jeudi 27 septembre 2018

Live tweet du conseil municipal de St Laurent du var du 26/09/2018

Ce soir beaucoup de conseillers municipaux absents, dont ceux d'extrême droite dans l'oposition. Beaucoup de sujets techniques avec l'accent mis par la majorité sur la mise en place de primes pour les agents municipaux.

Moschetti et Orsatti, chacun sur un sujet, on attaqué le maire sur ses votes métropolitains et donc indirectement son soutien à Estrosi, histoire d'essayer d'importer la guerre niçoise à St Laurent du Var.

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mercredi 28 mars 2018

Live tweet du conseil municipal du 28/03/2018

Pour une fois je suis même arrivé avant le début du conseil municipal. On notera ce soir l'absence de tout le groupe d'opposition de Revel, et la tension entre Orsatti et la majorité. La forme du propos d'Orsatti aura tué la moindre chance que l'on en retienne quoique ce soit du fond.

Autre élément important de ce conseil en plus du budget prévisionnel, c'est bien sûr la démission de Ghetti.

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jeudi 22 février 2018

Live tweet du conseil municipal de St Laurent du Var du 22/02/2018

Ce soir beaucoup d'absents, dans la majorité (avec les procurations j'ai pas réussi à compter, mais 6 ou 7) ou les oppositions (Henri REVEL, Gisèle CASTEU, Marc MOSCHETTI, Lionel PRADOS, Michel GHETTI, Sonia HAMOUDI, Franck ISRAEL, Pascale FORMISANO), du coup l'ambiance était plutôt tranquille avec des échanges intéressants. Par contre avec tous ces absents, quasiment seul Orsatti a pris la parole pour l’opposition.

En principe le débat d'orientation budgétaire est le moment intéressant où la majorité présente ses projets en les chiffrant, donc c'est beaucoup plus concret que les promesses de campagne. Du coup je ne sais pas si c'est parce que la date du conseil a changé ou si les élus se désintéressent de leur mandat qu'ils n'étaient pas là.

Dans les trucs qui sortent comme ça entre 2 phrases du maire ou d'une adjointe, un projet de pont qui traverse le Var entre la mairie et le Nikaïa avec le tram et le rassemblement des 2 clubs nautiques laurentins.

Bonne lecture.

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mardi 13 février 2018

Au sujet de la probable future nouvelle prison des Alpes Maritimes

St Laurent du Var vu d'avionDurant la campagne législative que nous avons menée avec Nathalie Audin, elle a subi de violentes attaques sur sa position concernant l'implantation d'une prison à St Laurent du Var et la Gaude. Comme le sujet est de retour dans l'actualité, je voudrais le remettre un peu en perspective.

Ce qu'a dit, entre autre, Nathalie Audin durant la campagne législative

C'est sa réponse suite à une brève de Nice-Matin citant Joseph Ségura réagissant au débat organisé par Nice-Matin dans lequel Nathalie indiquait qu'il faudrait expliquer aux habitants les bénéfices d'une prison si elle venait à être implantée à St Laurent du Var. Vous retrouverez ce texte dans le lien Facebook suivant.

En réponse à M. Ségura, maire de Saint-Laurent du Var qui m'interpelle dans Nice-Matin.

Quelques questions.

1. Y a-t-il urgence, au nom de l'Intérêt Général, à trouver une solution au problème de la sur-population carcérale de la maison d'arrêt de Nice (183.2% de taux d occupation!). Sur-population en contravention avec les règles pénitentiaires du conseil de l'Europe et des conséquences financières pour l'État français (pour ceux qui n'ont en ligne de mire que la gestion au-delà des droits de l'homme), en contravention avec la loi instaurant l'obligation de l'encellulement individuel, sur-population qui favorise les phénomènes de radicalisation, sur-population qui engendre des conditions de travail très difficiles pour les agents de la fonction publique pénitentiaire? En admettant que les élus LR du département considèrent l'urgence, ce dont je ne doute pas, il convient de souligner que c'est une urgence urgente depuis au moins... 15 ans... attend-on que la prison de Nice devienne une pétaudière?

2. Le dossier "prison Saint-Laurent - La Gaude" n'est pas encore tranché par l'État, en qualité de vice-président, M. Ségura a une connaissance affûtée des problèmes de pression foncière au sein de la Métropole... de fait, j'imagine qu'à défaut d'accord sur Saint-Laurent du Var, il aura proposé d'autres solutions aux services de l'État répondant aux différentes contraintes (assiette foncière suffisante, problèmes d expropriation, distance raisonnable du palais de justice et d un commissariat...). Si oui... lesquelles?

3 Est-ce que, dans l'hypothèse où le projet de Saint-Laurent serait retenu, une fois que toutes les propositions seraient examinées, contre l'avis des élus municipaux et le désaccord d'une partie de la population M. Ségura et l'ensemble des élus métropolitains et départementaux feront primer l'intérêt général supérieur de la Nation en faisant œuvre de pédagogie ou préfèreront-ils entretenir leur notoriété en s'opposant à l'urgence de solutionner le problème de la maison d arrêt de Nice?

4. Peut-il, enfin, nous expliquer sa cohérence en matière de politique dans les domaines de la police et de la justice? Il est contre la construction d une nouvelle maison d arrêt, mais il est pour la construction d un commissariat, il est pour une politique répressive plus efficace et il est contre les aménagements de peine, il est donc favorable à plus d'incarcérations... partout... sauf en bordure du Var. Tout cela manque bizarrement de lien.

Qu'on puisse comprendre que personne n'ait envie d'une prison sous ses fenêtres est une chose et doit, évidemment, être entendu mais que des élus ne tentent pas d'élever le débat pour tenir compte de l intérêt général est affligeant.

Quand le phénomène Nimby frappe aussi les élus.

Donc c'est un point de désaccord entre Nathalie Audin et le maire de St Laurent du Var. Depuis plusieurs années, je partage ces mêmes interrogations à l'écoute des arguments entendus durant mes participations comme spectateur aux conseils municipaux. Malgré toute mon attention, je n'ai pas réussi à trouver l'argument justifiant d'un tel rejet par le maire de St Laurent du Var. Sa seule réponse chaque fois est qu'il y aurait un problème de foncier, comme quoi la ville a des projets pour ce terrain, sans en citer un seul. C'est un peu court et du coup, même si je voulais changer d'avis, je n'ai rien à me mettre sous la dent.

Le bal des faux-culs

Le maire de Nice souhaite que la prison de Nice soit réhabilitée sur site. Soit, pourquoi pas. Mais comment réalise-t-on cette prouesse de mettre en conformité une prison obsolète qui a déjà une population carcérale presque du double de ce qui est prévu ? Pour rendre cette prison conforme, il faudrait l'agrandir juste pour qu'elle puisse conserver la même capacité qui est déjà insuffisante. Et l'on ne parle pas de la période des travaux.

Donc lorsque Christian Estrosi dit qu'il veut que la prison reste à Nice, il sait que de toute façon, ceci implique l'agrandissement d'une autre prison (celle de Grasse) ou la construction d'une nouvelle (à priori à St Laurent du Var). Donc ça ne lui coûte rien de défendre la prison de Nice et faire plaisir au passage aux élus laurentins qui s'opposent à l'implantation de la prison sur leur territoire.

Mais alors me direz-vous, pourquoi dit-il cela ? Une des raison avancée (à vérifier bien-sur) serait que si la prison quittait Nice, le foncier correspondant deviendrait probablement du logement social, et les riverains de la prison n'en veulent pas. Pour le coup, une prison pose beaucoup moins de problème de voisinage ! Et Christian Estrosi écoute d'abord les électeurs niçois, beaucoup plus attentivement que les laurentins...

Des munitions pour la guéguerre Estrosi-Ciotti

Ciotti qui utilise le sujet de la prison pour taper sur Estrosi, Segura et Nègre, se fiche comme de l'an pépin des électeurs de St Laurent du Var, et encore plus depuis que le maire, Joseph Ségura est allié politiquement à Estrosi[1]. Il peut tranquillement utiliser ces contradictions pour se faire mousser et passer pour le chevalier blanc. La prison a servi d'épouvantail pendant la campagne législative 2017, elle peut encore servir pour les municipales de 2020, voir même en 2022 et au delà, vu les délais.

Je vous rassure, ni moi, ni Nathalie, n'avons la moindre affinité pour Ciotti, mais force est de constater que le bougre manœuvre bien pour cogner sur Estrosi.

Et donc ?

De mon point de vue :

  • une prison c'est de l'emploi et du business pour les habitants et entreprises de la commune,
  • ce sont des voisins pas très gênants,
  • il parait même que c'est comptabilisé comme du logement social, ce qui permettrait à la commune de se rapprocher des objectifs de la loi SRU sans dépenser un centime et réduire les pénalités imposés à notre commune.
  • réduire la surpopulation est un prérequis pour mettre en place une politique de réinsertion et accessoirement éviter les phénomènes de radicalisation.

Bref beaucoup d'avantages, et j'attends encore que l'on me fournisse les inconvénients. Il me semble donc raisonnable d'encourager le maire de St Laurent du Var à négocier avec l'état pour obtenir des routes, des aménagements municipaux et des contre-parties plutôt que de s'opposer à cette prison.


Ci-dessous quelques prises de position (pas neutres du tout) au sujet de l'implantation d'une prison à St Laurent du Var/La Gaude :

 

La vidéo extraite de l'article de France 3 "La tension monte entre les Républicains sur le projet de prison à La Gaude et Saint-Laurent-du-Var":

 

 

 

Note

[1] On notera dans l'article de Nice-Matin qu'il tape tranquilou aussi sur Negre, le maire de Cagnes, également un soutien d'Estrosi. Ça canarde dur à droite, il va y avoir des dossiers qui vont sortir, préparez le popcorn ;)

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mercredi 28 septembre 2016

Live twitt du 28/09/2016 du Conseil municipal de St Laurent du Var

Ce soir c'est la première fois depuis le début du mandat de Ségura que j'arrive à suivre un conseil municipal en entier. Je ne vous promet pas que j'arriverai à remettre ça à tous les coups, mais je vais essayer que cela arrive plus souvent.

Bon ce soir Orsatti était absent, donc les débats, même s'ils se sont un peu enflamés sur certains sujets sont restés très courtois. Le sujet récurent a porté sur le passage du Var et de la prison aux Iscles, 2 sujets pourtant pas à l'ordre du jour.

Bonne lecture.

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mercredi 18 mai 2016

Live twitt du 18/05/2016 du Conseil municipal de St Laurent du Var

Aujourd'hui je suis arrivé à la fin de la délibération 2, l'approbation du compte administratif. Ce vote est normalement une formalité sans enjeux politique, puisque comme son nom l'indique c'est administratif et non politique. Bien sûr, on y retrouve les éléments du budget, donc forcément l'opposition s'exprime sur le sujet.

Ce soir il n'y avait qu'un absent, Israël. Orsatti a visiblement noté que ce qui a été retenu de son absence du précédent conseil municipal était le calme, et il n'a pas arrêté de souligner qu'il était très calme. C'est le maire qui s'est emporté sur le sujet des dépenses engagées par la mairie pour la venue de Bruno Lemaire en meeting dans le cadre de la campagne de la primaire de la droite.

Comme d'habitude, les femmes de l'opposition sont restées atones, sauf une petite question sans intérêt de HAMOUDI sur la date de livraison du skatepark alors que le 1er adjoint venait tout juste d'expliquer en réponse à Moschetti que c'était toujours en cours d'étude.

Pour le FN, Prados qui était aussi absent que les femmes de l'opposition, s'est réveillé pour dire une connerie et essayer sans succès d'énerver tout le monde en lançant une polémique au moment de clore les débats. Il a été poliment mouché par le maire qui visiblement voulait éviter que les débats s'éternisent.

Ce soir le conseil était studieux et plutôt calme. J'ai eu quelques échanges en direct avec l'adjoint Berettoni sur twitter. Pour les lire en contexte, cliquez dessus et dépliez la conversation, car ils arrivent dans le fil après mes propos.

Comme d'hab, ce live twitt se lit de bas en haut.

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jeudi 25 juin 2015

Le liveTweet du Conseil municipal de St Laurent du Var du 25/06/2015

J'ai loupé 2 conseils municipaux depuis mon dernier live tweet, du coup il y a quelques changements. Le groupe d'élus issus de la liste de Revel a éclaté, constituant 2 groupes:

  • Henri REVEL, Gisèle CASTEU et Marc MOSCHETTI
  • Nicole ROUX-DUBOIS, Franck ISRAEL, Sonia HAMOUDI qui ont rejoint l'ancien premier adjoint Michel GHETTI.

Comme toujours j'arrive bien après le début du conseil municipal qui commence en principe à 17h30. Je suis arrivé au milieu de la délibération 15 sur un total de 44.

Il se plaint que je dis toujours du mal de lui, mais force est de constater que ce soir, Orsatti avait travaillé son conseil avant de venir. On va bientôt plus le reconnaître s'il continu à dire aussi peu de conneries dans la soirée. Mais bon, les vieilles habitudes sont tenaces, il n'a pas pu s’empêcher d'agresser le maire est ses adjoints, et comme VILLARDRY, le 1er adjoint, a été particulièrement médiocre dans ses réparties ce soir, plus mauvais que Ségura (c'est vous dire), ce n'était même pas drôle.

Dans les absents on notera Michel GHETTI, Yvette FRANCHI et Gisèle CASTEU, ce qui dépeuplait pas mal l'opposition.

Comme d'habitude, ce live tweet se lit de bas en haut:

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mardi 17 mars 2015

Départementales dans le canton de Cagnes2

election.pngBon j'ai essayé de m'y intéresser un peu, j'ai écouté quelques vidéos des candidats sur le net, lu les tracts ou les professions de foi[1], mais sincèrement je suis assez désespéré par cette campagne dans ma commune.

Alors voici quelques commentaires en vrac:

  • Annie Finzi et Léopold Mayen: je connais un petit peu les 2 hommes, le titulaire et son suppléant mais pas les 2 femmes. C'est pour moi une candidature de revanche après la défaite des municipales, car quant on écoute Mayen, il ne parle quasiment que de son bilan comme ancien adjoint au maire, et il faut que celui qui fait l'interview lui arrache de parler de sa co-titulaire, ce qui est un peu choquant. Même si l'homme est sympa, je ne comprend pas sa candidature et sa profession de foi ne m'en donne pas plus à comprendre.


  • Jeanne Duras et Henri Revel: là la motivation de la candidature est clairement affichée, faire la promos des jeunes comme il dit. Donc aucune ambition de gagner, mais alors pourquoi diable est-il titulaire avec son ancienne suppléante ? Si c'est pour mettre le pied à l'étrier à d'autres, autant se mettre en retrait. Je crains hélas que cette candidature soit plus pour emmerder Ségura et par ricochet Estrosi[2] que pour autre chose, ce qui n'en fait pas une motivation très solide pour voter. Le plan semble être de participer au fractionnement des voix de droite pour permettre au FN d'arriver en tête au premier tour, comme lui avait gentiment fait les actuels membres de la majorité municipale lors du dernier scrutin cantonal en 2011[3]. Si on fait abstraction du caractère revanchard, c'est peut être le tract de Revel et Dura qui dit le moins de conneries.


  • Martine Nativi et Alexan Colmars, les communistes de service sont visiblement fans de Nelson Mandela, qui doit être ravis de se retrouver sur ce tract. Bon comme d'habitude avec les communistes il suffit de se servir pour financer les propositions, donc c'est irréaliste et sans intérêt.


  • Brigitte Merle des Isles et Lionel Prados, les représentants de Marine, qui nous font un tract sans la moindre personnalisation locale donc décorrélé des réalités[4]. Des propositions à la con et illégales, sans rapport avec les compétences du conseil départemental, dénonciation en vrac... un florilège susceptible d'énerver le moindre démocrate qui lirait ce tract, et je pense que c'est fait pour. A gerber !


  • Stéphanie Braganti et Antoine Marchese tout vert même sur les photos comme disent mes enfants. La profession de foi est intéressante, bien que non financée comme toujours avec la gauche, mais ça aurait été bien si leurs propositions tenaient un peu plus compte de la réalité de notre canton dans lequel une partie des compétences du conseil général sont aujourd'hui transférées à la Métropole Nice Cote d'Azur, comme le transport ou les déchets. Après ça fait du bien de ne plus voir la tête d'Orsatti dans une élection. Il devait tellement avoir peur de se prendre encore une veste, qu'il a passé son tour. S'il pouvait définitivement laisser la place aux autres, ce serait vraiment bien.


  • Vanessa Siegel et Joseph Ségura, nos futurs conseillers départementaux s'ils arrivent à ne pas perdre face au FN. Ils ont le soutien de toute la nomenklatura UMP locale. Et pourtant, avec une investiture officielle, des communicants, des équipes municipales susceptibles de les soutenir, ils trouvent moyen de nous pondre une profession de foi truffée de promesses intenables, voir même stupides: des promesses pour ce seul canton, la vidéo protection qui n'est pas une compétence du CG[5]; financer la police avec quel argents, ce n'est pas non plus une compétence du CG; croisement des fichiers, c'est illégal sauf changement de la loi au parlement; 0% de hausse fiscale, c'est intenable les caisses sont vides; non remplacement de 2 départs à la retraite sur 3, comment ont fait tourner les services[6]; bourses pour les collégiens, avec quel argent; création de parcs naturels, où ça... Certains projets sont déjà en cours, c'est bien de les défendre, ça fera au moins ça de promesses tenues (caserne de pompier, piste cyclable).
Et alors ?

Ben rien. Alors que l'on dit partout que les électeurs sont prêt à voter pour les extrêmes par désespoir et perte totale de confiance dans les politiques et la parole politique, que font les candidats, ils racontent encore et toujours des bobards sur leur professions de foi. Sérieusement, comment veulent-ils donner envie d'aller voter ? Voilà comment la droite locale veut lutter contre le FN, en se divisant pour régler de vieux comptes et en racontant n'importe quoi. Je n'ai qu'un mot, Bravo !

Ça donnerait presque envie de voter pour les verts, histoire de les laisser dans leur merde, et pour faire d'une pierre 2 coups en faisant chier Orsatti s'ils faisaient plus que lui... et puis au second tour, il faudra aller repêcher le maire de St Laurent[7] et la conseillère municipale de la Gaude pour qu'ils ne coulent pas face à la vague de ras le bol portée par les candidats du FN. Super, j'en ai envie d'avance.

Bon je vais retourner filer un coup de main à mes potes du MoDem à Cagnes 1, qui eux au moins font des propositions qui tiennent la route et surtout sont finançables, ce qui redonne un peu fois en la politique. Au fait, si ça vous intéresse, ils font une réunion publique mercredi à la maison de la mer.

Notes

[1] Je sais, c'est le service minimum.

[2] Revel vient de quitter la majorité à la métropole en rejoignant Bettati, le dissident de droite, et en dénonçant la gestion d'Estrosi.

[3] Villardry, Hebert et Ségura s'étaient présenté contre Revel et aucun n'avait appelé à voter pour lui au second tour.

[4] Comme à chaque fois avec le FN, le tract est exactement le même dans tous les cantons de France.

[5] En fait pour être précis, elle ne devrait plus pouvoir l'être, car la clause de compétence générale devrait sauter prochainement, seule close permettant au CG06 de financer des choses qui ne le regarde pas.

[6] Je l'attend cette proposition à St Laurent, juste pour rire.

[7] Vive le cumule des mandats, que ceux qui espéraient qu'il serait différent des autres se rassurent, il est bien dans le moule.

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lundi 9 mars 2015

J'ai une réponse à la crainte du FN

Les média nous en rabattent les oreilles, et maintenant le premier ministre. Il parait que l'extrême droite va faire un raz de marrée sur ces élections. C'est très probable, mais ce n'est pas des discours incantatoires qui vont permettre de changer le ras le bol des électeurs, leur perte totale de confiance dans la parole politique.

Les menteurs, aidés des communicants, ont totalement vidé de leurs sens tous les discours et la parole politique. Il serait peut être temps d’arrêter de faire des promesses irréalistes, qui débouchent forcément sur de la rancœurs et de la défiance.

La réponse, la seule me semble-t-il, est de commencer par faire des propositions réalistes durant les campagnes électorales. Ne pas promettre la lune quant on sait qu'il n'y a plus un radis en caisse, que les compétences du département réduisent comme peau de chagrin[1] et que changer les choses se heurte forcément à l'inertie de l'habitude.

Bref, la réponse c'est ce que Valérie et Philippe ont tenté de faire. Être réaliste. Et ça donne ça

Des centristes pour Cagnes

Ce soir, c'est leur première réunion publique à Cagnes à l'espace centre à 19h30. Venez vérifier par vous même que l'on peut parler de politique de manière constructive autour de projets réalistes.

Note

[1] Grignoté par la métropole et la réforme territoriale à venir qui va faire monter en puissance la Région.

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vendredi 6 mars 2015

Notre démocratie glisse-t-elle vers une gérontocratie

La sagesse vient avec l'âge parait-il[1] et donc il est classique que les responsabilités échoient aux aînés, que ce soit en entreprise ou dans la vie publique. Cependant, si on y regarde de plus prêt, il y a un glissement inquiétant.

Ce sont les vieux qui votent

Les jeunes votent beaucoup moins que les personnes âgées. Un candidat qui veut s'assurer d'être élu va s'adresser en priorité aux aînés, avec les thématiques qui les concernent: la sécurité, la santé et tout ce qui fait peur, car la vieillesse est l'âge de la crainte[2].

En vieillissant, non seulement les craintes deviennent le cœur des préoccupations, ce qui conduit à devenir plus réceptif à la dialectique de l'extrême droite, mais il y a aussi des opinions politiques qui se figent. En se figeant, ces opinions politiques s'accrochent plus aux étiquettes des partis qu'à ce qu'ils véhiculent comme projet de société, aux personnes candidates qu'à ce quelles disent.

Les élus sont des retraités ou des cumulards

Si on fait abstraction des têtes d'affiche[3], qui peut être élus aujourd'hui, payé environ le smic[4] et être disponible pour aller sur le terrain, participer aux commissions, gérer les agents de la collectivité ? Il faut soit être rentier, retraité, ou cumuler les fonctions. Du coup quel "jeune" va se lancer en politique s'il a charge de famille, un crédit immobilier ? Et je ne parle même pas d'une éventuelle carrière dans son entreprise.

Les jeunes politiques sont tous des apparatchiks comme on dit, salariés de la sphère politique: salariés de collectivités locales, employés par un parti politique ou un syndicat, attachés parlementaire... Ils sont tous dépendant des élus en place et de leurs intérêts. Comment voulez-vous qu'ils ne reproduisent pas la même politique et les même dérives[5]. Aucun moyen de faire rentrer du sang frais, de changer les pratiques et surtout faire émerger des idées nouvelles.

Professionnalisation

On assiste donc à une professionnalisation des élus. Pour être élu, il faut déjà être élus, car les électeurs, surtout les aînés, votent pour les têtes qu'ils connaissent. Sauf qu'un salaire d'élu c'est souvent inférieur à celui d'un cadre d'entreprise ou d'une profession libérale, donc, ne serait-ce que pour avoir le même train de vie, les élus cumulent. Pourquoi s'en priveraient-ils puisque les électeurs le valident par leur vote ?

Et puis soyons réaliste, quant vous avez passé un ou plusieurs mandats à vous impliquer dans une collectivité, le retour à votre activité professionnel n'est pas des plus simple, sauf dans quelques professions libérales ou pour certains fonctionnaires. Toutes les fonctions d'élus ne permettent pas de se constituer un carnet d'adresse professionnellement exploitable. Ceci renvoi au statut de l'élu qui a un espèce d'emplois précaire, une sorte de CDD qui n'ouvre pas droit au chômage[6], car être élu, ce n'est pas un emplois mais une fonction avec une indemnité et non un salaire.

Alors forcément, ça décourage les entrants en politique et motive ceux qui y sont à y rester, à n'importe quel prix. Même si pour la plus part, la place n'est pas grassement payée, quant on est payé pour faire ce que l'on aime[7], on veut continuer. C'est comme ça que les "barons" locaux tiennent les petits élus: une place dans un syndicat mixte, une investiture, une circonscription gagnable. Et inversement pour ceux qui ne sont pas sage, un candidat dissident pour faire perdre dans des triangulaires, une investiture qui ne vient pas, des budgets qui ne se débloquent pas...

Les seuls qui peuvent perdre facilement leur mandats sont les retraités. Les autres sont économiquement dépendants donc corruptibles et corvéables dans un système sans contre pouvoir comme le sont nos collectivités territoriales, spécialement dans les Alpes maritimes, avec la métropole et le conseil général.

Notes

[1] Malheureusement pas pour tout le monde...

[2] C'est normal qu'en vieillissant l'on ai plus peur que quant on est jeune, surtout dans une société qui accélère.

[3] Qui gagnent très bien leur vie, parfois même trop bien.

[4] C'est l'ordre de grandeur de ce que touche un adjoint d'une petite ville.

[5] Cumul des mandats et fonction, clientélisme...

[6] Il y a bien une allocation différentielle de fin de mandat qui dure 6 mois.

[7] Car en général ceux qui font de la politique aiment ça, si, si !

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jeudi 19 février 2015

Disparition du département au profit de la métropole

L'élection des nouveaux conseillers départementaux qui remplacent les conseillers généraux se fait dans le cadre de la réforme territoriale. Parmi les choses les plus importantes que cette réforme introduit, on notera:

  • La parité absolue au conseil départemental, puisque l'on élit un binôme. Il y aura donc au lendemain de l'élection exactement le même nombre de femme que d'homme élus. C'est la première élection française parfaitement paritaire homme/femme.
  • Le redécoupage des cantons qui comportent maintenant à peu près le même nombre d'électeurs, entre 35 et 45 000 dans notre département, ce qui chamboule complètement le poids électoral des territoires ruraux, beaucoup moins représentés que par le passé. Ce redécoupage ne s'encombre pas de suivre les contours des communes, puisque l'on élit des représentants au département et pas forcément des représentants du canton.
  • Une partie des compétences du conseil départemental (ex conseil général) disparaissent au profit de la région ou de la métropole.

C'est ce dernier point qui m'interroge. En effet, avec la création de la métropole Nice Côte d'Azur, une partie des compétences de l'actuel conseil général lui ont été transférées, comme par exemple les routes ou les ports. Le conseil départemental qui sera élu en 2015 continuera a avoir la gestion des routes et des ports pour le reste du département en dehors de la métropole, ce qui est un peu étrange. Les candidats issus de cantons métropolitain n'ont pas à traiter de ces sujets à leurs électeurs, puisqu'ils ne sont plus dans les compétences du conseil départemental, mais peuvent en parler au sujet des communes qui ne les élisent pas !

Quant on parle de mille feuille administratif, cette réforme territoriale n'améliore rien. Par exemple à St Laurent du Var, quant le Var inonde les plages, on n'arrive pas à trouver quelle collectivité territoriale doit intervenir: le département gère le fleuve, la métropole l'embouchure et la ville la plage. Même chose avec la digue: le département refait une digue pour y faire passer des vélos alors que tout le monde pensait que des voitures y passeraient, sauf que les routes étant de la responsabilité de la métropole, le département ne le fera pas, car sa responsabilité s'arrête au fleuve. Pendant ce temps là, les travaux n'ont toujours pas commencés...

Donc ce qui devrait se dessiner à terme c'est la disparition du département, au profit des communautés de communes (donc la métropole) et la Région. C'est donc probablement la seule élection des conseillers départementaux que nous vivrons ainsi, sauf si la prochaine majorité en 2017 cède au lobbying des élus locaux qui veulent des places pour pouvoir cumuler. Aller motiver les électeurs pour voter pour des conseillers départementaux qui ne siégeront qu'un mandat avant qu'une nouvelle réforme fasse disparaître leur mandat. C'est pas gagné.

Et politiquement quel est l'enjeu de cette disparition dans notre département:

  • Les Alpes Maritimes sont une chasse gardée de l'UMP, qui n'a qu'une seule opposition, le FN.
  • La région est beaucoup plus équilibrée électoralement, bien qu'à droite, permettant une gouvernance à gauche.
  • Même chose pour Marseille, l'autre métropole de la région PACA.

La métropole Nice Côte d'Azur ne peut faire contre-poids à la Région et Marseille qu'en phagocytant tout le département des Alpes Maritimes, pour réduire au minimum les compétences de la Régions. Sauf que les autres communautés d'aglo n'ont pas vraiment envies de se faire manger (carte des intercommunalité des Alpes Maritimes).

Et puis je suis toujours dubitatif sur la démocratie au sein de la métropole. En effet, quelque soit la taille de la métropole, le maire de Nice qui n'est élu que par les niçois, est mécaniquement le patron de la métropole (Nice à elle seule représente 1/3[1] des habitants du départements). Comme il est en plus le patron de l'UMP, celui qui décide des investitures pour le département, il a donc le pouvoir sur toutes les communes de la métropole, sans aucun contre pouvoir, pas même celui des urnes. Il gouverne donc des gens qui ne l'éliront jamais et vis à vis desquels il n'a aucun compte à rendre. C'est une conception de la démocratie assez dérangeante.

Note

[1] J'avais noté par erreur 2/3. C'est 350000 pour Nice intra-muros pour environ 1.2 millions d'habitants dans le département.

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jeudi 18 décembre 2014

Le liveTweet du Conseil municipal de St Laurent du Var du 18/12/2014

Ce soir il y avait du lourd au conseil municipal avec Patrick Villardry qui devient 1er adjoint et la présentation du budget primitif, suivi d'environ 40 délibérations.

Comme d'habitude, je suis arrivé 1h après le début du conseil, vers 18h30, au milieu de la présentation du budget (la délibération 2), donc je n'ai pas assisté au vote pour la nomination du 1er adjoint qui a reçu toutes les voix de la majorité (pas de dissidence), et j'ai pris la présentation du budget en cours.

Ce budget primitif n'est qu'un projet de budget qui de toute façon sera modifié à plusieurs reprises, donc ce ne sont que des orientations en théorie grossières. Apparemment, il n'y a pas de rupture avec la précédente majorité, donc on pourrait en déduire que les grandes orientations sont les même. A suivre.

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mardi 2 décembre 2014

Le premier adjoint quitte le navire laurentin

Pas forcément une très bonne nouvelle que l’intello de la bande s'en aille et soit remplacé par les gros bras, aussi amicaux soient-ils. Donc Michel Ghetti après avoir abandonné une partie de ses délégations il y a 3 mois, démissionne définitivement de son mandat d'élu à la métropole et rend ses dernières délégations pour n'être plus que simple conseiller municipal.

Lire l'article dithyrambique de NiceMatin

Je reste songeur[1]. On a perçu, lorsqu'il a rendu une partie de ses délégation en septembre, qu'il y avait un problème au sein de la majorité. Il répondaient à des reproches que seuls les initiés pouvaient comprendre (et donc pas moi). Aujourd'hui encore, les raisons invoquées sont faiblardes: quant on aime la politique, être au manettes est quant même un peu l'aboutissement d'un engagement, et j'ai du mal à comprendre comment une mission au sein du conseil de surveillance de Nicematin peut être plus motivante, sans parler de l'aspect financier.

On entend aussi Segura parler d'homme de confiance, plus que de compétence, ce qui n'est pas forcément bon signe. Son prédécesseur, Henri Revel, s'est perdu justement en ne s'entourant que de personnes en qui il avaient confiance, au détriment des compétences. L'histoire se répéterait-elle ? Peut-être, mais en 8 mois c'est un peu court.

Car même si Patrick Villardry a "un cœur gros comme ça", son credo c'est les relations humaines et l'action, pas les dossiers et les réglementations[2]. Alors certes Ghetti étaient saoulant en conseil municipal à nous lire doctement les textes légaux au lieu de nous parler d'orientation politique des décisions, mais on avait espoir qu'au moins lui les comprenait. Une de mes crainte que j'avais évoqué après la victoire de Joseph Ségura, commence à se dessiner, c'est la prise de pouvoir par les techniciens de la mairie au détriment des politiques.

Joseph Segura s'est déjà couché comme je le craignais devant Estrosi[3], ses premiers mois de mandat ayant consisté à se faire bien voir par ce dernier. J'attends de voir ce qu'il reste de sa gouvernance politique, mais cette démission n'est pas pour rassurer.

Notes

[1] Et je ne suis pas le seul quant on lit le billet d'Olivier Briol ou certains commentaires sous l'article de Nicematin.

[2] Comme l'illustrent ses déboires judiciaires passés.

[3] Pour mémoire, mon soutien à Revel était essentiellement motivé par sa capacité à s’opposer à Estrosi au niveau de la métropole.

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jeudi 25 septembre 2014

Le liveTweet du Conseil municipal de St Laurent du Var du 25/09/2014

Comme d'habitude maintenant, j'arrive au milieu du conseil municipal, puisque le maire ne veut pas en changer l'heure et le maintient à 17h. On a pas le droit de travailler et de s'intéresser à la politique dans cette ville...

Parmi les événements du jour, le 1er adjoint, Michel Ghetti qui rend ses délégations à l'urbanisme et à l'aménagement, officiellement pour des raisons personnelles, mais officieusement car ça sent le gaz et qu'il n'a pas envie que ça lui pète à la figure.

Le live twitt se lit de bas en haut et reprend tous les twitt publiés avec le hashtag #slv06.

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jeudi 26 juin 2014

Le liveTweet du Conseil municipal de St Laurent du Var du 26/06/2014

A part ou peut être à cause des soporifiques interventions du premier adjoint, M Ghetti, ce conseil s'est déroulé tranquillement. Comme il commence à 17h30 et que je travaille, je n'ai pu commencer le live tweet qu'à partir de 18h30.

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vendredi 20 juin 2014

Une prison à St Laurent du Var

La campagne électorale parlait d'un incinérateur à St Laurent du Var. En fait c'est un tout autre projet qui sort 3 mois après l'élection du nouveau maire de St Laurent du Var: la création d'une prison aux Iscles[1] serait dans les tuyaux. Je serai méchant je dirais que c'est la première couleuvre que notre nouveau maire avale, lui l'ex policier aurait le mauvais rôle de refuser la construction d'une nouvelle prison tout en clamant que la sécurité c'est lui !

La reconstruction de la prison de Nice est un vieux serpent de mer, qui navigue dans le marigot politique local et survit à chaque changement de majorité à la tête de l'état ou de la commune, tant la prison est vétuste. Il y avait des projets de reconstruction sur la prison actuelle ou dans la vallée du Paillon. Finalement c'est ce côté du Var qui séduit. Ce qui m'étonne c'est qu'une telle construction se ferait sur une zone qui n'est pas vraiment constructible pour une telle densité. Je sent que la révision du PLU va être sportive du coup ;)

Lire l'article sur la page Facebook de la préfecture

Notes

[1] Le quartier au nord de la zone d'activité le long du Var.

[2] Lien ajouté après publication.

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samedi 26 avril 2014

La bonne échelle

En me baladant sur Facebook[1] je suis tombé sur une photo et un texte du nouveau maire de Vence qui annonce la création d'une structure intercommunale[2]

Lire le message sur le mur de Loic Dombreval


Et là je me pose la question suivante: quelle est la bonne échelle pour l'intercommunalité ?

La communauté d'aglo, puis la communauté urbaine et enfin la métropole Nice Côte d'Azur dans lesquelles ces communes ont été intégrées dès le début, n'avaient-elles pas vocation à fédérer les énergies et faire faire des économies d'échelles avec à terme comme objectif, la suppression de quelques strates du mille feuille administratif qui entoure les villes ?

Or dans la pratique, toutes les communes sans exception créent avec leur voisines des structures intercommunales pour gérer, qui le tourisme, qui les cantines scolaires, qui le transport urbain, qui les zones d'activité économiques... Au final, ces syndicats intercommunaux, qui peuvent brasser de grosses sommes d'argents sans forcément de contrôle démocratique qu'à posteriori, sont les décideurs, plus que les conseils municipaux ou métropolitains.

Je me demande si ce ne sont les contours de ces syndicats intercommunaux qui devraient être utilisé pour dessiner les communautés de commune. Ils sont en effet bien plus naturels que les rattachements de communes pas toujours fait pour les citoyens, car ils reflètent des besoins et des synergies réelles.

Notre métropole NCA est une blague, et elle n'est pas prête de nous faire faire des économies d'échelle.

Notes

[1] The evil one, yes !

[2] Avec nos voisins et amis Jean-Michel Sempéré, maire de Saint-Jeannet, Joseph Le Chapelain, maire de Saint Paul de Vence, et Damien Bagaria, maire de Tourrettes sur Loup, dans la salle du conseil municipal de Vence, lors de la première réunion du "Pays de Vence", syndicat intercommunal en charge notamment du développement économique et touristique du moyen-pays. Nous allons ensemble développer de beaux projets pour notre territoire.

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