellement dévalorisés.

Débat

1) Les partis politiques sont-ils définitivement hors jeu ?

2) La transversalité permet des investissement pragmatique et non dogmatique. La difficulté est l'évaluation qui est longue L'expérimentation a un temps incompatible avec le temps politique.

Yves : (1), non à une condition. Les fr on l'impression que les partis sont interchangeables. Il n'y a pas d'éléments structurants qui permettent de se positionner. En 2007 il y avait des clivages forts. Si les partis politiques sont là pour commenter l'actualité comme les journalistes, il ne servent à rien et perdent leur légitimité. Il y a un manque de représentativité, les gens ne se retrouve pas dans les élus qui ne leur ressemble pas.

Salle : dans leur inconscient, les gens pensent que les politiques n'ont plus aucun pouvoir, et que c'est l'argent qui domine. Rep : les fr se posent la question de qui prend les décisions. La situation actuelle de l'ensemble des crises, nous fait penser qu'une partie échappe à nos gouvernants. L'ensemble de nos élites est issus des même moules. L'ensemble de l'élite est issus d'une centaine de maternelle. Cette élite a beaucoup plus de mal à appréhender le réel, car elle semble s'en être déconnecter.

Il n'est plus question de donner des chèques en blanc à l'élite politique. Des organisations (association issue de la rue) s'érigent comme contrôle.

Salle : il y a une différence d'attente vis à vis du pouvoir publique entre la fr et les USA, exemple un club de sport en France est forcément financé par la municipalité, alors qu'au usa pas 1 centime. Rep : la fr a des particularités. On est un pays qui a beaucoup protégé. Les acteurs du changement local pensaient que les collectivité pouvaient. Et quant elles ne peuvent plus, il faut changer de logiciel. Quant est-ce que l'on change ce logiciel qui nous fait croire que l'on va aller vers la fin du tunnel.

La société française est extrêmenet verticalisé (rente de situation).

Rep : nous sommes dans une société dogmatique, le projet Stade-up (Diambars) a eu du mal a être mis en place, car ce qui existe, qui n'est que du colmatage, n'y croyait pas (éducation nationale, club, FFF). Il faut que les jeunes se posent des questions. En France il y a les sachants et les autres et on s'adresse aux sachant au lieu de se poser des questions.

Salle : la culture politique se transmet de génération en génération.

Rep : des gens se mettent a se poser des questions, à remettre en question leur déterminisme, lorsqu'ils ne peuvent plus devenir propriétaires, n'ont plus la sécurité ou la santé.

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Ma chambre

Rien à voir avec la choucroute, mais je vous présente ma chambre au village vacances. Forcément, comme je ne me suis pas inscrit à l'avance, il a fallu improviser à cause de l'affluence qui fait que tout le monde n'est pas hébergé sur place.

J'ai pris l'option chambre individuelle avec terrasse vue mer pour le petit déj. petit_dej_sur_la_plage.jpg

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vendredi 16 septembre 2011

UR MoDem, la convivialité

Il n'y a pas que les discours sérieux lors d'une université de rentrée. Déjà il y a les repas pendant lesquels entre militants on continue à refaire le monde après les plénières, ou on se racompte les atelier auxquels l'ont n'a pas puy participer[1].

Il y a aussi les atelier où quant on est comme moi une grande gueule, on ne manque pas de se faire remarquer[2], du coup j'ai papoter avec pas mal de personne au sujet de notre site départemental.

J'ai croisé aussi un blogueur un peu particulier. Hervet Torchet, dont j'aime bien la plume, mais je ne suis pas tjs d'accord avec lui. C'est sympa de mettre un visage réel sur une personnalité numérique. Je ne vous cacherais pas que je ne l'aurais pas reconnu, car il a la coquetterie de mettre une photo de lui plus jeune. C'est lui qui est venu vers moi, pendant que nous choisissions nos desserts.

Bon là je suis un peu tout seul devant mon clavier, donc je vais rejoindre les autres. Je continuerai de vous mettre les autres billets plus tard.

Notes

[1] Évidement, les ateliers intéressants sont tjs en même temps qu'une table ronde immanquable.

[2] Je vous le donne en mille, c'est à l'atelier sur les site web de fédération, où j'ai partagé mon expérience avec le site du MoDem06.

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